Dans l'environnement du mal 1

maman. Il se rua sur mon corps inerte, abusa de moi à sa guise, je suppose. Puis il atteignit l'orgasme, sans toutefois prendre la peine d'enfiler un préservatif, il n’y avait pas de doute ! I

rprise, la tête tournant toujours. De plus j’étais toute n

’ai mal ? Qu’est-ce qui s

encore parfaitement éveillée. Le grand Coucougnouf quant à lui, était assis là im

au bas-ventre, au ventre, aux seins, à la colonne vertébrale, au cou, aux yeux, aux oreilles… soit on avait marché sur mon corps, soit on m’avait bastonnée. Sur le drap il y avait un peu de sang et un liquide jaunâtre, le drap était mouillé comme si on y avait versé de l’eau. J’ai pensé à tout sauf à un rapport sexuel. Je me disais pe

a fait deux semaines il est impo

ta d'abord sans

habille-toi je te

arles de ce malaise aux parents. Tu dois expliquer tout ceci à la maison

e) je n’ai rien à deviser, je t

plètement perdue, j’avais même envie plutôt de retourner le rejoindre que de rentrer chez nous ! J’étais toute paniquée, fatiguée, accablée de douleurs atroces. Il était environ 23 heures moins 20 minutes. Il y avait une confusion dans mon esprit. Je ne peux vous l’expliquer. J’avais l’impression qu’on m’avait f

dans la panique, papa a déjà lancé l’avis de rec

uis alléééé faire mes exerc

sation d’y aller? Personn

prendre tout ce temps ; aahiiaa

saignes ? Comment ? Po

tige et, à mon réveil j’étais toute nue, j’avais mal partout et il y avait du sang et de l’eau sur le drap ! Et et et …

vas-tu cher

est son a

? Il est dans

il ne t'a pas donné une explicat

donner les raisons pour lesquelles

ne t’a pas touché,

? Comment ? Oh mon Dieu

e devenir pilote ou médecin risque d

ve de qui se brise ? Voilà ce qui m’énerve. Au lieu de me parl

nt a-t-il réagi à ton réveil,

vec le fils de famille ou le fils à papa auquel nous pensi

! Je

e voi

i l’appelles-tu

ogis est malpropre, désordonné, pas du tout accuei

! Ah

ste à savoir où il emprunte les vêtements et

ait pas garni de t

penderie en matière plastiq

t là : humm ! S’il t'a touchée ce n’est pas bien ; c’e

e ne sais rien ! S’il

n’est pas un touché, mais un vio

onton Coucougnouf est comme

fais penser

rcellerie

nt dans ma chambre, craignant d’être réprimandée. Après être informé

a colère de ces derniers. Jusque-là, j’avais tout fait pour être une enfant digne. Jamais je n'avais voulu blesser ces derniers d'une manière ou d'

avec ta fille et que cela n

a. Répondi

sévère, je restai muette. Je me demandais comment j’allais expliquer l’inexplicable. Je souhaitai juste que ce fichu cauchemar se termine. Plusieurs jours après, ma

moins. Ses camarades avaient noté ce changement. Elles l’interrogeaient, mais ne récurent aucune réponse. La famille également constata le brusque

orsqu'il était question du domaine scolaire. Personne, ne m'interrogea sur l'arrêt des cours. Chacun se disait que j’avais déjà

nstatai que mes menstrues ne s

hement. Nous sommes à la fin du deuxième trimestre, donc à l'approche de l’examen. L’examen probatoire

? Je n’ai pas

u mes menstrues

tu as du pain sur la planche ma sœur ! Oh ! L’enfant c

comme si…? De toute évidence ça va

quoi cet arrêt, car ça peu

oi tout ça ! Neuf mois c’est quoi une maladie? Je

, c’est tout simplement un bébé. C’est la raison pour laquelle tu ne saignes pas ! Il faut le dire à maman le plus tôt possible, avant

possible j’ai bu ça où ? Comment ? Non

our toi le début du calvaire ! À dieu les cahiers, la B

! - Ecoute bien ! Je ne te le souhaite pas ! Mais ce n’est pas toi qu

i et

ment violée, raison pour laquelle p

violée et juste une seule