La femme du PDG a un petit ami
chaque moment était plus spécial que le précédent. Dès notre première rencontre, il y avait une alchimie p
rète, entourés par l'élégance de la décoration et le murmure des conversations feutrées. La lumière tamisée fais
iardaire ? C'est une histoire que j'aimerais beaucoup entend
grandi dans une petite ville, sans beaucoup de ressources. Mais j'avais une passion pour la technologie et une volonté de fer. J'ai travaill
détermination est inspirante, John. J'ai toujours admiré
ilant peu à peu. Victoria m'a parlé de son enfance, de ses débuts d
n monde impitoyable. J'étais toujours sous les projecteurs, et chaque imperfection était scr
onnexion profonde entre nous. "Tu n'es plus seule,
llants d'émotion. "Merci, John.
ière au coucher du soleil. La mer scintillait sous les derniers rayons du jour, et le vent doux faisait d
s'asseyant sur mes genoux, ses bras enroulés auto
a douceur de sa peau. "Je veux te rendre heur
e désir. Les nuits étaient souvent marquées par une passion brûlante, nos corps s'entremêlant dans de
es retrouvés chez moi, dans le confort de mon penthouse. La vue sur la
doucement contre moi, "il y a q
son regard plein de curiosité
t'aime, Victoria. Depuis le jour où je t'ai rencontrée, tu as bouleversé
de joie. "Je t'aime aussi, John
a poche et m'agenouillai devant elle.
es yeux écarquillés de surprise. "O
lèvres se rencontrant dans un baiser ardent. Nous nous sommes rapide
savourant chaque moment. Sa peau douce et chaude contre mes mains, chaque courbe de son corps m'éme
tre mes lèvres, "fais-moi
. Chaque mouvement, chaque gémissement, était une symphonie de plaisir. Nous avons
os corps enlacés, nos cœurs battant à l'unisson. "Je ne veux jamais
nt doucement ses cheveux. "Je veux pas
e, partageant nos joies et nos peines. Un soir, nous étions assis su
ir sur moi," dit-elle doucement, ses yeux
geant à continuer. "Tu peu
'ai grandi avec ma mère. Nous avons souvent déménagé, et cela m'a rendue très solitaire. Quand j'ai commencé le mannequin
"Je suis désolé que tu aies dû traverser c
Merci, John. Et toi, ta v
it à la maison. Ils ont toujours travaillé dur pour que je puisse avoir une bonne éducation. J'ai su dès le jeune âge que je voulais quelque chose d
ns tous les deux nos cicatrices, mais je crois
. Nous parlions de notre futur, de nos rêves communs. Victoria continuait
r de soleil depuis notre balcon, je pris sa
vers moi, intriguée
ce d'une lueur chaleureuse. Sur le lit, j'avais disposé des pétales de rose en forme d
aque baiser, chaque caresse, était empreint de l'amour profond que nous partagions. Nous
mes aux yeux, après que nous nous soyons e
la serrant contre moi. "Et je promets de t
ssion et de complicité. Nous étions prêts à affronte