Ce doux garçon est à moi.
qui n'est pas étonnant après une nuit passée dans différents bars en compagnie de ses proches, profitant surtout de la soirée avec la foule,
embler à une déesse imposante. Cette dictatrice était en train d'avoir une migraine, ce qui la rendait encore plus furieuse. Elle prit le téléphone à
r avec le gars d'hier ? -il sourit moqueur, penchant la t
oi, j'ai un putain de mal de tête. -elle baille lasse et satisfaite. -Je ne sais même pas à quelle heure je suis
le dimanche est fait pour se reposer, mais tu l'as clairement pris très au sérieux pour oublier que tu as des engagements aujourd'hui... -i
e sexe et de tabac, hypnotisée, avec des lèvres sèches et entrouvertes, cherchant de l'air. Respirer dans cet endroit? C'était impossible. Elle se sentait flo
heure, attends-moi
a, att
problèmes avant, c'est ce qui se passe." Furieuse, elle lance les chaises contre le mur, les détruisant, pleine de colère. Elle caresse ses cheveux abondants et récemment coupés, un peu plus de la moitié de son cou
tout ce qu'elle a vu en plus de 30 ans d'expérience ruineraient la réputation de quiconque oserait lui toucher un cheveu. - Regarde bien comment tu me parles, gamine. Je peux être ta femme de chambre, mais je t'ai essuyé le derrière et je dois encore le faire. - Avec finesse et sans perdre la p
-demande-t-elle calmement, fermant
ue j'ai dû l'accompagner. Tes hommes voulaient se moquer de lui et je les ai frappés chacun avec une baguette dans le dos. -résiste-t-elle,
ai
la bouche entre des grognements à la jeune femme aux cheveux blond
la regarde encore debout
lui tenir tête, à moins que ce ne soit vraiment, vraiment nécessaire", sont les paroles de son père, Vladímir Viktor Zaytsev Tarasov, ancien patriarche du Clan Romanov. Après avoir tout légué à sa fille, il décida de se retirer dans la forêt, à environ 20 kilomètres du château familial. C'était littéralement un autre monde dans cette petite cabane. Parfois, le silence désespérait Duscha lorsqu'elle allait le visiter, provoquant des éclats de rire chez son père, qui l'observait et soupirait. "Quand tu apprendras à être patiente, tu comprendr
ent le pull à col roulé noir, parfaitement assorti à son costume grisâtre, avec des coutures légères à carreaux, ajusté à ses bras musclés, mettant en valeur ses fesses travaillées et sa silhouette sportive et imposante.
fe, b
- Je ne veux pas de bagarre, je vous rappelle que même si ça vous démange, les Japonais sont nos alliés. Elle les observe attentivement à quoi ils acquiescent. -Jasha, c'est sérieux, je ne veux pas de ton humour de merde à la réunion, je jure que si tu provoques l'un des membres, je te mettrai moi-même dans le coma. -dit-elle avec des yeux opaques, prenant une gorgée de son café. -Jasha, également surnommé "Le silencieux", acquiesce et plisse le nez, contrarié par le rappel à l'ordre. -D'accord, sans plus tarder, atte
putain de journée ! -il s'affale sur la chaise, léchant une sucette au ci
rivé bien plus tôt, je vous vois d
ux cheveux verts, souriant comme un enfant heureux avec sa sucette au citron. Elle m
elle nuit i
été de la merde, à
on doit respecter l'agenda. -elle baille. -Clan Inu Yasha, on va parler... On va parle