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Mes Caprices de Femme Milliardaire

Chapitre 3 N3

Nombre de mots : 1975    |    Mis à jour : 20/09/2024

ce qu'elle voulait, et elle savait que Damien ne la décevrait pas. Quelques minutes plus tard, un lé

ntr

ui. Il s'avança, ses mouvements mesurés, son visage impassible, mais ses yeux trahissaient une certaine

a-t-elle en se retour

n'était pas juste un travail, c'était une question de confiance, de loyauté. Isabella, sans un mot, fit glisser la fine robe de soie qu'elle portait, la lais

chemise. « Je veux que tu restes avec moi ce soir, » murmura-t-elle, ses lèvres effleurant son ore

dit-il calmement, son ton égal, même si so

chaise, avant de la rejoindre sur le lit. Isabella se laissa tomber sur les oreillers, observant chaque geste de Damien avec une anticipation palpable. Lorsqu'il f

araître une ardeur maîtrisée, une réponse à chaque mouvement d'Isabella, à chaque soupir qu'elle laissait échapper. Ses mains exploraient sa peau avec une tendresse inatten

simple plaisir physique. Avec Damien, elle pouvait laisser tomber les masques, se permettre une vulnérabilité qu'elle ne montrait jamais en dehors de ces murs. Elle savait qu'il ne la jugerait pas, qu'

posa un dernier baiser sur l'épaule d'Isabella, puis se leva pour se rhabiller. Elle l'observa en silence, sentant déjà le retour de l

ura-t-elle finalement,

rète. « C'est moi qui vous remercie, Madame, » répondit-il avant

a nuit passée. Elle savait que cette relation avec Damien était complexe, tissée de respect mutuel, de désir, mais aussi d'une certaine

ccupait de la table avec sa grâce habituelle. Matthieu, souriant comme toujours, échangeait quelques plaisanteries avec le personnel de cuisine. Mais malgré l'atmosphère légèr

fficacité, la même discrétion. Mais Isabella pouvait lire dans ses gestes une subtile différence, une conscience de leur lien, même s'i

entait son jugement silencieux. C'était comme s'il voyait à travers elle, percevant ses faiblesses, ses désirs cachés. Cette distance qu'il maintenait la troublait plus qu'elle ne voulait l'admettre. Contr

devant Lucas, cherchant son regard. « Lucas, » dit-elle d'une voix douce

rendre ce qui se cachait derrière cette question. « C'est un endroit... fascinan

abella, arquant un sourci

sissant ses mots avec soin. « Quelque chose qui dépasse

es paroles. « Vous êtes un homme de peu de mots

ver, Madame, » rép

nsista-t-elle, curieuse de

le

ante : « J'observe que tout le monde ici porte un masque. Et par

le montrait. Elle sourit, mais c'était un sourire sans chaleur. « Peut-être que certa

pondit-il avec une légère inclina

u était un homme mystérieux, et elle ne savait pas encore s'il était un allié ou un danger. Mais une ch

le se demanda jusqu'où ce jeu pourrait aller, et si elle serait capable de garder le contrôle face à un homme qui semblait voir à travers elle. Mais pour l

arler, lui donnait l'impression qu'il voyait plus loin, qu'il percevait les failles qu'elle s'efforçait de cacher. Elle savait qu'il fallait qu'elle soit p

lit, réfléchissant à tout ce qui s'était passé ces derniers jours, à ses relations avec les majordomes, à Lucas, et à ce que cela signifiait pour elle. Elle savait q

emin que prenne cette situation, elle trouverait un moyen de garder le contrôle, de rester maîtresse de son

s idées, de rappeler à tous, y compris à elle-même, qui était la maîtresse de cette villa. I

te et mystérieuse, comme si le temps s'y déroulait différemment. La lune, pleine et brillante, jetait une lumière argentée sur les murs de la villa, créant des ombres dansantes qui sem

nt silencieux, ni comme Nicolas ou Matthieu, toujours prompts à satisfaire ses moindres désirs avec une révérence presque obséquieuse. Non, Lucas était différent. Il accomplissait ses tâc

Elle avait besoin de savoir qui était vraiment Lucas, et surtout, pourquoi il semblait si indifférent à son charme. Était-ce une simpl

anticipait déjà le plaisir de ce qui allait suivre. D'un geste décidé, elle composa le numéro de Lucas.

, Mad

trouvant cette distance d'autant plus intrigante. Elle laissa une pause, com

ue en un murmure, « j'ai besoin de v

jeu, où le pouvoir changeait de mains avec une simple phrase, un simple geste. Elle savait que

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