Un Coupable Idéal
uze ans. Elle avait de magnifiques yeux gris avec un joli sourire qui ne lui quittait presque jamais des lèvres. Nous étions des enfants
n et a chaque fois que j'allais mal, elle savait comment faire pour me remonter le moral. Elle avait les mots justes pour me faire oublier mes peines. Grâce à elle je mangeais désormais à ma faim en
des ambitions politiques mais sa femme le dissuadait de ne pas s'aventurer dans cette piste qui pour elle lui créerait des problèmes à la longue à cause de la haine et la jalousie qui règne dans ce monde a part entier. Ses parents m'avaient très bien accueilli
aire battre violemment par mon oncle qui était arrivé à la maison ivre. Elle fut triste de me voir
its
? Lui demanda
et suits moi
u'a se que nous y étions entrés dans la maison où mon oncle était installé paisible
Cria Marie Loui
écouté la fille. Il ne s'était même pas rendu compte de n
arles. Insista t'elle l
u chez moi ? D'ailleurs tu fais quoi a
ilien c'est plutôt toi la malchance. Regarde comment t
m'amène pas la sorcellerie. Et c'es
i car il ne mérite pas ça. Les enfants ont besoin d'amou
tu as finis ?
Ou
ment avant que je ne te frappe aussi.
aussi j'avais voulu sortir avec elle sa
asses ton temps à me saboter dans tout le quartier malgré tout se que
me fais m
e je te réserve fera que tu ne cherchera plus jamais les femmes. N'est ce pas tu es déjà grand jusqu'à tu
Ai-je r
t un peu plus l'oreille qu'il tenait
!! Oui.. o
il m'eût suffisamment battu, il avait oint mon corps de piment et enfin il était sorti de la pièce me laissant ainsi pendant trois bon jours. J'avais passé trois jours sans manger, sans boire, sans voir la lumière du jour et que dire de la chaleur. S'était insupportable et le plus dégoûtant c'est que je fesais tous mes b
allait devenir ma nouvelle cellule, de faire tous les travaux domestiques comme auparavant avant de manger. J'avais si faim que je fis tout cela à
es pieds dehors ou même te voir trainer avec une fille surtout la petite insolen
ompris M
n petit tu app
ui avait pour mission de m'apprendre à jouer et il avait aussi engagé un professeur qui me donnait des cours à domicile se qui fit que avec le temps je me suis passé de Marie Louise même si elle demeurait toujours dans mon cœur. Pour la première fois de ma vie depuis le décès de mes parents, j'étais heureux. Je souriais et tout le monde dans la maison ( domestiques, jardinier, professeurs )
Elle avait dix neuf ou vingt ans environ et elle était vraiment belle. Sauf que la beauté physique ne suffit pas
is a volonté. Lorsque je ne me sentais pas bien, elle s'inquiétait vraiment pour moi au point de mettre la pression a mon oncle de m'amener à l'hôpital afin que je sois suivis par un m
m'avait pris dans ses bras pour un câlin qui dura plusieurs minutes. La joie des retrouvailles était si intense qu'on ne pût s'empêcher de couler des la
ma faute si tu as vécu des moments encore plus pénible. Pardonnes moi ! Je t'en pries de me pardonner. Me
que j'admire ton courage. Tu es une personne forte qui ne recule devant rien et je s
ions eu. Grâce à elle je garde énormém
i avait besoin de beaucoup d'attention maternelle lorsque mon oncle voulait se fâcher, elle voulais savoir avec qui je parlais et lorsque j'étais avec Marie Louise, elle pouvait exploser de colère. Était ce de la jalousie ? Oui s'était exactement ça ; de la jalousie. Elle était jalouse de me voir avec une autre fille qu'elle. Une nuit pluvieuse, elle était venue dans ma chambre pour dormir avec moi comme elle le fesait d'habitude. Je n'étais qu'un enfant, un petit garçon innocence qui
ax ? Demanda t'elle
à la tête et j'ai besoin de dor
sparaisse avant que tu ne dormes. Fais moi confiance mo
Marie Louise m
nom qu'elle refusait d'entendre
noncer ce nom sinon je risques de me mettre vrai
alors qu'elle es
Tu sais que je te fais beaucoup de cadeau et qu'il suffit
fasses quoi pour avoir beaucoup de bo
n me montrant ses seins. Tu
eins. Ai-je rép
e masses les seins et que tu les suces. Après tu verras comment tu
mal de le faire. Tu es la femme de mon oncle et je ne peux pas faire une chose pareil
mon ami. S'il te plaît Max chou juste une fois et aprè
pareille avec toi et rien ne pourra me faire
longtemps mais j'étais
le fer
retiré quelques minutes plutôt avant de quitter la pièce en frappant la porte violemment derrière elle. J'étais resté a
cria mon oncle apparemmen
Suiv