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French touch

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1847    |    Mis à jour : 22/12/2023

de Clémentine. Plus de méfiance dans son reg

de prestige dans les gr

d’argent qui circu

le lui en vendait, vous croyez

de. Non, ce n’était ni pour vendre ni pour consommer. Un cadeau peut-être. À son amoureux du moment ?

elle avait réu

qui vous f

sur le message… Elle

brouillard. Mais maintenant, ell

plus. Je souhaitera

et enfin pleurer ». Elle cherche à se lev

? Vous voulez que j’appelle u

e crise d’angoisse

s mots sur une feuille blanche. Bl

hommes. Un coup de bol incroyable. De la chance, il en faut parfois…

agite la

mande de droit d’asile, mais avec les délais pour la procédure… La préfecture les avait perdus de vue. Les services de l’immigrat

perler sur son front. Avec cette chaleur, cette sensation d’étouffer et cette conscience du vide provoquée par la mort brutal

i ma sœur était visée ou bien si c’est un accident. La m

votre sœur a été a

chance… elle attirait le

leur dossier sur le double crime de Noisy-le-Sec. Roussel et Dumas le feuillettent en échangeant à voix basse des bribes de phrases. Parfois, Roussel se renfrogne sur son siège en griffonnant sur un bloc-notes. Labeille et Duclos sont satisfaits de la manière dont ils ont mené l’enquête, de la rapidité de sa progression, mais il

hard, quel

iscent des collègues à l’égard d

, et si nous fai

ommence en se tournan

un garage. L’autre, Hamid, n’exerçait aucune profession, mais rendait service à droite et à gauche… Ils logeaient dans un hôtel dans le 17e en face de la station de métro La Fourche. Ils avaient visiblement peu de visiteurs. On a interrogé les voisins. L’un d’eux, un gamin de quinze ans, a croisé dans le couloir un homme qui sortait de leur chambre, il y a une se

ne l’inspecteur Labeille. Ça ne ressemble pas à du travail de pro… D’habitude, les

ttre du fric, une fois qu’ils ont fait le boulot… Le commanditaire avec un ou des complices les attend dans l’appartement… Il y a quelqu’un qu’ils connaissent puisqu’ils lui font des signes… Pas très discrets, les gars… D’où la nécessité de les abattre… Peut-être qu’ils ont pris des pilules magiques ce qui

lles, pas d’amis. Leurs mains coupées, leurs visages arrachés… Plus d’identité… Un geste

jours pour les planifier, ça me semble dépasser leurs compétences… Surtout, vu leur niveau de connaissances de notre beau p

PJ… Peu de temps après, ils conviennent que l’inspecteur Duclos a raison. Certes, les deux Afghans avaient certainement pris l’habitude de tuer durant leur lutte contre les Russes, mais la collecte d’informations sur les

rsuit ses r

plus fort. Félicitations à vous deux ! Mais il faut admettre que vous avez bénéficié jusqu’à présent d’un concours de circonstances plutôt heureux. Si les collègues de la Pol

! Sans eux, nous éti

s faudra encore beaucoup de chance pour remonter

nous mettrons tout en œuvre pour retrouver

vaillerons désormais ensemble. Dumas fera le lien entre nos services… Il a d’ailleurs déjà commencé… Ce matin, il s’est rendu au domicile de Swan Hansen que vous aviez fouillé la veille. Nous souhaitions collecter de nouvelles informations. Clémentine fait semblant de ne pas voir la grimace des inspecteurs de la PJ. Ils n’app

en nous faire un compte re

es Hansen, c’est une vieille famille qui jouit d’une bonne réputation… Swan, à peine vingt-cinq ans, c’était le petit dernier, le fils prodige, pourri, gâté… Pas d’embrouilles… Pas d’ennemis connus… Son père, P

mort. Ils étaient bouleversés. Valère leur a affirmé que leur fils a

ers Roussel en la

ne enquête de voisinage… Pour nous, c’est du côté de Maïa qu’il faut che

lisse sa sœur, elle n’aime pas ça. Elle laisse s’insta

us dans le bureau du juge Renaud à Nanterre à quinze he

Maïa est morte depuis une journée. Le nou

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