Ce doux garçon est à moi.
droit, et insiste, funeste, qu'il
nt pas, a explosé soudainement, causant des brûlures graves à deux employés. Heureusement, il n'y a eu aucun décès, mais l'établissement a été complètement détruit. C'est ce que Duscha a appris, elle qui, vagabondant dan
'Asperger... -elle bafouille à nouveau, se sentant idiote. -Non, peu importe, il a commencé en premier... -elle grogne frustrée. -Je ne vais pas te plaindre, salaud. -furieuse, elle prend un piment habanero noir et l'allume, inhalant profondément la fum
ligente et rapide, elle arrive devant
peluche et je ne l'ai trouvé nulle part maudit soit-il. -elle prend une bouf
en toutes les années où elle a travaillé avec Madame Ivanovna, elle ne lui avait demandé quelque chose de man
t une animati
de la jeune blonde. -Je vais passer la commande tout de suite. Avec votre permission. -elle sort r
t les données de son historique. -... Tiens, expert en économie, boulangerie, histoire japonaise, chinoise, russe, romaine. Mon Dieu, es-tu une sorte de boîte magique mécanisée ? -elle demande en fronçant les sourcils. -Il aime les pêches
quoi elle réagit patiemment tout
après
nd es-tu au
et bâille paresseusement. -Q
ue tu as rencontré le garçon hier, comment ça s'est passé? -il demande avec sarcasm
compte rien te dire. Je
e riz, assis près de la fenêtre de sa demeure à la périphérie des champs calm
prend sa veste noire et quitte le bureau, légèrement impatiente. Elle devait retourner à la cafétéria et faire la paix avec les grand
elle arriver
a dans mon bureau dès
la regarde de haut en bas, recevant le regard h
ue chose sur
cesse de la regarder, bien qu'avec un l
sans comprendre la situation. -Mikhaïl, emmène-mo
uirai. -Gentil, il ouvre la portière
par les années, ouvre grand les yeux, puis referme
gratte le cou et se réveille de sa divagat
n être humain qui lui disait ses vérités sans broncher. Cela l'excitait sans aucun doute, mais son ego brisé prenait le dessus. Ce garçon, en plus d'avoir éveillé Lisovik pendant quelques secondes, avait éveillé des désirs sombres, créant dans l'esprit de Petya des scénarios érotiques où elle soumettait ce corps délicat à des plaisirs, à tout ce que ses mains habiles
ad
ond, se réveilla
-je vous poser une question
lez
ous ici ? Est-ce
soupire et sourit malicieusement.
ille était une enfant qu'il avait gardée et sauvée de nombreuses
s bras et baille. -Je rentrerai chez moi se
ux brillants, il la remercie
s dérange pas. Ce sont des pains d'épices délicieux. -Elle dit en observant la porte du petit café. Elle sort de la voi
ui semble être des tasses de café au lait. D'un regard et d'une légère inclinaison, elle salue la vieille dame qui la regarde avec mépris, montrant qu'elle ne l'apprécie pas du tout après ce qu'elle a fait. "Mon Dieu, elle me déteste vraiment", soupire-t-elle pensivement. Elle prend un biscuit dans la pe
reprend son calme. Le garçon répond en mandarin, avec une voix
lier de boulanger, ce qui le rendait encore plus séduisant. "Beau...", pensa Duscha, satisfaite, tout en observant rapidement ses cheveux soyeux, remarquant qu'il les avait coupés il y a deux jours. Ses lèvres et son cou étaient si, "Adorables et appétissants...", pensa la puissante m
laît, quitte
e qui l'irrite le plus, c'est qu'il ne la regarde pas dans les yeux une seule seconde. Son grand-père, à l'arrière, sourit en la voyant surprise, chose que la redoutable Duscha ne peut remarquer. Pendant quelques secondes, elle pense qu'elle attrapera le garçon par le cou
, retourne à la cuisine, i
çon baisse à nouveau les yeux tout en souriant doucement. Petya, quant à elle, son cœur s'était arrêté pendant quelques secondes en voy
je répète
lle exploserait certainement à n'importe quel moment. -Je
eune homme en fronçant
simplement pour pr
s catastrophes qu'elle avait causées, elle n'avait présenté des excuses à quelqu'un. Mais ne pas faire la paix avec le garço
l'autre jour. -elle soupire en ressen
N
demande en écl
eune homme la regarde dans les yeux pendant un moment puis cl
excuses maintenant ? -elle gronde e
tte femme terrifiante. -Vous devez être habituée à ce que tout le monde fasse et dise ce que bon vous semble, mais ici, cela ne se produira pas, alors sortez de mon café maintenant, madame. -il ouvre la
ettait très mal à l'aise, mais il n'aurait jamais pensé qu'il affronterait quelqu'un de cette manière. Les années à Shanghai l'avaient certainement changé. Il ne se laissait intim