Un jour, Une vie
s un sorcier par hasard ? et si c'était l'une
faudra quoi ? m'as-tu donné des enfants ? deux ans de mariage et sans enfant ! ta voisine a donné trois enfants à son m
pourquoi pas chez les voisins ? et comment expliques-tu ton retour subitement ? en plus en
te maison ; j'étais calme en ville où je voyais toute sorte des femmes ; je
! lâche cet enfant ; je suis prête à quitter ta maison à cause
r toi tu oses me parler comme ça ? sors de
ondition je vis ici? Tu es revenu de la ville tu m'as apporté quoi
pas dans ma maison en tout cas...
vec, celle-ci avait titubé et s'était cognée la têt
is son sac comme son mari ne voulait pas qu'elle attende le jour, elle avait créé une poche avec son pagne comme un kangourou (je ne sais pas
à cette heure ? mais je vais dormir o
le monde qui venait au deuil ; elle y avait trouvé un petit coin tranquille ; elle avai
u'elle avait pris chez elle en petit morceaux pour servir des couches à l'enfant ; bizarrement cette nuit-là ; le béb
rché jusqu'à là où l'histoire avait commencé c.à.d., dans son champ ; elle était assise exactement là où le bébé était déposé et réfléchissait sur ce qu'elle devait faire « abandonner
e ne me mettra pas à la porte même si son mari ne m'ai
petites économies chez elle à cause de la pression de Wilfried , donc elle n'avait rien sur elle ; alors elle avait arraché un régi
ait pas d'argent ; elle ne pouvait pas prendre un bus, elle avait présenté son régi
s pieds jusqu'à ton village ; n'importe quoi ! régime de banane ? tu me prends po
t il a de la fièvre ; pitié... Ce bébé n'a que
? tu veux m'attirer des ennuis ? les femmes enceintes et celles qui allaitent ne montent
supporter m'assoir sur vos sacs de manioc jusqu'à mon village ; l'e
ord de la route et cherchait à vendre son régime de banane ; personne n'en voulait et c'est seulement lorsqu'elle avait perdu espoir et voulait abando
it rendu compte que la jeune dame avait un
(lui avait quest
Monsie
en danger comme ça ? tu viens vendr
hoix... mon bébé n'a que deux jours et j
s tes banane
our payer le bus... prenez tout M
? et tu
on village et le conducteur
ieur ? vous a
i ce village ; moi je
rgent pour payer Monsi
ez mad
je vais prendr
son sac, et comme le monsieur Klaxonnait elle avait
ù sont tes
vous faire perdre votre temps, je ne les ai pa
e ton bébé ; est
rave, une fois au village
s voyager avec un en
as le choix
allait pas ; il l'avait laissé entrer et regar
id devait descendre ; le monsieur s'était arrêté e
c'est ici que tu
nd même pas me tromper... c'est
ne peux pas débarquer chez
ez aidé alors que tout le mo
retournée pour encore une fois remercier
fois merci
m'appelle Arn
'est In
ébé... tiens prends... ça pourra t'a
it pas prendre ; Arnold avait tellement insisté qu'elle avait fini par pren
ercevoir la case de sa maman et un sourire se dessinait sur ses lèvres ; et plus
je suis là ; mamaa
et courrait aussi à sa rencontre ; Ingrid croyait être la b
! tu fais quoi ici ? tu
s mam
n mari ? hum Laisse-moi voir... c'est quoi ça ? un
quer ... arrête de crier stp
id ; moi aussi je vis avec quelqu'un, tu le connais
it de rester si je veux ! cet homme que tu appelles ton mar
de ton père ; mais
s laisse-moi au moins cette nuit, et
comme ça chez les gens Ingrid ; moi ta mère à mon âge si cet homme me met à la porte que
ok ... ce bébé est à moi ; c'es
r sa grand-mère (la mère de son père) ; celle-ci était déjà très viei
e mais la maison était très petite ; à côté, il y avait encore une petite maison ; Ingrid avait compris que c'était la douche et l
(avait crié Ingr
i es
ça « qui e
pas te voir mais elle peut tout entendr
e c'est moi Ingrid,
pporté une bénédiction ? tu es venue avec un
quelque chose, elle lui avait demandé de lui donner ce
re... mais
e-le-m
a grand-mère ; celle-ci avec sa main gauche avait tenu la têt
passeras jamais inaperçu ; on t'appellera « NSEMO » (Nsemo qui veut dire lumière). Je te bénis et je bénis le ventre innocent qui t'a porté et celle qui va t'élever ; malheur a
ardait toujours à côté de sa natte ; le contenu du flacon était pour faire tomb
ce en elle ; mais ce qui l'intriguait c'était, comment sa grand-mère savait pour l'enfant ? elle ne lui avait encore rien dit qu
mois plus
it restée seule, elle se battait pour Nsemo (qu'o
ngrid avec la famille de son père qui la m
ait plus comme avant ; elle n'arrêtait pas de penser à celle qu'elle aurait pu devenir c
ieuse avec ses parents; elle avait à peine entendu sa tante dire « «c'est ce que je voulais faire mais elle a déjà quitté le village » », elle avait
et c'est quoi ces manières Zita ?
a rien entendu mais je vais
mère ; elle avait fait semblant de sortir ses cahiers de son
a chambre ? que complotez-vous en
e suis pas ton amie mais ta mère ! et c'est quoi cette
pour vous pas pour moi maman... sa présence ne me dit ri
u penses tou
q mois aujourd'hui, mais tante Irène en a décidé autrement ; elle
ie devant toi ma fil
toi et papa m'avez fait avec
rien entendu concernant leur discussion, e
s et un matin, Ingrid était réveillée par des gens qui cognaient à sa porte, elle a
en ville et c'est ici que tu viens te cacher ? Il veut que nous lui remboursions la dot...tu
affaires et les jetaient dans la cour ; elle avait déposé Momo qui pleurait et essayai
s'éloignant petit à petit ; au bout de quelques minutes Ingrid avait constaté que son bébé ne pleurait plus, il
Nsemoooooo... mon
ui se passait mais personne n'avait fait attention à Momo ; mais parmi les
, j'avais vu Mom
r où di
oit vers la toilette et In
mon bébé est tombé dans la toilette !!!
qu'Ingrid elle, se jetait par terre ; et du fond du t
aaa
a avait glissé dans la douche, Zita, Mira et s
! tu es q
uivr
-il arrive
cident de Bosco à a avoir ave
te nous