La vie Normale
J'étais à peine âgé de cinq ans lorsque les tours du world trade center se sont effondrées ce jour du mois de septembre. Je me souviens justes des visages choqués, de la poussière et surtout
uvais qualifier comme pépite de l'année ou navet à éviter. Au fils des années, le nombre de visiteurs est devenue assez conséquent pour que finalement une grande boite d'édition fasse attention à moi. Après leur avoir faire comprendre, que je n'étais pas disponible par téléphone, nous avons échangé des mails. Pendant trois semaines j'ai été testé pour savoir si j'étais capable de faire ce métier. Capable de découvrir qui ferait trembler tout New-York à la prochaine rentrée littéraire. Quand ma mère à su que les mails que j'échangeais n'était pas des simples mails, mais un entretien d'embauche, elle est devenue totalement hystérique. Nous avions quitté New-York après les attentats du 11 septembre pour la banlieue. Pour ma mère c'était la meilleure solution pour ma sécurité. Elle voulait tellement me protéger que je n'ai finalement jamais pu avoir de vrai ami. Ma mère a décidé que pour ma sécurité, la seule solution était l'école à la maison. La seule vraie amie que j'ai est ma mère. Je ne peux pas dire que je suis malheureuse, j'ai quand même de millier d'amis virtuels qui sont toujours presser de connaitre mon avis sur un nouveau roman. Après des centaines d'heures de disputes avec elle et à essayer de lui faire comprendre que j'ai grandi avec les rediffusions de Sex and the Cit
rror, que puis-je faire pour vous ?
je lui tends ma lettre d'embauc
le dix-huitième. Voici un badge temporaire, vous aurez votre badge définiti
emercier de sa bienveillance. Cette année
s. Dix-huit étages, et je suis devant les bureaux plus incroyable que je n'ai jamais vu. Des grandes baies vitrées, éclairent tout l'étage. Des cadres avec les
it une femme qui avance vers
taille moyenne, elle impose quand même un certain charisme. Brune avec une coupe de ch
re comprendre que je suis bien l
s. Je suis Madame Monroe, je serais votre référente. J'ai
ué depuis que je suis revenue à New-York, les gens sont encore plus presser. J'ai du mal à
s ? » Me demande-t-elle
jà incapable de savoir ce que je dois faire. Je ne peux que dodeliner l
anuscrit. Veuillez pour la fin de la journée me donner vo
est déjà retourné dans son bureau qui
dois déjà lire. Que dema
*
errière lui. Elle n'attendait que lui, cela faisait m
ent cliché. Ce genre de roman, me donne par moment l'envie de vomir ! J
livre, est-ce que tu veux manger avec nous ? » Me demande une jeune fille blonde et très souriante. Cett
ger d'arriver. Et c'est encore une fois avec un signe de la tête que je fis passer mon m
tu viendras avec nous demain mid
is à peine ma décision de reprendre ma lecture que je suis de nouveau déranger par une nouvelle p
appel via votre téléphone, pourquoi vous ne r
lui faire comprendre que je n'ai pa
le est votre
peux décider de mon avenir dans cette boite. Sur mon bureau, des post-it sont posés sur le coin de ma table. J'en prends un et
ue ? » Dit-elle e
grandissante que je
st pas vrai !
poste qui me plait tant. J'ai peur que pour la première fois de ma vie je comprenne ma différence. Je me suis toujours sentie unique mais à New-York la d