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French touch

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1758    |    Mis à jour : 22/12/2023

r les forces de l’ordre. Il guide les policiers au sol. Ils évacuent ses habitants, les mettent à l’abri derrière des barrières. D’en bas, ils observent l

foule. Dumas use de son charme et de son sens des relations pour gagner les premiers rangs. Avec son physique de rugbyman, sa musculature impressionnan

émentine l’a aidé quand sa femme est morte des suites d’une longue maladie l’an passé. Il aurait pu sombrer si la commissaire n’avait su trouver les mots et poser son regard attendri sur le veuf. Ils ont beaucoup échangé sur leurs vies respectives. C’est à cette occasion que Clémentine lui a parlé de Maïa. Dumas ne l’a rencontrée qu’une seule fois, par hasard. Un soir

et là. Le RAID vient de poser de manière acrobatique micro et mini caméra au huitième étage. Visiblement, il y a un problème de localisation des occupants. « Ils ont disparu », dit quelqu’un. « Des formes ont été aperçues dans la salle de bain »

ité d’élite. Un hochement de tête. L’assaut semble imminent. La troupe retient son souffle. Des hommes e

mmations d’usage. Pas de réponse. Le chef du groupe pousse la porte avec le bout du canon de son Colt 45. Elle s’entrebâille. Il risque un œil par l’ouverture, s’ensuit un bref mouvement de recul. Il ouvre la porte en grand dévoilant à ses compagnons un spectacle sanguinolent. Deux garçons nus, très jeunes, couchés sur le dos, comme empilés l’un sur l’autre dans la baignoire. Morts. Des

assins de sa sœur. Curiosité malsaine. Elle ne s’attendait pas à un tel carnage. Des traînées de sang ont giclé sur le carrelage de la salle de bain, jusqu’au plafond. L’odeur de la mort dans ce local confiné était insupportable. Les ambulanciers et les pompiers pataugeaient dans des bouts de cervelles projetés au sol. Gros pl

lle se rattrape de justesse au bras de Dumas. Elle déclin

ée. Il a besoin d’en savoir plus sur Maïa. Il lui propose d

rue de frissons ; pour un peu, elle claquerait des dents. Blanchard lui tend une tasse de café avec un fond de cognac. Roussel appréc

t enfuis par l’échafaudage avant notre arrivée. D’après les habitants, les tueurs parlaient dans une langue bizarre, de l’arabe ou quelque chose d’approchant qui laisserait supposer que ces deux jeunes gens étaient origin

rtres : découvrir le mobile et cerner le profil des victimes, notamment celui de ma sœur, je

bras… arrêtée de nombreuses fois… jamais vraiment condamné

. Les juges ont été cléments… Et vous vous demandez s’il n’y aurait pas à creuser de ce cô

se avant de continuer

est mort dans un accident, il y a quelques années, preuve qu’il y a une justice dans ce bas monde. Nous avons suivi des ch

sa non-relation avec sa sœur, Dumas croit dé

e lève pour fermer la fenêtre. La chaleur estivale dans laquelle ba

s vus, c’était l’an passé. L’inspecteu

mas hoche la tête, e

é la teneur de v

e, de projets d’avenir ? Elle était venue me demander de l’argent comme d’habitude pour s’acheter ses doses… J’é

donné ce qu’elle

ire d’autre ? Je lui ai dit de par

regre

me re

rdon, exc

depuis. Vous en savez

domicile… C’est pourquoi nous comp

perceuse dans son cerveau. Dumas lointain, au fond d’un t

ersai

quelq

sage sur mon répondeur, il y a trois moi

l’avez pas

ai dit, je voulai

lève, fait

vous ne vous montrez pas plus coopérative… La version mo

inte

a-t-elle dit autre chose

continue à aboyer. Roussel sent les aboi

lait pour un prom

de la chaise de Roussel

as étonnée, cett

e ne sais plus. Ça m’a paru plausible, même si j’ava

nsen, vous l

ans l’Ouest parisien. Il y avait s

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