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La dernière étoile

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1805    |    Mis à jour : 12/08/2021

ne mauvaise journée, et il comme

é convoqué par la direction pour discuter– comme il l’avait d’abord espéré – de la hausse de salaire qu’il attendait depuis dix ans. Des in

nières circulaires administratives qu’en diagonale, il était à peu près certain qu

lui faisait face, la salle était entièrement dénuée de mobilier. Les quatre murs, strictement égaux dans leurs dimensions, hauteur comme longueur, étaient aussi uniformément blancs que le sol ou le plafond

’accès à l’heure locale – et à tout le reste aussi, bien évidemment. Non, rien à faire : il n’aimait pas verser dans la paranoïa, mais décidément, quelque chose ne tournait pas rond. Lentement, fugacement, po

e espèce de « schlorp » dont la sonorité était un tantinet agressive à l’oreille. Une jeune femme fit son entré

ait mag

ervices commerciaux13. Une seule certitude s’imposa à lui en apercevant la nouvelle venue : c’était la première fois qu’il posait les yeux sur e

tarder, lui donnant un air un peu distant, rêveur, presque éthéré. Sa longue chevelure auburn était ramenée sur sa nuque en un chignon qui la vieillissait à peine – il était extrêmement difficile de lui donner plus de vingt ans. Elle portait une

ormuler à voix haute. « Je vous remercie pour la considération, continua-t-elle sur un ton égal, mais – au risque de vous décevoir –, ils sont plus petits que ce que

se passer n’était définitivement pas normal. La plupart des femmes qu’il rencontrait étaient – certes – capables de deviner rapidement le fond de sa pensée, mais certainement pas au point d’être capable de formuler cell

Renifleuse. C’était pas une connerie des sites complotistes de l

de sa robe, elle s’assit sur le siège laissé vacant en face de celui de Glenn avant de le fixer, le visage toujours vide d’expression. Son regard était vraiment impressionnant. « J’ai quelques question

comme être nu face à une inconnue, mais à un niveau beaucoup, beaucoup plus intr

isage. L’ingénieur ne savait pas où poser les yeux. Il avait le sentiment que croiser le regard de la jeune femme était comme ouvrir une porte sur son esprit à lui – ce en quoi, il se tr

yeux sans rien di

de la date du jour. C’était il y a plus d’un mois ! Qu’est-ce qu’elle croit, que

transaction », continua la télépathe, s

. Mais cette fois, le cœur de l’

chiotte, je savais que c’était risqué… mais merde ! J’allais quand même pas dire non à une pareille montagne de pognon ! Il y avait l’équivalent de ce que je

nçant très légèrement les sourcils. « Dites-m’en plus sur

u, j

ement un sujet de réflexion, et son abruti de cerveau embrayait à sa suite, sans même qu’il ait l’occasion de lui commander de penser à autre chose. C’était bien la première

pense à rien, pense à rien ! Pense à r– Demande précise, grand professionnel. Aurait sans doute pu hacker directement mon IPC, me manipuler, mais faut croire qu’il ne vou

ne semblait pas surprise– plutôt blasée, mais c’était très difficile à dir

… ambigu. Encore un effort. Communiquez-moi les dernières informations que vous ch

écarquilla les y

vas quand même p– grand professionnel, pas là par accident. Savait où il allait, savait ce qu’il lui fallait. Connaissait tout, jusqu’au montant de mes dettes. C

rsonne ne lui avait jamais appris à faire ça ! C’était atroce, il se sentait comme un jouet entre les mains d’une enfant sadique. Il

d’haleine, il réalisa que la ch

ant de reprendre son souffle, lorsqu’une voix masculine s’é

tium a le grand plaisir de vous notifier de votre licenciement immédiat sans préavis ni indemnités. Une équipe de sécurité va venir vous

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