Addiction
pit
e sourire, sa collègue Suzanne était déjà
je viens de me ré
te ? Si tu avais suivis mon conseil plutôt que de suivre
suz. Et je m'en veux
intenant tu com
se retrouver à la m
ne fois dehors elle lui chuchota : profites en pour
nt, elle passa au marché pour s'acheter quelque chose. Oui elle comptait bi
était déjà à la maison, a son grand bonheur. Elle ouvrit la porte
huchota
rit puis s'approcha d'eux et prix doucement son fils pour aller le coucher da
comment
: ça va
vais pensé te tro
assé quelque part.
ndé de rentrer. Appro
elle fut proche de son mari, il l'attira à lui de telle sorte qu'elle soit
isettes, des perles et
n placard est déjà remplit de ces
ces choses-là. Et comme tu dis, il faut
on cou pour se faire plus insistant. Mais ibou la désirait à l'instant précis. I
susurra : ta jupe est trop courte mb
n'est rien, et que je ne peux pas porte
: h
ena sa main sous sa jupe et se rendit compte qu'elle n'avait rien
je l'ai enlevé en c
doigts. Il savait l'effet qu'il lui faisait et cela lui faisait énormément plaisir, pensait-il. Ma
ibou lui dit : all
rt que tout, il la déshabillait avidement, pressé de la posséder. Mberry le laissait faire, sachant d'avance qu'il allait l'emmener au 7e ciel. M
e lui répondit : je ve
le pantalon de son mari et son caleçon avant de prendre son membre en pleine main. Et doucement
à droite mais surtout, il n'en pouvait plus. Oui, il ne pouvait plus se retenir et d'un coup, il bascula sa
plaisir de son mari, qui avait entamé de lui donner des coup
mes ce que j
i... oui...
nt, faisant crier sa femme. Cette dernière n'avait plus de force, mais ibou lui avait comme une seconde puissance en lui. Il la releva brusquement et à genoux, yeux dans les yeux, il lui faisait l'amour ; et la encore mberry était soutenue par par son mari, incap
vaient pas pu se lever pour aller prendre leur fils
t les battements de son cour. Ibou quant à lui, il lui ca
ne sais pas ce qui m'a pris d'avoir a
tu fréquentes ma sœur. Tu dois savoir
ry :
ue tu ne feras plus
je te le
sonna. Il le prit sur la table de
: a
on ange, tu vie
rry qui le regardait... il ch
t'es réconcilié a
era demain quand je serai
etourna vers mberry
e lever et te faire à
lui a rien dit mais trouvait toujours qu'il n'avait pas de compte à lui rendre. Seulement, il ne supportait pas des tensions. Mais alors, aurait-il un jour la paix qu'il veut ? se demandait-il. car si être
uiv