La Seconde Chance du Milliardaire
pit
vais que je ne pouvais pas rester ici plus longtemps, mais quitter cet endroit sans plan ni direction me paraissait suicidaire. Pourtant,
ose de froid et métallique. Je tirai l'objet vers moi et découvris un téléphone.
eau pour être vrai ? Je regardai autour de moi, comme si j'attendais
phone. Il avait encore un peu de batterie. Je deva
nt une simple notificatio
laissé ce téléphone ici ? Et pour
. Le message était court, composé de symboles étr
47.205N, 1.554W.
ge crypté. Mon frère avait toujours eu un don pour cacher des messages dans des phrases simples. C'était son moyen de commu
ient un lieu précis, et le mot *refuge* suffisait à me convaincre
il su où je me trouvais ? Comment avait-il p
piste. Si c'était vraiment lui, alors il était en vie, et i
ée relevait presque de l'impossible. Les hommes en noir étaient encore quelque pa
uffle était irrégulier, mes pensées un chaos de peur et de désespoir. M
tre moi comme s'il était la clé de ma
les yeux, scrutant l'obscurité entre les arbres. Rien. Juste les ombres mouvantes des branches
es coordonnées indiquaient une direction vers le nord-ouest. Avec un peu de
lques mètres, un craquem
tout rompre. Était-ce une branche q
nt de ne pas paniquer. Mais le brui
ux scrutant les ténèbres. « Qui est là
nse. Juste
-je avancé qu'un nouveau bruit résonna, suiv
mer la panique qui menaçait de me submerger. Mais mon corps ne m'écou
une dizaine de mètres devant moi. Mon corps
noire, presque invisible dans l'obscurité. Il avanç
tâtons un chemin vers l'arrière. Mais mon talon he
atement, son regard perçant s
» cri
échis pas.
s je ne m'arrêtais pas. Les branches me griffaient les bras et le visage, m
elaient le sol, des voix qui criaient, mais je ne
s coordonnées. Je deva
tomber, mais je continuais. Le froid mordait mes poumons, la panique rendait cha
ans, l'eau glaciale me montant jusqu'aux genoux. Je continuai de
ralentissais pas. Je ne savais pas combien de temps cela d
in une petite clairière. Mes jambes me lâchèrent, e
i, une lueur d'espoir continuait de briller. Je devais contin