Addiction
pit
ur le séparer d'aicha ; en réalité, il ne comprenait pas vraiment, il en savait pas ce qu'il se passait dans sa tête. Et même si ell
ployé dans une entreprise commerciale d'exploitation industrielle. Il y était comme chef des ressources humaines et av
il ne s'était jamais douté que ça aurait été si rapide. En réalité, leur relatio
e lendemain. En effet, son papa étant l'imam du quartier, il avait trouvé judicieux de ne pas atte
une grande fête, et mberry aussi n'aimait pas les grandes cérémonies. Mais comme ils
elle, si jolie, et elle l'est toujours d'ailleurs, pensait-il. Il se rappelait de son dévouement, de son ambition mais surtout, de son amour pour lui.... il arrivait à lire dans ses yeux, il lui arriv
t réussi à insinuer qu'il sortait déjà avec aicha avant son mariage avec mberry, rire. Ibou en riait tou
ariage, ibou était rentré un peu tard ce jour-là. Mberry qui était enceinte de 6 mois n'arrivait pas à dormir. Elle éta
il était mal à l'aise et savait qu'il devait dire la nouvelle à sa femme avant quoi que ce soit, mais cette
a nouvelle mais voulait l'entendre de sa propre bouche. Il prit son courage à deux mains et
: mbe
ry :
e que je veux te dire. Comment tu es a
ibou, je n'écoute que toi
sé une deuxième femme aujourd'hui et
ait au courant très tôt le matin et avait passé toute la journée à pleurer... elle ne s'était pas arrêté
e sais ibou..
i pris le soin de te faire un sac. Il y a tout ce dont tu auras besoin, des effets personnels, sous-vê
surprise. Mberry continua : tu devrais partir maintenant
is je ne veux pas te laiss
pour moi mon chéri, part et prend ton temps. J'appellerai ma sœur pour q
i mais à cet instant précis il était parvenu à lire tout le désarroi d'une femme tr
brahima s
ans sa réflexion. Ibou se rendit com
es la depu
environs une
: tu es vr
moi ibou, tu p
udain chaud et le cœur qui battait la chamade. Il regarda a
e pensais à
: rire l
. Elle a failli faire perdre à aicha son bébé. Et ce
yeux : Aicha ???? La ti
ais vu, elle était d
st-ce que mberry a
lle se liait d'amitié avec aicha, et elles se parlaient tous les jours au telephone. Moi je pensais que c'était une bonne chose, mais mberry, sur conseil de ma stupide sœur, a commencé à dire du mal de moi. Que je suis un co
quoi ? M
con que je suis, je pensais que c'était dû à son état. Mais je m'étais trompé sur toute la ligne. Je lui ai demandé ce qu'il
rahima, tu sais que
l est le r
e c'est qu'elle ne te l'a pas montré. Nous savons tous les deux qu'elle t'aime et toi aussi tu l'aime. Alors essaie de la comprendre e
e ne sais pas pourquoi, j'ai de la peine pour elle. Car la mberry que je connais, je sa
-lui quelque chose qui lui fera passer une bonn
elle allait partir plus tôt, car elle devait allaiter son fils. Elle travaillait dans une
nd son telephone sonna en message. C'était ibou. Elle s'assit de nouveau et l'ouvrit aussitôt. Mais à sa grand
e avait accumulé cette peine pendant tout ce temps et maintenant, elle le ressortait. Elle prit le tel
t composa aussitôt son numéro. Mberr
tu pl
: non je. Je n
escends à q
pour pouvoir
ve à la maison pour
a me va. A tou
: hey
ry :
itié pardonné. Et l'autre moit
ant de lui chu
uiv