Victorine et les évadés de la côte sous le vent
ne et s
ux côtés de sa belle-mère Hortense, la seconde épouse
amps couper l'herbe pour les animaux o
n piquet le long des chemins ou les poules qui leur donnaient quelques œufs et
esqu'île du Diamant, ponctuée de baies, de petites criques et de plages. Cette route qui rel
carpée plongeant dans les eaux limpides de la mer des Caraïbes, elle rêvai
s avec comme décor le rocher en forme de diamant qui a donné son nom à
ent(œuvre origina
is et plus particulièrement des Martiniquais depuis qu'ils avaient la lib
t des veillées organisées en leur mémoire où elle préparait avec les vois
in, l
he de Victorine, l'enfant qu'il a
les denrées alimentaires, les vêtements mais aussi les fonctionnaires qui ten
les sœurs de la Caraïbe d'où
, bien sûr de l'esclavage et des actes de ré
avage avait pu s'enraciner sur ses terres et acquérir une identité. Le mode d'appropriation avait été l'achat et non l'occupation sans titre. En effet, de 1848 à 1875, des portions de terre avaient été vendues, ce qui permit
grands bourgeois de couleur comme le député Sévère ou le sénateur Lemery. Ce derniers'était fait estimer des habitants des campagnes comme des petits fonctionnaires des bourgs, des ouv
12écrit à
e pour son projet d'entente avec les Békés comme des communistes du G
du peuple », organe républicain d'action économique, sociale et poli