Un Milliardaire Séducteur
r le parking. C'était comme un rêve... ou plutôt un cauchemar. Le regard intense de Nathan, ses mots si directs, la possessivité de son étreinte... Tout cela n'avait aucun sens. Pourquoi
t, et chaque fois que je fermais les yeux, je revoyais son visage, aussi net que si je l'avais en face de moi. *À moi*, m'avait-il dit
ûrement ça. Nathan était connu pour être intimidant, pour avoir ce regard perçant. Il était... étrange, c'était le moins qu'on puisse dire, mais ce n'é
laisser cet incident me perturber davantage. Mais alors que je me levais pour sortir de la bibl
moi comme s'il ne voulait pas me laisser hors de sa vue. Une vague de frissons parcourut mon cor
« Nathan, » dis-je, d'une voix basse mais ferme, «
a la rangée d'étagères derrière moi, me piégeant involontairement. « Tu ne comprends toujours pas, n'est-ce pas
e sèche. « Et je pense que tu
pression qu'il hésitait. Mais cette hésitation disparut aussi vite qu'elle était ap
uffisait à tout expliquer. « Depuis le moment
uoi jouait-il ? Cela dépassait l'entendement. Mais le plus étrange,
ement, en sentant une vague de désespoir mo
bien plus que ce qu'il ne voulait montrer. « Oh, tu se
que chose qui m'échappait complètement. Et avant que je puisse lui poser plus de question
orsque je ne le voyais pas. Cela ne passa pas inaperçu. Très vite, des murmures commencèrent à circuler autour de nous, les autres élèves s'échangeaient
it attirer les gens malgré eux. Et puis, il y avait toutes ces rumeurs sur lui, des histoires de soirées exclusives, de voitures de luxe, de comptes bancaires p
es autres élèves l'évitaient parfois, j'étais de moins en moins sûre. Nathan Blackwell n'était pas un simple élèv
ents, sans jamais vraiment me parler. Parfois, je me surprenais à chercher son regard, à me demander ce qu'il pensait, mais à chaque fois, je chassais cette idée de mon espr
in à mes côtés, comme s'il sortait de nulle part. Mon cœur rata un battem
emandai-je finalement, ma voix emplie d'une
able. « Parce que je t'ai choisie, » répondit
, mes poings serrés. « Tu ne peux pas simp
quelque chose de plus doux, presque... vulnérable ? « Un jour, tu comprendras,
sister, le repousser, lui dire de me laisser tranquille, mais l'autre... l'autre était étrangement attirée par
les talons, disparaissant dans la foule des élèves qui sortaient de cours.
lgré tout, une part de mo