Leçons de vie
N Des
m'était tombée sur la tête et m'avait anéanti. Je lui lançais un regard furtif. Elle était assise là-bas, loin sur la chaise, donnant l'air de craindre une réact
que tu dises quelq
ue veux-tu que je t
ient si je n'avais pas pensé aux risques avant de m'engager sexuellement et sans protection avec cette fille. Je pensais...elle m'avait assuré qu'elle prenait à la lettre sa pilule. C'était à croire que non. Je savais déjà que mon père débarquerait
enfant maintenant ni toi d'ailleurs. T
e demanderais tu d'av
travaille pas, je m'occupe comment de l'enfant ? Nous dépendons d
enne Julien ! Me demander d'avorter est un péché. Tu me
i n'est pas son mari...c'est la fornication et c'est aussi un péché ma chère. Elle ouvrit la bouche, se
..je ne me ferai point avorter. Il va falloir que tu pr
e n'en veux pas. Si tu décides de garder cette grossesse
c'est ce q
e un fainéant mais les conditions sont rendues tellement difficiles pour les étudiants internationaux ici aux États Unis. Impossible de rester dans la légalité si tu veux te débrouiller un peu. Mon frère faisait partie de ces personnes-là qui avaient eu la chance d'être embauchées. Il s'est démarqué par son travail remarquable et du coup, ses employeurs ont bien voulu se munir d'un avocat d'immigration pour lui octroyer un H1B. J'espérais vivre la même chose à la fin de ce mois d'avril lorsque j'aurais terminé mon master. Je soufflais un coup ! C'est fou comme les problèmes pouvaient peser sur quelqu'un. J'attendais patiemment que mon frère rentre afin d'échanger avec lui et voir ce qu'il en pensait. Pour le moment, je ne pouvais plus rien faire. J'étais largué. Pas de boss pour ce soir, je rattraperai tout demain. Je sautais donc sur mon téléphone et consultais tout ce que j'avais
: Allo
ec ça ? Je ne suis plus petit la ! Maman : tant que je s
mieux maman ! Mais je s
as parler à monsieur mon père il fallait que je le fasse avec elle. Je lui expliquais donc toute cette histoire en espérant qu'elle puisse trouver une solution. Peut-être que si elle arrivait à parler à papa les choses se passeraient autrement. Je pouvais rentrer immédia
ment ? Je t'ai toujours dit de faire de ton mieux pour surp
nt. Vous êtes les seuls garçons et si l'autre continue d'être aussi droit tu risques de ne rien av
é et elle n'est pas du t
je t'envoie l'argent pour ça dis-moi seulement c'est combien. Si elle est têtue lave toi le
ce que tu di
t pour moi. Cependant je n'avais jamais compris pourquoi elle souhaitait tant qu'une certaine rivalité ou compétition naisse entre Ludovic et moi. Je devais toujours avoir des meilleures notes que lui. Je devais me montrer exemplaire et donner l'impression que Ludovic n'était pas à
IE D
lle traînait avec ses amies avant que le chauffeur ne passe nous récupérer, je passais mon temps avec mon Allan d'amour ! Allan était de deux promotions supérieures à la mienne. Je voyais souvent les mauvais regards de ces filles-là qui estimaient que je leur manquais de respect. Comment une fille en licence pouvait leur prendre le beau boss en master ? Et ben ayez un père comme le mien pour bénéficier d'une beauté comme la mienne c'est tout aussi simple. De
hant) : all
ment vas-tu
ais un peu bien ! Tu m
remédier ce soir lors de m
! Ce n'est pas tellement sû
Quelle petite amie n'assiste pas à l'anniversaire de son chéri ? O
intenant tu vas me faire passer pour un bon à rien devant mes amis. Tu sais très bien que je ne suis pas au bea
s avertir les autres qu'il n'y aura
ic
u. Aujourd'hui il allait avoir vingt-cinq ans et c'était un âge qui marquait. Je voulais donc lui faire plaisir et lui offrir la fête. On avait pratiquement tout organisé et voilà que mes plans tombaient à l'eau. Je ne pouvais pas jeter l'éponge comme ça tout de même. J'essayais de le joindre mais il laissait sonner mes appels et je m'en voulais à mort. Puisqu'il ne répondait pas je décidais de lui laisser un message « n'annule pas la soiré
ardon il faut faire qu
ortir le Patron a dit non hein et je ne veux pa
ésitant. Je le suppliais des yeux pour qu'il me rende ce service. Mon cœur fut soulagé lorsqu'enfin il te faut sa main vers moi. Je le remerciais et retournais à l'intérieur. Encore une fois j'essayais de joindre Allan mais sans succès. J'attendais que tonton Ibrahim revienne avec le reçu pour lui
puis je te c
s je suis
de répondre que tonton Ibrahim rentrait. Il s'approcha
lle opération
de l'argent à Allan pour
es série
: qu
ait que bouffer ton argent. C'est pour ça qu
c'était son anniversaire, tu allais lui offrir un cadeau non. Momo : oh ! Donc c'est tou
comprends
e pour qu'il puisse retirer l'argent et continuer avec les plans de la soirée. Il me répondît aussitôt, me remerciant pour ce geste. J'étais la parfaite petite amie si je me fiais à son message. Je souriais tellement ! Il était désolé que je ne puisse pas venir et me demandais s'il n'y avait pas un moyen pour moi de passer outre les ordres de papa et le retrouver. Hélas ! La nuit tomba rapidement et papa arriva. Impossible de le rater. Il klaxonnait tellement fort,
oui
: ç
apa et toi ?
a nourriture pour qu'on passe à ta
e bon monsieur s'installa dans son salon pour regarder je ne savais quoi. Il valait mieux pour ma sœur et moi de monter avant qu'il ne nous demande si nous avions étudier. J'allais rester un
ns à la soi
Tu es folle Leslie ? Tu veux q
sayons au
il nous a attrapées. S'il nous surprend une deuxième fois je ne sai
ff tu es
a ne fai
coûte que coûte aller à cette fête. Je quittais mon lit et allais dans ma douche pour une séance maquillage et me faire une coiffure rapide avec les cheveux. Pour plus de prudence, je glissais des affaires dans mon sac. J'allais m'habiller dehors après avoir sauté la clôture. Je choisis les bons talons aussi. Je rangeais mon lit de sorte à donner l'impression qu'une personne y était. Le couloir était plongé dans le noir complet. Je refermais la
an Françoise ! Je pensais que c'était
s que tu sortais tout de même. Et si c'était
aissée) : .
faire la fête. Je t'en prie ne te mets pas ton p
: ma
t ça se passait. Mais avant je consultais mon WhatsApp car ayant reçu une notification d'un numéro inconnu. Dépassée, je laissais tomber mon téléphone ! Je venais de recevoir une photo de Allan qui tenait une fille assise sur ses pieds. Ce
E
belle toujours bell
! Tu te fais de plus en plus rare hein. Précieux : toi-
etits massages qu'elle me procurait à chaque fois m'aidaient vraiment. Alice avait tout d'une femme qu'on épouserait en fermant les yeux. C'était un cordon bleu et elle savait prendre soin d'un homme. Elle ne faisait pas tellement d'histoire mais surtout rendait l'atmosphère dans l'appartement très vivable. Elle donnait l'apparence d'être un ange, tant elle était calme mais au lit elle s'avérait être une vraie tigresse. Il arrivait même que je n'ai pas à faire d'efforts quelques fois. Elle avait tout pour elle. Elle termina son massage et je filais prendre ma douche. Je retrouvais Alice et précieux au salon discutant gaiement. Je dû me racler la gorge pour qu'ils remarquent ma présence. Moi : la discussion là doit être vraiment importante au point de ne même pas faire attention à moi. Précieux : tu aimes trop les histoires frère ! Alice : on va passer à table ! Je me régalais encore une fois devant ce plat de placali avec la sauce graine. C'était le bon côté de New-York. On pouvait facilement trouver tous nos ingrédients du pays ici. Je savourais avec appétit de kplo (peau de vache/bœuf). J'avais l'impression de déguster un plat tout droit sorti de chez la restauratrice du quartier. Vous savez ces dames-là qui préparaient la même chose qu'on servait à la maison mais avec un petit plus. Je me léchais les doigts. Précieux : attention tu risques de te couper les doigts Moi : tu es con précieux ! Cherche-toi une femme qui va
seul que je connaisse qui tout le temps refuse u
nt ! Ta chance se trouve
numéro de dame chance et qu'elle t'
tes conneries !
is une sensation de froid sur les bijoux de famille. Le sommeil me quittait immédiatement. Je soulève les draps et rencontrais le regard malicieux de Alice. Que vous avais-je dit ? Elle ne me regardait pas plus et continua sa besogne. Je jetai les draps au sol et relevais légèrement la tête pour avoir cette vue parfaite sur son cul en l'air dans cette position qu'elle adoptait pour me sucer. Je grognais de plaisir tant elle savait s'y faire. Sa bouche était si accueillante et sa langue, elle l'utilisait en experte. J'adorais ce qu'elle
ce que tu fai
a sieste ! Qu'est-
une et lui retirais le string qu'elle portait. J'avais une belle vue sur son sexe délicieusement rasé. J'aim
tite coquine ! C'est comme ça que
rdant la lèv
connaissais bien ma petite amie, lorsqu'elle ramena ses mains sur ma tête et y exerça une certaine force, je compris qu'elle était sur le coup de jouir. J'arrêtais tout et enfonçais mon sexe bien dur en elle. C'était l'extase. Ce contact était tellement doux. Je passais ma main sous elle et là saisis pas les reins.
rde ! C'es
es ça n'est-
j'adore
me fois en elle comme chaque fois. Rien à craindre elle s'était fait installe
avec précieux Alice (étonnée) : c
veux faire part
e dois retrouver Ma
avoir accepté de venir. Précieux était sur la piste de danse comme à son habitude. Heureusement que la musique cessa un instant et le voilà qui approchait vers moi avec une demoisell
te à moi qui vient d'arriver du pays. Elle s'ap
lais mais je t'assure que tu peux compter sur lui pour tout. Nous éc
fille dont je te parlais
ah d'a
pas ta chance filer..
avec divine dans le salon. Elle était concentrée sur son smartphone de dernière génération en plus. Elle pianotait sur l'écran écrivant je ne savais quoi. Elle se penchât sur le
je suis
n de me prendre en pho
u devrais demander ma permis
nes que j'étais en face d'un bel homme avec tous ces muscles. Et ben
ons que tu
ns nous trouver comme ça tous les deux
s célibataire ! Ne me regardez pas comme ça !