Mes Caprices de Femme Milliardaire
blait presque irréelle, perdue dans une nature luxuriante, une vision d'opulence et de mystère. Ses lignes épurées et modernes se fondaient harmonieu
ers centenaires se balançaient doucement sous la brise marine. Le son apaisant des vagues s'écrasant contre le
ols en marbre blanc se poursuivaient à l'infini, reflétant les œuvres d'art modernes accrochées aux murs, et les meubles, choisis avec un goût irréprochable, alliaient
l'ébène qui cascadaient en boucles douces le long de son dos. Ses yeux étaient d'un bleu perçant, presque glacials, comme si elle pouvait lire dans l'âme de quiconque osait la regarder trop longtemps. Son visage, finement sc
t parfaitement en place. Le personnel, composé des meilleurs dans leurs domaines, la servait avec dévotion, conscient que la moindre erreur pouvait leur coûter leur emploi, ou pire. Ils parlai
e. C'était une part d'elle qui l'effrayait autant qu'elle la fascinait. Elle avait toujours su qu'elle était différente, que son besoin de domination et de c
de la femme d'affaires puissante. Là, dans l'intimité de ses murs, elle se permettait de laisser tomber ses barrières, de s'abandonner à ses désirs les plus profonds. Elle ava
t de tapis épais. Une grande table en bois sombre trônait au centre, entourée de chaises rembourrées. Des instruments de discipline, soigneusement rangés, étaient disposés
qu'elle avait attirée dans son monde. Mais ce n'était jamais par amour ou par passion. Isabella ne croyait pas en ces choses. Pour elle, les relations étai
retrouvait seule, face à elle-même, se demandant si elle était condamnée à cette existence pour toujours. Elle se demandait s'il y avai
aient contre les rochers, et la lune pleine éclairait l'île d'une lumière argentée. Elle porta son verre de vin à ses lèv
pensée traversait son esprit, elle se rappelait pourquoi elle était devenue ainsi, pourquoi elle avait construit ces murs autour d'elle. L
où elle était différente, avant que la vie ne la durcisse, avant qu'elle ne décide que la seule façon de survivre était de ne jamais montrer ses
es risquaient de la rendre vulnérable, et elle ne pouvait se le permettre. Pourtant, elle ne pouvait l
re chemin, un chemin qui la mènerait peut-être vers une forme de paix intérieure qu'elle n'avait jamais connue. Mais pour
squement, son regard se posant sur la porte de sa chambre. Un léger sourire se dessina sur ses lè
rte, elle se retrouva face à Lucas, l'un des majordomes les plus anciens de la villa. Il était grand, avec des traits marqués e
Madame, » dit-il
Elle aimait ce pouvoir qu'elle exerçait sur lui, sur tous les autres. Mais ce soir, elle s
e voix ferme mais distante. «
u. Isabella prit une profonde inspiration, se demandant combien de temps encore elle pourrait
bscurité, elle sentit le poids de son propre secret, de ses propres désirs inavoués. Les murs de soie ro
décidé de ne rien faire, de simplement rester là, dans le silence, confrontée à elle-même. Les instruments
e charme mature et rassurant. Ses cheveux poivre et sel, sa mâchoire carrée, et son regard profond lui donnaient l'air d'un homme qui avait tout vu et tout vécu. Il était le pilier sur lequel Isabella s'appuy
qui semblait percer les âmes, et un charme naturel qui ne laissait personne indifférent. Isabella appréciait son sens de l'esthétique, sa capacité à anticiper ses désirs, et la façon dont il savait rendre c
plaisanter, à détendre l'atmosphère, il était apprécié pour sa capacité à rendre les journées plus agréables. Mais Isabella savait aussi qu'il était impulsif, parfois imprudent, et elle dev