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Leçons de vie

Chapitre 2 CHAPITRE 1

Nombre de mots : 5051    |    Mis à jour : 09/09/2021

lle

Vas-y doucemen

nt. Je ne peux pas faire moins

: h

d'autant plus que nous étions claires de peau. Je massais donc le dos de ma sœur pour atténuer ses douleurs. Elle l'avait fait avec moi et maintenant c'était à mon tour de lui rendre la pareille. Monsieur Desoto n'y était pas allé de main morte. Il s'était d

ilà c'es

ne penses pas qu'il fau

t vrai pourtant ! S'il a une femme, il sera tellement ab

i te donne cette as

er l'opération « trouve

rons cette femme ? Tu oublies q

te parle de dehors ? La fem

n Françoise ! M

rsqu'il faisait le sport dans la cour. Monsieur Desoto du haut de ses 45 ans était toujours aussi frais comme on le dit, bien sûr avec les tablettes. Ce monsieur prenait tellement bien soin de lui, la couronne toujours bien taillée, les cheveux mélangés à du gris donnant une couleur poivrée. Il assumait ses cheveux gris, jamais je ne l'avais vu utiliser de la teinture. Il était tellement beau et il le savait. Au fond mon style de mec physiquement était semblable à celui de mon père. Je souhaiterais tout juste que mon type à moi n'ait pas le même comportement. Alors un homme aussi beau que mon père, comment maman Françoise ne serait-elle pas touchée ? Maman Françoise avait trente-trois ans. J'avais rarement vu une femme avec un teint noir aussi beau que celui de maman Françoise. Elle était tellement belle et douce. Elle avait une poitrine imposante...j'aimais bien me coucher dessus lor

s arrivée ? Je pensai

pauvre monsieur, vous finirez par lui donner

en puisqu'elle ne nous avait pas trouvées en bas lorsqu'elle arrivait. Leslie nous rejoignit et l'on lui montrait les cicatrices que la ceinture de notre cher père avait laissé sur nos corps. Leslie : on voulait juste sortir un peu...on

se (regardant Leslie) nous

e vous é

-tu un c

: qu

n fiancé p

s vont encore chercher ? Vous savez quoi ? C'est une ques

anière de sous-entendr

t) : n'es

embobiner. Je vais superviser la no

r les appartements qui n'étaient même pas grands de plus. De fil en aiguilles, je me classais maintenant dans la catégorie des Unlawful immigrant comme on le dit souvent. Heureusement pour moi que le marché noir existait. J'avais ainsi pu obtenir un numéro de sécurité sociale, que je pouvais utiliser à ma guise. Même s'il était faux cela me permettait de travailler et éviter pas mal de questions. Les control étaient effectués rarement. Tant que je ne me faisais pas prendre, tout marchait pour moi. Je cumulais deux emplois à mi-temps. Lundi mardi et mercredi je bossais dans une usine qui était spécialisée dans la mise en boite de tampons féminins de quinze heures à trois heures du matin et le jeudi vendredi dans un supermarché de la place. Le week-end je me transformais en livreur, chauffeur de taxi avec des application comme Uber, Lift ou Doors dash. Lorsque le

gué pour rester là contre la po

le les charges de la maison. Vivre seul à new York est une mission suicide. Il arrivait que tu trouve

tte usine abuse de toi ! Travailler douze heures d'affilée

nos dirigeants. Si je voulais penser à cette histoire maintenant, grand serait le risque que je ne ferme pas les yeux le reste de la nuit. Je pris une douche rapide avant de rejoindre la seule chambre de cet appartement. Je n'avais pas très faim. Je me glissais sous les draps et frottais mon corps à celui de Alice. Alice était femme de ménage dans un hôtel de la place. Elle se faisait $14 de l'heure. C'était déjà ça. Nous étions tous ici à l'aventure. Heureusement que les control de rue ne se faisaient pas comme en Europe. Tant que tu n'avais pas de soucis avec la police ou toute autre institution juridique, l'on pouvait dormir tranquille. Alice était belle et plutôt calme. Cela ne l'empêchait pas d'être une battante. Demain étant jeudi, j'ai assez de temps pour dormir et me réveiller à midi. Mon équipe montait à treize heures po

w are You ? Depuis

é hein mais je suis à l'heu

n'est pas ce chauffeur raciste qu'on aura ce matin. Il r

uses ? Précieux : d'accord attend

rrivant, j'avais vu le camion stationner. On allait encore travailler durement. Nous voilà donc en train de décharger ce gros camion de toutes les privions. C'était très éprouvant et lent étant donné l'assistant du manager devait scanner tout ce qui sortait un par un. Il s'agissait d'une grande surface et parfois nous pouvions avoir plus de cinq cents cartons à décharger. Je détestais par-

ait j'ai un cir

rcuit ? P

oi à une bonne petite qui

parler au moins ! La petite est arrivée avec la Green card directement et ses parents au pays sont riches. J'ai directe

: hu

ce t'apporte quoi ? Vous êtes tous deux illégaux dans le pays des gens.

divi

est le prénom

boulot la pause est fini

Au contraire elle était à mes petits soins et je l'aimais tellement. Néanmoins il fallait considérer notre situation actuelle. Nous ne pouvons point quitter le pays au risque de ne point revenir ici ! L'argent pour le mariage on fait comment ? Mê

a T

a me connaissait. Pour ce qui était de mon physique, rien d'exagéré mais plutôt harmonieux. Une poitrine moyenne qui allait parfaitement avec mon ventre plat et mes hanches déployées. Mon fessier, lui était rebondi et très ferme. Il n'y avait pas de quoi me plaindre du côté de ma taille car mon un mètre et soixante-dix centimètres me convenait parfaitement. Je m'aspergeais de parfum et avançais vers le balcon de ma chambre. C'est mon endroit préféré car de là j'avais une vue parfaite sur la piscine placée dans mon beau jardin. Le jardinier était passé un peu plus tôt. Je m'assurais donc qu'il avait bien fait son travail. Pour mériter un salaire il fallait tout de même être à la hauteur de mes attentes. A ce que je voyais, il avait relevé le défi. Je laissais les instructions à la fille de ménage puis signifiais à mon chauffeur que je n'aurais pas besoin de lui aujourd'hui. J'allais chez ma mère et souhaitais éviter le maximum de questions embarrassantes. J'avais donc conduit jusqu'à chez elle ou du moins jusqu'à chez son mari. J'a

chérie tu es

aussi ! Et les autre

h c'est

sert quelque c

s de la maison comme ça et le sol

'étaient plus aussi solides financièrement. Cet argent pour lequel il était si fier disparaissait peu à peu. Cet argent pour lequel il était si adulé et personne ne pouvait aller contre lui. L'on ne priait pa

e liquide tout, je te rembourserai. Ne te

cet argent et ne cherche pas à

lorsqu'elle parlait de lui en ce terme) mais il est tellement préocc

urs je devais passer derrière. Je me souvenais encore comment Joëlle, ma sœur, qui était en classe de terminale m'avait appelée un matin, en pleurs, afin que je puisse régler sa scolarité au risque qu'elle ne puisse avoir acc

n) : j'espère que ce

ment ! Ça doit sûrement être Joëll

a servante passa près de nous en c

elle était sincère. Seulement Elizabeth était tout aussi hypocrite que sa mère. Je savais déjà que ma visite allait tomber dans les oreilles de monsieur Ahizi. Elle traînait avec elle un sac de voyage comme toujour

belle Luna ! Moi (souriant) :

belle et poncée il faut que tu me donnes ton secret hein. Regarde comment ta tante est toute fa

c'est difficile. L'essentiel c'est que je

e voir Luna ça faisait tellement long

s mes propre

là. Surtout qu'il y a un nouveau phénomène, un genre de prostitution qui ne dit pas son nom-la. C'est bien de travailler comme une grande. Puis

mari Tantine

ne suis pas encore mariée..

de trouver le bon qui t'aimera avec tes deux enfants. C'est le plus impo

aman soit la sinon je lui aurais sorti pire que ça. Une sorcière comme ça. Tu as deux enfants dont les pères étaient très bien mariés et tu oses venir faire la morale aux gens comme si tu étais une sainte. J'en profita

BETH

terre, il n'en demeurait pas moins de la souillure. Mais les hommes sont tellement têtus. Il avait fallu que lui-même s'en rende compte avant de taper du poing. C'était elle-même qui avait décidé de s'en aller de cette maison. Comme elle couchait maintenant avec les hommes mariés, elle pensait être arrivée. Elle pensait peut-être qu'on n'entendait pas parler de ses frasques. Une jeune fil

hant) : all

Eliza comm

uis chez toi comme ça mais on

ty ! J'ai fait croire à Vivia

va ? Sylvain : tout se passe bien. Mais j

upée ? J'arrive chez toi et je tombe sur

in : q

sont encore jeunes. Il ne faut pas qu'elles soient tentées par ce train

les. J'avais pourtant été très claire

lait mieux pour lui qu'il r

t pas allé jusqu'à mettre son nom sur cette fille sinon nous serions foutus dans cette famille. Je poussais un juron avant de mettre mon sac de voyage sur le lit et d'en faire sortir mes vêtements que je r

filles ne sont pas

s tellement obligée d'avertir ton frère par

voir qu'est-ce qu'il y'a de mal dans cette affaire ? Tu es sa mère après tou

rès clair dans ton jeu. Tu veux me dire que ton frère

e pour voir car ce n'est pa

que mon frère a écouté notre mère et a pris une autre femme. En moins d'une année la voilà enceinte et l'échographie a déjà montré qu'elle attendait un garçon. On attendait seulement la naissance pour la faire venir dans cette maison. Ce n'

A T

e répondre ! « Et ta femme ? » « Dans la chambre. Je me suis éclipsé dans mon bureau. J'ai vraiment besoin de parler » « On le fera demain pour l'instant va rejoindre ta femme dans votre lit. Je serai à ton entière disposition demain » « Humm » Je ne répondis plus et mis mon téléphone en mode avion pour ne pas recevoir un autre message venant de lui. Il avait envie de parler qu'il soit patient et attende demain.

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