icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

La dernière vie

Capítulo 9 Les côtes simaraises

Nombre de mots : 1105    |    Mis à jour : 03/07/2021

pita

Elle s'était efforcée de dormir, sans trop de succès. La fatigue l'engourdissait, ses mouvements lui semblaient lents et maladroits, une da

pita

tête elle avait, mais sa détresse devait être visible. On la croirait malade. On lui demanderait si elle allait bien. Ell

onne ne se tourna vers elle. Tous les membres d'équipage qui n'étaient pas au travail, et

en lui tendant sa lunette. Une petite frég

re en mauvais état semblait moins amarré qu'échoué contre le quai après avoir été attaqué sans pitié, éventré, détruit. Il avait été désarmé, et de son mât d’artimon ne restait plus qu'un espar tronqué à un mètre et demi au-dess

du-Roi, mais le Corwith n'a pas tenu le coup,

t la rendit à son second de peur de la laisser tomber. Le fort du Requin, suspic

page est encore vivant. Mais o

table, avait changé son humeur. Un espoir douloureux lui enflait la poitrine et lui mettait les larmes aux yeux. En que

rick : barques, yoles et gommiers, navires des douanes et des garde-côtes. Il y avait surtout des bricks, des goélettes, des frégates, des cargos chargés de tabac, de coton, de mélasse, de vin, d'or du continent colonial, de marchandises apportées d'au-delà des océans. Ils étaient bien plus nombreux ici que dans

l’œil rivé sur leurs mâts, tenant prêts les flammes et la liste des codes de la marine cerdagnole. Par précaution, à leu

avires ne s'in

deux fois sur l'horizon au cours de la s

n vague dans l'obscurité. Quand la mer s'apaisa, le ciel nettoyé par les vents ne laissait aucun doute sur leur position. Dans la nuit scintillante, accompagnés par le grincement des pompes, ils rem

it la

ochers, sa poupe s'était soulevée au point qu'on lui voyait le gouvernail. Son grand-mât s'était rompu et les vergues avaient poignardé le sable lorsqu'il s'était abattu en travers du pont. Ces dégâts pourtant n'étaient dus qu'à l'orage et au choc avec les îlots des Chiens. Le navire n'ava

. La Péri a dérivé jusqu'ici et s'est plantée dans l'îlot comme un harpon dans un cachalot. Un navire abandonné, ça porte malheur. On

avons saisi. Peut-o

es, ou deux, pour la hisser sur une plage, la caréner et refaire tout le gréement. Et deux mois devan

n la laisse là. Levez l'ancre. No

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir