Two Faces
et moi en sortons. On nous jette du riz, avant que nous
quels nous sommes habitués. Uniquement les membres de notre famille et quelques amis proches. Cela fait déj
-t-il, alors que l'on nous m
e le sui
menté une joie si intense de ma vie.
e. Il entremêle ses doigts aux miens et nous nous laisso
.
a un quintet de violons et de violoncellistes qui anime l'événement. Ce sont des co
laisir d'être enivrée par la musique qui habille notre célébration. J'ai l'impression d'être dans
tent et triste à la fois. Te voir quitter la maison me bouleverse bien plus que je ne po
amais de l'être... C'est grâce à toi, si je suis heureuse aujourd'hui et je t'en
, je ne peux qu'acquiescer....
esse, Arthur pose sa main sur mon épaul
prendre? demande
ue ce soit déjà fa
yeux émerveillés de nos invités. En cet instant, je ne vois que lui. Je me perds délibérément dans son regard, car j'aime ça plus
e premier jour du
.
s passerons notre première nuit ici. Première nuit, que je redoute, bien évidemment... Depuis que je sais que je vais épouser Arthur, je n'ai cessée d'y penser. L'embrasser avec ardeur et le laisser me toucher comme il le fait c'est une chose,
ses vêtements tomber à terre. Je défais ma robe et l'accroche au portant devant moi, avant de passer ma chemise de nuit. Mes doigts son fébriles et je me demande comment je vais m'en sortir... je suis complément étrangère à ce genre d'expérience, mais une partie de mo
ps, qui lui arrive aux genoux. Quand il me voit, il se lève brusquement et m'observe un long moment, comme subjuguer par ce qu'
Dit-il, a
visage. Il lève sa main jusqu'à ma joue et y passe délicatement le dos de ses do
e touche. Dis-je, r
ue ça... dit-il en approchant sa bouche de mon oreille. J
il est à présent dans le plus simple appareil et je ne peux détacher mes yeux de son corps nu. De ses larges épaules, à son torse mu
ique.... Dis-j
r... montre
'enlever... dis-je,
veau et marche lentement à ma hauteur, avant de défaire les cordons de ma chemise de nuit et de me la retirer avec assurance. Lorsque je me retrouve sous la
ais. Pas avec moi. Dit
erre mon cou pour m'offrir un baiser passionné. Je monte sur la pointe des pieds pour répondre à son enthousiasme, soufflée par sa puissance. Sa lan
ons durcissent instantanément à son contact, me procurant une légère douleur...
siré aussi ardemment... m'enfouir e
e matelas et de s'allonger sur mon corps. Je m'écarte presque machinalement pour l'accueillir et je sens son érection cogner contre mon entre-jambe. Il saisit ferment une de mes cuisses alors qu'il dirige son sexe entre les replis des mon intimité. Je retiens m
ps, je te le promet... dit-il d
rine. Je passe mes bras autour de lui et l'autorise à poursuivre ce qu'il a commencé. Il bouge précautionneusement et très vite, la souffrance des débuts, laisse place à une étrange sensation d
elâche. La douleur n'est plus qu'un mauvais souvenir et je le sens se raidir, avant de se déverser en moi en de longs jets chauds, qui me provoque
ue je viens de vivre avec lui. Je passe ma main dans ses cheveux pour le réco
ge, il est transfiguré, ses traits s
souffle. Je pourrai mourir
eux juste que tu m'accompagne dans c
ur le sentir encore contre ma peau. Je ne veux plus qu'il s'en ailles, je veux