OBLIGÉE D'AIMER LE CRUEL DUC

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er le jardin comme le faisaient mes frères, mais la lourde robe que je

de la journée, avec la grincheuse Mlle Herlinda et ma mère très enceinte, assis

e à ma mère, qui cessa de bro

e et de couture. Je voulais explorer le vaste jardin. Depuis notre arrivée ici, je n'avais jamais été dans le jardin sans

gouvernante de ma mère, et c'est pourquoi, lorsque je suis née, ma

tent pas jouer", me dit

piano à queue. C'était tellement ennuyeux. J

bon titre. Je t'assure que tu t'amuseras beaucoup, tu iras à de magnifiques bals, et tu port

u'il venait d'une famille avec un bon lignage. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que mon père n'hérite

que cela arrivera

pensant que je posais cette question

n prétendant, afin que lorsque tu aies dix-huit ans, tu

pas d'un prétendant. Je voulais explorer le monde, étudier

e marier à cet âge, qu'arrive-t

expression, sembla

vieilles filles comme

nêtement, je ne voulais pas finir comme elle, mai

sent seulement de cett

e me regardait d'un air sévère. Mlle Herlinda était petite, un peu en surpoid

nt comme Mlle Herlinda, mais ces c

rai mille fois finir comme ma tant

questions, ma chère ?

e disais la vérité, ma mère deviendrait

mmettre un péché. Ma mère se leva pour le salu

pour que mon père l'accepte. J'avais entendu leur discussion une nuit, où elle lui criait qu'elle ne voulait

pris, Luisana ?",

au la gorge, et mon père et mo

ur la musique, encore moins pour la couture, et si nous parlons de cuisine, elle pourrai

comprenais pas pourquoi ils voulaient absolument que j'apprenne ces choses. Je n'avais que q

né était décédé sans laisser d'enfant ni personne pour hériter du titre. Alors mon père l'avait accepté juste pour lui faire plaisir

au lieu de rêver d'aventures. Ce n'est pas la façon dont les femmes de

je détestais que papa ait hérité de ce stupide titre. J'aurais préféré mille fois

de femmes, je vous laisse maintenant,

ma mère sur la t

je chercherai quelqu'un pour toi. Je ne veu

temps. Même mon père ne pouvait pas aller à l'encontre de ses désirs. Les se

n - lui ai-

énorme. On pouvait voir à quel point elle était sa

èce correctement - me dit Mademoiselle Herlinda, et avec sa grosse r

e au piano, et dans bien d'autres choses

aucoup pouvoir jouer du piano, et j'étais très

isse s'intéresser à elle si elle n'est pas assez bo

énervée puis

t, c'est moi qui vais m'en cha

du piano, puis j'ai levé la tête pour les regarder. Ma mère