Un Mariage, Trop de secrets

c sa mère. James, quant à lui, détestait ces après-midis où il devait regarder le football avec son beau-père, assis sur le canapé. Il se sentait o

éatrice lui manquaient cruellement. James détestait les fêtes de fin d'année, surtout lorsqu'el

ttrapa la main de Béatrice et la tira

lle, que je savoure te

sont juste à côté. Tu sais que mon père est tou

is il la tenait fermement, l'

ta James en lui caressant les fesses

, je te promets que tu auras tout ce que tu veux quand on sera rentrés.

r les ardeurs de James, ce qui n'était pas envisageable dans cette mai

ez bien. De toute façon, maman va bientôt servir. Allez, détac

évèrement. James et Béatrice échangèrent un regard consterné ava

ire y avait investi beaucoup de temps et d'énergie, et aujourd'hui, il était fier du résultat. Le ranch, autrefo

res, ses cafés élégants, le métro, et même les embouteillages. Pour lui, le silence de la campagne était un

ême si elle n'aurait jamais d'enfants. Pour combler ce manq

ses lèvres rouges cerise et ses cheveux ondulés. Sa

es cerises à la mayonnaise, et d'autres plats froids. Rien de tout cela ne plaisait à James, bien qu'il reconnaisse les talents culi

ne avec une carafe de vin

veut d

u pour moi, r

merci, je vais prendre

s en regardant sa fille.

te donnera des couleurs. Tu sembles bien

rasade de vin, qu'il avala bruyamment. Béatri

jourd'hu

la terrible gueule de bois de l'année précéden

as d'alcool à Noël ?

une gorgée de vin, mais il eut du mal à la faire passer. Assis en face, il scrutait la salle à manger, in

e passer une nuit de plus sans la chaleur de sa femme. Heureusement, la minuterie du four

agaçait James. Vers vingt-deux heures, il ne tenait plus en

a bûche alors ? Je la donne a

de inspiration avant

ez vous, il est temps de rentrer. Et demai

i était prévu, tu ne t

il avait prévu de ne rester que deux nuits et pas une de plus. Béatrice allait sûr

vifs. Grégoire la scrutait, cherchant à trouver quelque chose à redire, mais Naomie, bien consciente du tempérament impulsif de son mari, lui adressa un signe de tête encour

dit-il finalement avec un sourire f

ent un regard complice, un

Maman, ta dinde aux marrons, c

, fit crisser sa chaise en se levant, et sans un mot de

arer un peu de dinde aux marrons pour