À la sueur de mes cuisses
on s'y attend le moins, c'est souvent quand nous pen
avions des champs de manioc, macabo et bien d'autr
mes 11ans que je venais d'avoir et je faisais déjà la clas
is j'étais très intelligen
seule enfant de mes parents car mes grands frè
cellerie, moi je savais juste qu'il
ginaire de la région de l'oue
st difficile de faire la différen
rès vieux, les évènements de la vie avaient fait de lui un être fragile qui n'attend que l'heure de
t des frères et sœurs c'est vrai, mais dans ma famille
! J'étais au lycée quand une mama
de mourir toi tu fa
laissé à la maison ce mati
e vite il veut te voir avant de mourir. Fit-elle en me pou
il a toujours eu des crises mais
'est Dieu qui décid
ré à la maison, mon p
ue à l'agonie, mais aussi l'hôpital de soigne pas gratuitement, entre les fra
ume d
sais pas ce qu'est la vie
lui, il me rega
entrain de partir ? C'était étrange. Pendant que
ur prendre soin de moi, mes frères ne sont pas là non plus, il n
et m'a dit toujours avec ce
encore, Dieu sera toujours là pour te protéger, nous te protègerons tous. Mets toujours dieu devan
comme ça, je suis seule, je vais vivre où
ons pas toujours été sur la même longueur d'onde , ils
res, vas chez lui, sauf en cas d'obli
tout doucement, c'était si
it de me laisser, la seule personn
? Je me demandais bien si Dieu existe, tous les dimanches on partait à l'église, donc c'était ça
ses, trop de « pourquoi » et
comme ça ? C'est quoi ce déséquilibre dans la
j'étais o
les larmes, je ne savais pas s'il fallait monter ou
e mourir, il fallait que j'aille voir oncle Bob
ume d
comme quelqu'un qui est perd
ilomètres avant d'arriver chez
'il est allé ré
el problème ? Pour
e, papa es
ment, pa
: mo
arrivais plus à dire un mot de p
ue mal de me consoler m
enir d'un moment à l'
lus pleurer pourtant j'étais en deuil ?
acé pour moi ? Devais-je encore aller à l'école ou a
ns la cours avant qu'il n'a
pa ne vit plus
il était
té malade, mais il s'
allons
ur et après plusieurs kilomèt
maison car l'une de mes tantes
ent tous là, tout le monde était là, je me demanda
ersonnes, connues et inconnus,
le chez nous, tout était d
quartier derrière la maison entrain
t très vite, plus vite
é dans la maison pour discuter, je ne sai
u cercueil, ils étaient entrain de faire c
oui, c'était à la morgue, ce n'était pas rentré à la maison, j'avais juste
e ne pouvais rien faire que de faire les
ça mon
ume d
ère était déjà sous le sol, l'enterrement et les f
u'accepter ce q
fait venir chez
il était content de m'
sse, mais ce je ne savais pas que cette liesse d