Mes Caprices de Femme Milliardaire
orte. Isabella ajusta sa robe de soie, veillant à ce qu'e
ntr
niforme de majordome, chaque bouton soigneusement en place. Il entra sans un mot, se tenant droit, les mai
e ce masque impassible. Elle fit un pas en avant, son regard ne quittant pas le sien,
« je voulais que vous vérifiiez la fermeture des rideaux. Il me semb
e voulait voir comment il réagirait à ce premier ordre, si simple en apparence. Elle était
et mesurés. Il ajusta les rideaux, tirant légèrement sur le tissu pour s'assurer qu'aucune lu
dame, » dit-il, toujour
fort, aucun regard furtif, rien qui ne trahisse une quelconque émotion. Elle s'approcha le
murmura-t-elle, ses yeux cherchant les siens, « mais j'ai
vait voir ses yeux se durcir légèrement,
servir avec dévotion, Mada
oir une barrière, une distance qu'il s'efforçait de maintenir, comme un bouclier contre ses avances. Ce sim
Lucas, traçant des cercles imaginaires sur le tissu. Elle pouvait sentir la
à peine audible, « les gens ici apprennent ra
elque chose de plus que de l'indifférence. Était-ce de la détermination, du défi ? Impos
dame, » répondit-il finalement, sa voix touj
pas ce qu'elle avait attendu. Elle avait espéré une réaction plus vive, plus émotionnelle. Au
itié provocant. « Et pourtant, vous semblez si... distant. C
r. « Je suis ici pour vous servir, M
bella se sentit déconcertée, une émotion qu'elle n'éprouvait pas souvent. Elle n'avait pas prévu qu'i
l portait avec tant de détermination. Mais elle ne trouva rien. Ce qui la déstabilisa encore plus, c'était la consc
. « Vous pouvez disposer, Lucas, » dit-elle d'une voix douce, mais avec une
mbre, fermant la porte derrière lui sans un bruit. Lorsqu'il fut parti, Isabella rest
mmes cédaient face à elle, subjugués par son pouvoir, par son charme, mais Lucas semblait avoir une force intérieure qui lui permettait de rester à l'éc
r, lui, cet homme au charisme tranquille, à ne pas se laisser prendre dans ses filets ? Était-ce de la simpl
curiosité qu'elle savait dangereuse. Lucas était une énig
demeure, Isabella se retirait dans ses appartements, où tout était soigneusement orchestré pour son plaisir. Chaque détail avait son importance : la lumi
re, été convoqués dans sa chambre pour satisfaire ses désirs. Chacun d'eux, à sa manière, s'était soumis à sa volonté, acceptant le rôle qu'elle leur imposait avec une sorte de docilité ré
-delà de ce qu'ils pensaient être capables de supporter. Elle aimait les voir se tordre sous ses ordres, oscillant entre désir et
si, sans qu'elle se l'avoue entièrement, cherchant quelque chose de plus, une étincelle qui viendra
silencieuse, mais jamais il n'avait manifesté la moindre émotion, la moindre réaction face à ses tentatives de le provoquer. Isabella avait tenté de l'attirer d
ucas ne jouait pas selon ses règles, et cela la poussait à remettre en question ses propres certitudes. Pourquoi ne réagissait-il pas ? Qu'est-ce qui le
es, soumis à sa volonté, mais leur docilité ne l'amusait plus autant. Elle continuait de les appeler dans sa chambre, explorant leurs limites,
it par les fenêtres ouvertes ne suffisait pas à apaiser la chaleur qui envahissait la pièce. Elle se tourna sur le côté, fixant le téléphone sur la table de chevet. L'envie de composer le numéro de Lucas était
ant les vagues qui se brisaient doucement contre les rochers en contrebas. La lune éclairait la mer d'une lueur argentée, renda
ncore plus distant, encore plus inatteignable. Elle se demandait ce qu'il pouvait bien penser lorsqu'il la vo
Lucas. Elle les observait à peine, leurs gestes mécaniques lui paraissant soudain si fades en comparaison de l'énigme qu
elle allait l'observer, le scruter de loin, essayer de comprendre ce qui le motivait.
dans l'ombre, observant chacun de ses gestes. Il semblait perdu dans ses pensées, ses yeux fixés sur l'horizon, comme s'il cherchait des réponses que lui seul pouvait comprendre. Cette scène, d'un