Les Ombres de la Vengeance
hommes, le visage couvert de sueur
en était en suspens. Le véritable test viendrait bientôt, et tout dépendrait de leur
rvant la bataille. Dorian, un sourire sinistre sur les lèvres, reg
lait, bien plus grande que la
acabre. La fumée s'élevait des bâtiments incendiés, embrumant l'air et obscurcissant la vue. Les rues, autrefois animées par les rires et la vie, étaient maintenant des champs de bataille j
lourde à chaque coup qu'il portait. Le sang séchait sur son front, mélange d'efforts et de la poussière du combat.
aînés, ne faisaient preuve d'aucune pitié, tuant tout ce qui se dressait sur leur chemin. Orlan sentait la peur se mêler à la colè
rla
des combats. Orlan se tourna, juste à temps pour voir le roi et la reine, encerclés par les forces de Kalmaris. Les y
z-vous-en ! Je vais les reten
ils. Il n'y a plus de fuite possible. Mais
ses parents au moment où un soldat de Kalmaris, un capitaine à l'armure noire, levait son épée po
de plus ! »
en chair et en os, » dit-il avec un sourire tordu
es torches. Il lutta de toutes ses forces, mais pour chaque adversaire qu'il abattait, deux autres prenaient sa place. So
clair que ses forces l'abandonnaient. Un coup bien placé lui trav
e son père, mais une horde de soldats le rep
cible. Puis, dans un ultime effort, le roi leva la tête, faisant face à son exécuteur avec dignité. Un instan
i qui déchira l'air et sembla suspendre
e lame brillante prête à frapper. Sans hésitation, Orlan fendit l'air de son épée et transperça l'assaillant. Mais alors qu'il se tournai
ermant doucement alors que le sang co
Le sang de ses parents imprégnait le sol, une tache indélébile dans l'histoire de Verden. Sa rage explosa. Il attaqu
erclé. Son souffle se faisait court, son épée lourde et maladroite. Un soldat ennemi le frappa durement
on torse, le plaquant au sol. Dorian, vêtu d'une armure ornée de symbol
'un geste nonchalant, « je dois dire que tu as été plus tenace qu
ontre le sol. Le jeune prince se débattait, mais il savait que ses forces le quittaie
embrasser le chaos qui régnait. « Ton royaume est à genoux, tes parents
e rapidité déconcertante, le frappa violemment à la tête avec le pommeau de son épée. La doul
à ses hommes en se redressant.
corps inerte d'Orlan, le lièrent solidement avant de le traîner hor
e ne faisait
ns de Verden gisaient encore. Il les observa un instant, impassible, avant de
upez-vous des survivants. Pas de prisonniers. Je veux que l
e salle, savourant pleinement sa victoire. Mais il savait que ce n'était que la première étape. Il se dirigea v
visage. Orlan vivait encore. Et tant que ce dernier soufflait, quel
ou d'une autre, que ce dernier espoir serait bientôt é
me prospère et paisible, n'ét
ever, mais une douleur aiguë transperça ses côtes, et il retomba lourdement sur le sol froid. Sa tête bourdonnait, les événe
ut, es
, le visage masqué par un casque. Il leva une main pour se protéger du soleil éclatant qui baignait la cour où il était all
le soldat, le frappant cette
n corps meurtri. Autour de lui, il vit d'autres prisonniers, des hommes et des femmes de Verden, enchaînés, sales, et humiliés. Certa
Orlan ? Il ne ressemble pas vraiment à un prince maintenant, n'est-ce pas ? » Il rit, une son
, mais il tentait de rester debout, de ne pas leur offrir la satisfaction de le voir totalement brisé. À chaque pas, ses chaîne
s. Les magnifiques tentures qui ornaient autrefois les murs avaient été arrachées, les meubles brisés, les sols tachés de san
le trône royal, un pied nonchalamment posé sur l'accoudoir. Le contraste était saisissant : là où Aldric et
e voilé. « Enfin, nous nous retrouvons dans de meilleure
an avec une haine brûlante. L'humiliation était insupportable, mais il n
e raison, Orlan. Verden est à moi maintenant, et je veux que tu sois témoin de sa chute. Je veux que tu voies ton peuple réd
u seras jamais, Dorian, » cracha Orlan,
Oh ? Et pourtant, où est-il maintenant ? Enterré