Rivardia - Un Nouveau Monde
onné mille coups de marteau dessus. Une lumière vive sur la droite a attiré mon regard, c'est lui l'homme-chat. Il est près d'un feu, il me tourne le dos et je ne vois pas ce qu'il fabrique
J'ai soigné et pensé tes blessures. Il te faudra éviter les mouvements brusq
triguée mais rassurée. Il n'a p
une erreur. Merci beaucoup pour mes b
bol en bois près de moi. Une étrange mixtu
et parmi les Tisse-Morts et les golems mais je t'ai
vraiment confuse. La douleur est bien réelle, j'ai affreusement mal aux genoux, à la tête aussi. Tout s
être seule dans cette forêt. Est-ce que tu peux me dire ou on se trouve ? Je
e d'un air i
loin si tu n'as jamais vu de Néorians. Ensuite, je ne crois pas souvent des femelles humaines perdues tous les jours, alors po
s dans les films fantastiques, dans les deux cas, la plaisanterie as assez duré, je rentre chez moi. Je tente de me mettre debout avec peine. Mes genou
u'est-ce que
ste près de moi
s ! Tes blessures !
s lui difficilem
que sais-je d'autre, j'en ai assez. Et il est grand temps que je rentre chez moi. Il y
buissons et ces feuillages. Puis après quelques pas fastidieux, étonnamment prise de regrets assez immédiat, je me retourne, et constate avec surprise qu'il n'est plus là. Il n'est plus au camp, devant son feu. Un petit cri soudain s'échappe de ma part. Il m'a fait basculer en arrière, pour attraper le milieu du dos et les jambes. Le voilà qu'il me portait comme une princesse. Mais à peine ais-je compris ce qu'il m'arrivait qu'il bondit sur une branche,
arbre, un immense arbre. Il m'adosse au tronc, de la branche la plus haute
e regarde fixemen
omment tu t
st Shellinka, ma
r ma bouche et fro
el est l'ancêtre que tu appelles ''Père'' celui pour qui tu pries le soir. Mais ce que je sais c
e être e
minuscule village au milieu de la forêt tout au loin. On voit les petits
s bêtement en t'entêtant à aller dans ta maison paumée pour rouvrir tes blessures.
che l
age s'a
ie
ne princesse, puis reprends l
odeurs, les fleurs qui luisent, le champignon doré géant, maintenant cet homme chat. Puis-je me permettre d'y croire ? Même un tout petit peu ? Peu m'importe s
nt sur mon petit tas d'herbe. Je le regarde et pointe
aintenant. Tout en s'asseyant pr
? Dis-je en tâtant curieusem
e me nomm
'est très joli,
e sont principalement des paysans, c'est au
. Et ''Iruo'' on dirait un nom d'un état américain, je ne sais pas, on dira
ai suivi un ami dans une vieille maison, et je m'y suis probablement évanouie. En m
t amenés ailleurs pour une rançon ? C
nt navrée pour elle...mais je ne
ête et hausse
un peu partout. Je t'ai alors suivie parce que tu m'intriguais. Et puis je t'ai vu t'asso
sage avec mes mains et j'essa
irys ? Pourquoi tu chassais ce
er. Je pensais l'attraper et la revendre à un très bon prix. A
orer des choses affreuses qu'il doit en plus, déjà avoir en tête. J'ai aussi très envie de lui venir en aide, mais je ne saurai même pas par où commencer. Qui plus est, je suis d'ordinaire assez inutile dans un peu près n'import
mange. Tu dois dormir, il es
ule gorgée. Ca a un gout de courge, mais qu'on aurait mélangé à un concombre qu'on aurait laissé moisir dans du lait périmé. Mon visage déformé par ce gout exécrable ne doit pas être beau à voir, mais j'essaie de rest
ni de manger. Il aiguise ça
onde lui aussi ? Quel serait le meilleur moyen pour le retrouver ? Ael, lui, doit surement dormir vu l'heure qu'il doit être. Il a dû assister à son fichu cours de math, être rentré tout heureux à la maison
e coucher près de moi. Je me sens
est dans ce genre de moment, le soir, à l'heure de dormir ou je repense beaucoup à mes regrets et mes rêves fous, mais étonnamment cette fois, je me sens bien. Vu t
a respirati
s'est
me les