Un Milliardaire Séducteur
du lycée, ils étaient là, à me regarder avec une inquiétude évidente sur leurs visages. Ils avaient tous les deux
tant des coups d'œil furtifs autour de lui, c
sé, pas tout de suite. En parler à voix haute me semblait
ondu, mais même moi, je ne c
n regard à la fois inquiet et protecteur. « T'as vu où il est, pas vrai ? Il te suit, toute la j
is je vais m'en sortir. C'est
iné. « Ce type est louche, et il te suit partout comme un prédateur. Il f
« On peut peut-être en parler à quelqu'un
d'homme qu'on pouvait ignorer, pas quand il était aussi déterminé. Et plus je tentais
e je le vis. Il était là, au bout du couloir, comme s'il m'attendait, ses yeux sombres braqués sur moi. Une sensation étr
son regard perçant fixé sur Nathan.
ne sais même pas comment l'expliquer, mais il est trop puissa
e Nathan avait quelque chose de magnétique, de menaçant, même dans ses
blier. À la récréation, il se tenait près de la porte de la cafétéria, ses yeux se levant toujours vers moi à chaque fois que je passais. Le regard des autres étudiants ne m'aidait pas non plus. Des chuchote
s qu'on se dirigeait vers le parking après les
ession sur mon dos. Nathan. Je ne m'étais pas trompée. Il était là, à une dizaine de pas, et il m'observait sile
« Qu'est-ce que tu veux de moi ? » deman
. « Je t'ai dit, tu es à moi. » Ses mots étaient simples, mais il y a
ore plus près. C'était comme si une force invisible m'empêchait de m'éloigner. Il se tenait juste devant moi maintenant, son parfum m'env
voix de trembler. « Arrête de me suivre, Nathan. C
atisfait. « Oh, mais c'est exactement comm
ent hypnotisant. Plus je résistais, plus j'avais l'impression de l'attirer sans le vouloir. C'était c
des excuses pour être près de moi. Dans les couloirs, à la bibliothèque, même pe
, plus mon attirance pour lui grandissait, malgré moi. C'était insensé, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Lorsqu'il
prise, mais l'autre... l'autre voulait découvrir ce qu'il cachait. Qu'est-ce que Nath
après m'avoir suivie toute la journée, lorsque je le c
. « Je ne suis pas une de tes conquêtes, Nathan, » lui avais-j
ille. « Non, tu n'es pas une conquête. Tu es ma c
uché quelque chose en moi que je ne pouvais pas contrôler. Ses mots résonnaient dans ma t