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Un Milliardaire Séducteur

Un Milliardaire Séducteur

Auteur: max htn
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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 1029    |    Mis à jour : 14/11/2024

core, peut-être que j'avais simplement mal dormi, mais cette sensation de lourdeur dans l'air, de tension...

le, presque ensorcelant. Mon cœur s'est mis à battre plus fort, et j'ai senti une chaleur étrange monter en moi, comme si cette fragrance réveillait quelque chose de pr

sédant qui semblait se renforcer à chaque pas. Je ne savais pas ce

je l

er au-dessus des lois non écrites du lycée. Son aura était presque palpable, et malgré moi, j'ai senti mon cœur s'arrêter

ée. Pourquoi m

ucas, son meilleur ami, cria à un autre élève : « Hugo, va chercher les autres ! » Sa voix résonnait, mais je ne comprenais toujours pa

les talons et me suis mise à courir. Peu importait où, je devais juste m'éloigner de ce regard et de cette sensation étrange qui semblait

ne promesse de liberté, de sécurité. Mais alors que je tendais la main pour ouvrir la portière, je me suis fig

n. Son visage, à quelques centimètres du mien, semblait sculpté dans une concentration intense. Ses

es mots vibrants d'une au

e. « Non, non, non, pourquoi moi ? Pas à toi ! » murmurai

is ses yeux ne cillèrent pas. « Tu es à moi. Tu

vapore. « Tu ne toucheras pas un autre homme, » dit-il d'une voix basse et

inctivement à cette proximité. Je sentis son nez effleurer mon cou, et il inspira profondément, comme s'il cherchait

mes yeux cherchant désespérément des réponses

taille, comme pour rappeler sa présence, sa domination sur moi. « Parce que tu es la mienne, » dit

it insensé. Comment pouvais-je être à lui ? Nous ne nous étions jamais parlé, jamais échangé un seu

reprendre le contrôle de la situation. «

esse dans ses yeux. « Crois-moi, cela te semble étrange maintenant, mais tu c

n glissant jusqu'à mon visage pour écarter une mèche de ch

ré moi, je sentis mon regard se perdre dans le sien. Pour la première fois, j'aperçus quelque ch

u'il disait, ce qu'il ressentait, c'était insensé, et pourtant, au fo

on regard restait fixé sur moi, comme une promesse. « Je ne vais pas te f

is fuir, mais mes pieds semblaient enracinés, incapables de faire le moindre pas en arrière.

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