Ce doux garçon est à moi.
yeux noisette n'en avait cure, en fait, il ne prêtait aucune attention aux flammes qui sortaient de ses yeux à ce moment-
yeux assombris. Elle en avait assez du garçon, elle ne pouvait pas permettre plus
nsation que personne ne devait interrompre. Táo lève les yeux et trouve ces yeux verts assombris par un sourire légèrement machiavélique et moqueur. Son cœur
désolée, tu devras me supp
et d'un geste de la main, suggère au garçon de retourner à la cuisine. Le garçon
ant, pou
'intimider. Vous n'avez clairement pas réussi et vous ne réussirez pas avec nous, alors laissez-moi être clair -il lève son doigt de manière directive, -Vous ne maltraiterez plus ma famille ni cet établissement. Si vous pensez que nous allons nous soumettre à vous et à votre comportement bestial, partez d'ici. -il regarde vers la porte et agite la main. -Monsieur Hiroshi nous a déjà parlé de vous, mais clairement, vous êtes pire en personne, ca
utée Lisovik la rendait purement et simplement honteuse, même la simple pensée de répondre de manière offensante. À cause de sa rencontre avec monsieur Kobayashi? "Mon Dieu... donne-moi de la patience, juste cette fois...", pense-t-elle, serrant les dents, laissant
-moi au bâtiment S
os o
s facile, comme elle l'avait pensé dès le début, en ignorant. Elle n'était pas responsable de ne pas savoir qui étaient ces personnes. "Vieux décrépit, tu l'as fait exp
nsi
ui
issez-moi cette fois-ci près des ré
e et tourne à un coin po
e et présomptueuse, il n'y a aucun doute là-dessus. De plus, il lui a changé les couches plusieurs fois et sait à quel point la jeune fille peut être irritable, ce qui lui rappelle le père
C'est pourquoi il devait s'occuper de la môme, et l'une des premières choses qu'il devait lui enseigner à cette petite fille gâtée était de respecter et d'être patiente. Cela fait
t incident, en raison de cette nuit qui a changé sa vie, elle a commencé à affronter la vie de manière frénétique et démesurée, utilisant
er
un coup d'œil autour d'elle, le regard agité et anxieux. Elle arrive rapidement à la grande maison, où Monsieur Kobayashi l'attend avec un sourire. Il s'incline à distance et fait un geste pour qu'elle passe, pendant que l
e retire sa veste de costume et la jette par terre
i me fai
re q
e semblant de n
e détendue. - Ce garçon est maintenant ta seule option, Duscha. Ses capacités int
se promène en parlant toute seule. -Mon
e de haut en bas. -Quelle effronterie, en plus, ce
bouchée copieuse et la viande juteuse avant que le plat ne vole à ses côtés entre les mains de l'irritable Petya Ivanov. Comme il l'avait prévu, le pl
de choses à me dire, peut-être m'insulter, typique de toi, mais permets-moi au moins de profiter de mon repas avant que no
plaît que c'est une blague. Si tu voulais que je comprenne que je dois être plus re
N
il rit lé
e, ton meilleur ami en ce moment. -il fronce les sourcils et claque sa langue. -Ah, et non, tu n'as rien appris, ne mens pas. -il lève son doigt indicateur, lui faisant avaler ses paroles. Clairement, elle était sur son territoire, elle ne pouvait pas faire grand-chos
et cris dans le vide, elle termine sa sortie du lieu. Elle s'arrête au milieu de la rue, en plein midi, et respire profondément, essayant de comprendre la situation. "Que se passe-t-il? Tout est hors de contrôle... Hors de mon contrôle...", pense-t-elle, é
que ses parents viennent le chercher. -Mademoiselle, pouvez-vous m'aider ? -le garçon commence
? -elle se baisse à la hauteur de l'
je pense qu'il est très malade, je ne s
Où est-il ? Emmène-moi avec toi et nous verrons si nous pouvons l'ai
acc
e à marcher jusqu'à entrer dans un trou où, heureusement, le corps de la blonde peut tenir. Entre égratignures et quelques écorchures, elle atteint une petit
vraiment triste. -Il est très malade, n'est-ce pas ? -Ses yeux se remplissent de larmes sur le point de sangloter.
chiot dans ses mains avec précaution et le câline. Elle regarde le garçon et sourit doucement en
médicaments et c
es larmes. -Alors, si tu veux, je peux le prendre avec moi pour qu'on lui
t acquiesce, prenant la décision de l
chiot dans ses bras. -Je vais partir rapidement pour
e pro
dement. Elle fait demi-tour, mais s'arrête de manière incertaine. -Garçon, regarde. -Elle s'incline légèrement pour lui remettre une carte avec le numéro. -Si tes parents te disent que tu ne peux pas
ntérieur de la maison, non sa
chiot. -Allons-y, Lisovik. -Elle rit sans