Un jour, Une vie
qui es-tu ? » » alors que sa femme qui ét
as Bosco ? que vois-tu ?
à me relever ; j'ai cru voir q
t que toute la maison a eu peur ; tes enfants sont devant l
que ça va Zita !po
tu dois aller voi
urqu
radio nooon ; tu viens
h Zit
lever et une fois dehors, les
tu as eu quoi ? qu'e
en... j'avai
ait entendu ce qu'elle voulait entendre
ace ; une fois dans la chambre, elle l'avait encore interrogé ; elle avait tellement insisté que son
elle dame ?tu es sû
! oublions un peu cette histoire ; Dieu est au cont
tu le
r mais c'était plus fort que lui... Il avait compos
o Bos
t tu nous avais parl
id ? non non
fléchi bie
nais bien, mais c'est sa famille que je ne connais pas, je sai
onc c'est quelque
me dis pas ce
se passe ri
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vert d'excrément jusqu'au cou ; ils avaient étalé l'enfant et lui avaient versé de l'eau ; mais il fallait le conduire à l'hôpital qui était à 20km du village
le travail, ils avaient vidé la maison en déposant les af
e ONG dirigée par Arnold ; Ingrid était tellement embarrassée qu'el
ui s'est passé ?(av
était par terre et jouait, je me suis rendu compte que plusieurs minutes après
el t
--
eur, je comprends déjà tout. Il faut toujours être p
onsieur c'es
pense que tu en as
arlez-vous
ager avec un bébé brulant de fièvre ? et je peux
é sa tête et avait
nold
liquer avec les détails ce qui
i ... c'est Ingr
s... vous encore ici ? mais
d'abord de c
ous savoir sur
t où so
d'un village qu'Arnold
vous n'êtes
No
quand même soi
mment f
ent co
? Il doit avoir plus de 5mo
is pourquoi ça traine comme ça ? qu
id, et je pense que cette nuit
mir ici...je ne sais pas ce qui
uoi ? tu préfères ta maiso
st grave ? est-ce
chéma d'antibiotique, c'est encore
l'hôpital avec momo ; elle ignorait
r alors il pleurait... Arnold avait compri
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car à chaque fois qu'elle fermait l'œil elle voyait une vielle dame qui lui disait de réparer ce qu'elle avait fait ; elle avait sursauté et avait vu
erté à cause de vous ! aucun de tes enfants ne portera un enfant mal ! et ceux qui en ont déjà les perdront et toi ; tes nuits seront
; Irène était sortie en
oh heeehaaa ! qui es-tu pour venir tourmenter mon sommeil o
ndre cri c'est tout le monde qui est dehors, cette nuit là c'était p
t dormir ; ils sentaient la présence d'une force surnaturelle dan
plus tu n'arriv
dormais p
sens qu'il y a quelque chose qui
n, mais que ç
age de ma sœur Irène dans
dire quo
ntre et sort... Nous devons prier ... il faut réveiller les enfants nous allons pri
er les enfants à deux heu
oi à une heure pareille ? nous on a cour dem
ère n'a pas d'heure ; quand c'est nécessaire il faut l
e réveiller ? moi je suis fatigué
d pas ? elle dort comme si elle volait la nuit...
sa mère était allée ell
ous les bruits qu'on
nous réveilles ?franchement cette maison
e par des sorcières comme toi ; c'est d'ailleurs à cau
i ! je ne sors pas ! allez
diote ! la prière t'a vraiment fait
atrick et Enoch somnolaient mais le papa avait déjà pris la position de
fants avaient regagné leurs chambre
es yeux qu'ils faisaient des rêves similaire
our ce que vous avez fait ! à cause de vous ma petite fille souffre ! Elle paie le prix de vos crimes... vous a
xistence de cet enfant avait lui aussi un sommeil trouble... lui par contre, dans le rêve
et enfant est à toi ; prends-le avant qu'il ne soit tr
rsaut ; pour lui ce n'était qu'un
ayé de joindre sa sœur Irène pour lui dire ce qu
n dégout de ses parents depuis cette histoire, elle commença
parents pour leur petit déjeuné et le téléphone de Bosco avait sonné et c'était Irène
u dis ; respire un coup et reprends tout depuis le dé
uoi j'avais crié cette nu
ne lui dis pas ? pourqu
; de toutes les façons, ils n'en avaient rien à foutre mais, Mira suivait tout ; elle se disait peut être que le villageois avaient découvert le corps du bébé et qu'après u
tout au chef ? as-tu seulement une
u'as-t
tranquille, mais Bosco je pense qu'on doit retrouver cette jeune
s ! chercher
ler ailleurs car ses phrases dessinaien
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trer avec momo à la maison ; il ne
lle habitait ; mais arriver sur place, Ingrid n'était pas surprise de trouver ses affaires de
st ici que
ui.
a bavarder un peu... et sur
rer dans sa maison, parce que c'était clair qu'elle était soit
elle avait couru chez les voisins
dit, si j'ai bonne souvenance, que tu venais c
est pas là... écoutez monsieur, vous devez
peux t'aider tu sais ? je vois que tu as beaucoup de probl
est juste que , ici les ge
uis psychologue et je sais de quoi de
ais qui là-bas ? Je n'ai aucune fa
'inquiéter ; tu peux rester dans mon cen
--
oi et l'enfant... Je peux te laisser cette nuit pour réfléchir, et demain matin je reviendra
ais la vi
réfléc
t à peine disparu, Ingrid avait comm
it que tu partes au moment où j'avais le plus besoin de toi ? voilà comment ma réputation est bafouée dans ce village ; voilà
ageois, elle était une honte car d'après les rumeurs, elle ava
débrouillé pour faire à manger à momo et juste a
'elle, celle-ci avait pris momo dans ses bras ; elle avait soulevé la
que tu dois être malheureusement ; c'est aussi là-bas que tu seras déchargée de ton fardeau ; n'attend pas de récompense pour le bien que tu fais, fait le parce que ton cœur est bon... Moi j
dit sa grand-mère et n'avait ouvert les yeux e
rquoi si vite ? tu m'avais dit de réfléchir a
in et toi tu parles de quoi ? ne me d
heures tu dis ? ce
passer... elle avait pensé à tout ce
is une décision ? tu v
je viens
s mon centre aujourd'hui mais demain à la première
omo al
tre qui prendront soin d
tôt, Arnold était venu la chercher pour son premier jour du travail, elle s'était habillé comme elle pouvait et Arnold devait la présenter à la famille chez
n mamaaaa
ssayait de le c
ie t'acheter des bonbons, reste avec la tantine
amaaan... noo
x yeux surtout que c'était la première fois qu'elle se séparait de son fils p
garçon qui leur avait ouvert était plutôt gentil, i
e suis sûr que c'est elle que maman attendait depuis ? je te souhaite la bienvenue chez nous...
uivr
dence ou
nt la grand-mère d'Ingrid qui
aussi aux esp