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OBLIGÉE D'AIMER LE CRUEL DUC

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1216    |    Mis à jour : 19/03/2024

ée

de la catastrophe que ce serait si l'un des célibataires découvrait que je ne val

marier - leur ai-j

le dire, mais cela avait été trop, ell

it ? - me de

avait les yeux grands

eux pas me marier pour ne pas vous emba

a bouche de sa main

C'est déjà assez avec ta tante, et maintenant tu veu

. Je leur rendais service et elle r

tu insistes, je ferai tout po

table et partis

lle, je m'en chargerai moi-même

s vivre ma vie comme bon me semblait ? Si ma mère insi

our vous épouser, même si c'est le

thèque en train de lire que d'écouter ma mère et Mademoi

nulle part. Je m'arrêtai et l

e de lui donner des colère

ge d'être rusée était que vous voyi

des domestiques - mon frère, qui avait un an de moins que moi, ouvrit puis re

s moi et m'attrapa le bras pour m

vous appelle - me di

t et me retournai pour

la mettre en colère

ésenter dans la société, je ne veux pas

eilleur pour vous, vous devriez au m

. En entrant, ma mère parlait avec la v

n homme avec une main de fer - d

t toutes deux se retour

sentée dans la société, et tout le monde verra à

gardai f

ras d'approcher de moi, je l

les pleurnicheries de ma mère résonnaient partout, mais je

- - - - --

se cardiaque soudaine, laissa

regarder la scène. Jamais je n'aurais imaginé qu'un homme aussi fort qu

ant elle aussi. J'étais sans expression,

herche - me dit l'u

sortie, plusieurs personnes qui n

-ce ? - d

le Natasha -

le était là, vêtue de noir a

ur - sa

e regarda. Ses yeux étai

désolée, Samuel -

as avec force. Avec elle, je pouvais être mo

vais faire sans lui - lui

re plus fort puis m'e

t, je sais que tu prendras soin de ta f

ais jamais aussi bon que mon

muel - me dit-e

était scandaleuse compte tenu des origines mode

lait ici. Ma mère l'avait renvoyée lorsqu'elle avai

e aussi -

t je sentis immédiatement la te

ça en ce moment ? - dit la

déçu de toi, où qu'

Ma mère était avec une tante, toute

ime - le

force, mais elle se retira et se

nt. Natasha me regarda puis baissa les yeux au sol. Je sentis mon cœ

fais pas ça - la suppli

a de me regarder,

e - me dit-elle

de. Tout ce que j'avais jamais

, tu devrais être heureux, cette femme

était digne ou non. Je l

tre seul -

tenant, je n'avais plus aucun soutien. Les deux personnes qui me maintenaient à flo

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