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Un Mariage, Trop de secrets

Chapitre 5 Chapitre 5

Nombre de mots : 1316    |    Mis à jour : 30/08/2024

t teints en rouge, une jupe en cuir noir qui s'arrêtait juste au-dessus du genou, et des

essé par une prostituée, déclara Paul,

e d'excuse, mais la femm

de bus qui m'a laissée ici, au milieu de nulle part. J'étais endormie, et il m'a

ège. Depuis le décès tragique de Maurice Valenskoski lors d'un vol sur un parking, Paul était devenu plus méfiant. Les médias n'avaient pas

r, elle déposa son sac à ses pieds et s'assit confortablement. Paul, un homme grand et costaud, avec des cheveux noirs mi-longs et des

son sont fréquents p

égèrement, et Paul co

pas trouvé u

Je ne pouvais pas attendre demain matin

nne ne vou

tit garçon. Je me suis endormie, et le chauffe

les parkings la nuit. Tous les chauffeurs ne sont pas aus

pas le choix. Le prochain bus ne passe que dans trois jours. C'est lo

regard rapi

vous app

éré

Paul. Mais vous tremblez ? Vous avez fro

uisée. Puis-je enlever mes chau

dormir sur la banquette arrière, je prendrai le

les pieds. Il remarqua sa petite jupe et les genoux dodus pris dans des collants noirs en mousseline

avés et des lèvres aussi plates qu'une bière sans mousse. Mais après des jours d'abstinence au volant de son camion, même sa propre main ne suffisait plus à apaiser ses désirs. Le manque de chaleur féminine, le c

Il ne pensa même pas à sa femme restée à la maison, ni aux conséquences d

, arrêta enfin de fixer les genoux de sa pas

it-elle en soufflant doucement

ille a accouché ? demanda Paul, e

éclairé vers lui, comme

d'ici, donc j'ai rapidement préparé mon sac pour la maternité. Mais ce foutu chauffeur de bus m'a débarquée trop l

us déposerai demain matin. J'ai une livraison à Saint-Bric

pondit-elle en se grattant le nez,

udinés de la femme, ornés de bagues en or qui re

es pieds, si petits, sans doute un trente-six. Cette vision l'excita, et un rire

il avec une douceur presque mielleuse. Il y a un petit lavabo sur votre dro

répondit Bérénice avant de se tourner et de passer e

'odeur de ses collants mélangée à celle de la sueur. Les draps, doux et ornés de mo

rideau du pare-brise, dit-il en s'assur

nuait de se déshabiller, laissant tomber un sachet de lavande qui libéra un parfum puissant. D'un geste expert, elle dégrafa son soutien-gorge. Pa

à genoux sur le matelas, et il pressa son érection contre elle, à travers le tissu. Bérénice gémit de plaisir, tandis que Paul dé

lle en réponse

elle, murmura Paul, son cerveau

qui continua de lécher sa peau. Son doigt trouva le petit bouton se

me rends dingue

r par me faire jouir, répondit-elle

vrant la nuque de Bérénice de baisers. Elle

s pas ici, demanda-t-elle. Je v

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