icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

Les Echos du Futur

Capítulo 4 LA TEMPETE

Nombre de mots : 4279    |    Mis à jour : 15/07/2021

vait fait un soleil tonitruant toute la journée. Et quelle journée ! Ash en était persuadée maintenant : elle avait croisé l

blait déjà ? lui f

noirs. Il avait une marq

boucle d’oreille, finit sa meilleur

olescente. Il m’a même parlé. Il savait

othécaire, se moqua un peu Allison, ce qui lui donn

, affirma Milo ave

t, soulagée qu’il y ait encore une person

a jumelle dans un hausse

ils rougirent jusqu’aux oreilles et Ash trouva le moyen de

u et déposa un baiser sur sa joue. Ash déchira rapidement le bel emballage de son cadeau

l’adolescente fila comm

aînée de la famille était même persuadée que celle-ci ne l’écoutait pas quand el

grande feuille de dessin et son gros marqueur noir. La jeune fille traça des lettres bien épaisses. Veux-tu venir pour le goûter ? Il y

l était temps de rétablir le dialogue. L’adolescente se mit à espérer en voyant la silhouette de Mathieu Waechter se

ue. Qu’avait-el

ré. Dans la ficelle fermant le papier kraft, une branche de myosotis était coincée ainsi qu’une enveloppe portant son nom. Encore un cadeau ! Chouette ! Mais de qui cel

élicatement la feuille très fine se trouvant à

lie j

la signification du myosotis ; « ne m’oublie pas ». Malgré tout, la jeune fille dut avouer ne rien y comprendre. La suite d

sera à nouveau

èbres tu devra

e qui annonçait un combat contre les Ténèbres. Ash pensa à une mauvaise plaisanterie mais elle avait beau se

tre ses doigts mais ce qu’il y avait dedans

on avait essayé de le détruire. Il avait l’air ancien et fragile. En douceur, Ash souleva l’épaisse couverture. La première page brunâtre légère

chiel Baltharus

er du

on cœur à tout rompre. Son cerveau tournait à plein régime. Au fond tout cela commençait à lui plaire : le colis anon

qu’elle dévorait et d’y rencontrer toutes les créatures magiques dont sa mère lui avait pa

régnait dans sa cham

, le souffle court et les mains moites, la voix

ainte

re et de venir leur donner un coup de main. Par peur de représailles, Ash

e devant la porte d’entrée ouverte. Un courant d’air glacé traversa le coul

n voyant ses deux sœurs revenir de la voiture,

ère, une de celle qui pourrait bien nou

ever. Aussitôt ses joues et son nez s’empourprèrent. Ash jeta un coup d’œil au ciel de plus en plus sombre. D’où pouvait bien venir cette tempête ? C’était t

rtout pour le plaisir de pouvoir le commenter. Comme c’était l’anniversaire d’Ash, exceptionnellement, Maximilien les autorisa à manger devant la

ntre relié à une chaînette en or. Ash fixa l’objet avec une expression trou

ère, affirma Maximilien

toi, et elle s’est arrêtée

plaisanter mais Ash sentait bien son chagrin. C

ourit ten

onnes à moi ? Pourquo

hir se plongèrent dans ceux de sa fille. Un so

référée. Mais surtout

pas un mot. Son père les aimait toutes les trois de la même f

iser sur le front d’Ash

jamais. Elle redécouvrit les petites pierres de différentes couleurs ornant le cadran. Et il y en avait sept en tout ; une, orange vif comme un coucher de soleil, une petite éme

n magnifique objet

ière. Jusqu’aux confins du Monde… Ash était trop petite à l’époque pour comprendre ce que ce

ine finit par couper court et proposa un jeu de société à la place. Tout le monde acquiesça. Ils passèrent un moment convivial, en profitèrent po

e humeur qui régnait, Ash n’arrêtait pa

sœurs choisirent de rester à regarder la télévision, Ash s

le voulait au plus vite pouvoir étudier le contenu du vieux grimoire.

lui servait de pyjama. Dans la chambre, sur le lit d’Ash, Raoul le chat noir dormait étalé de tout son long. Elle en profita pour le gratter

et tendit la main sous le sommier. Celle-ci se referma sur le vide. Elle tâtonna la mo

n’était

vec force les carreaux des fenêtres. Il s’était introduit dans le grenier mal isolé au-dessus de la ch

vainement de s’endormir. Impossible de trouver le sommeil. Où avait bien pu passer ce maud

n la fenêtre à côté du lit de Gwenaëlle s’ouvrit violemment. Le vent manqua d’arracher le cadre de bois dan

s que son chat noir se relevait en sursaut et

t de fixait la vitre en émettant un grognement sinistre. Le plus surprenant était que tout ce vacarme n’avait

ranges ici… pensa l’adole

espiration s’accéléra. Ash recula dans l’obscurité de sa chambre car, là en bas, devant la maison des Waechter, elle vit une ombre… une silhouette. Celle de quelqu’un recouvert des pieds à la tête d’une longue et large cape aux coule

oire emprunta le sentier au bout de l’impasse et disparut dans l’épaisse fo

er était lui a

ui disait qu’il fallait absolument suivre l’ombre qui venait d’entrer dans les bois. Une petite voix lui soufflait

du salon sonna troi

ntenu et le remplaça par les éléments de la liste « à toujours avoir dans son sac en cas d’attaque zombie ». Quelques paires de chaussettes propres, quelques sous-vêtements de rechange, un gros pull, une brosse à dents et du den

aoul sur ses talons. D’un pas léger, Ash ne marcha que là o

à bois se faisaient entendre. Ash pensait qu’il serait judicieux de passer par la s

presque blanche tombait gracieusement en boucles parfaites sur ses épaules. La photo lui souriait d’un air mélancolique. Ash détacha l’arrière du cadre et glissa le papier

ongea ses mains dans des moufles, enfonça son bonnet sur

congela presque le visage. À peine eut-il mis le museau

d ! lui re

vent malmenait le jardin entièrement enseveli sous un manteau blanc. Ash releva sa capuche et, prenant son courage à deux mains, descendit dans l’allée. Une violente rafale faillit la bal

neige. Luttant de toutes ses forces contre le vent, l’adolescente se dirigea vers l’orée

tra dans la forêt en priant pour qu

tre côté de la rue au milieu des tourbillons de neige. Les deux personnes se regardèrent incrédules. Qui pouvait bien être encore debout à cette heure en pleine tempête ? Au loin, la lueur de la flamme avait disparu. Ils marchèrent côte

e sa bouche, Ash était complètement gelée. Au moins, sous les grands pins touffus il y avait moins de vent. Sa l

ouffle rauque. À vrai dire, cela s’apparentait davantage à un grognement de bête sauvage. Ash déglutit avant de retenir sa respiration. Une ombre. Quelque chose se dépl

terpella une

it ? répondit l’intéressée en se protégeant

encore dit un mot. On ne pouvait même pas voir son visage tant l’individu était protégé contre le froid.

de savoir si son amie allait bien, l’autre per

vue, n’est-ce pas ?

a à son tour la jeune

enfin la personne arrivée

e fixèrent intensément Ash d’un air sombre. Puis il ba

sion d’être observ

i ! s’enqu

affirma le garçon en lui braqu

déjà la réponse. Il avait déjà l’air de tout savoir

que vous non plus vous n’arriviez pas à trouver le sommeil. Qu

savoir ça ? s’im

ue trois adolescents se retrouvent au même moment dans la forêt, un soir de t

a sur Ash un regar

trois. Instinctivement ils se rapprochèrent les uns des

ue c’était ? p

n apeuré. L’adolescente tendit sa lanterne et vit une forme animale. Un loup. Un loup noir gigantesque. Il n’avait pas une taille normale. Ash aurait pu le chevaucher si e

s’avança lentement vers la bête dont les

?!? souffla sa meil

etira un de ses moufles et tendit sa main nue vers le canidé. Celui-ci tendit sa truffe vers la petite paume et la renifla. Ils se touchaient presque lorsque l’animal hu

mal, lança une voix ra

blier. Devant eux se tenait un individu, d’au moins un mètre quatre-vingt-dix, encapé de noir. Ash se rappelait

us fassiez exactement ce que

Les trois adolescents se

grinça soudain Math

le regard noir qui lui lançait, elle relâcha aussitôt son étreinte. Ash vit Mathieu remuer

aya de sauter sur l’individu. D’une seule de ses larges mains, il l’arrêta dans son élan

éagirais ainsi ! dit le faux

à remarquer que l’index de sa main droite était pointé vers le sol. La ligne ima

ensa l’adolesc

r. L’homme passa une main sous sa cape. Lorsqu’il la ressortit, celle-ci tenait entre ses doigts une sphère par

ci ? leur demanda l’homme

e présageait rien de bon. Les trois adolescents répondirent p

n… soupira-t-il. Ma

oire que l’étranger savait ce

n vent puissant souleva les cheveux d’Allison au-dessus de sa tête. Une puissante onde de choc traversa le corps d'Ash et l'engourdit. Une lumière aveuglante grandit autour d'eux. Bientôt l'adolescente ne distingua plus Ma

e dans mon

e devina son visage à quelques centimètres du sien. Ash vit deux yeux vairons la

yait plus que la lumière éblouissante. Elle voulut crier mais aucun son ne sortit de sa bouche. Ens

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir