L'Armure du dernier Dragon
ement de temps
mis ! Petit
ouvait sur un lit qui grinçait, les pieds dans le vide, au travers du matelas. Son corset était délacé, sa poitrine s'en échappait, ses cheveux étaient e
y décelait les moindres détails ; que ce soit les défécations de mouches, les tâches, la peinture qui craquell
épris de l'alcool, la gifla puis saisit son visage
t'ai dit ! g
le Duc... c'est... c'est
ndant, Aeria n'était pas une mauvaise personne. Elle n'avait jamais cessé d'être gentille avec ses semblables et quand bien même elle se retrouvait dans ces situations p
'un jeune garçon de son école, elle n'était pas plus vieille que treize ans et lorsque ses parents eurent vent de cette amourette, ils lui interdirent de
ble dès son plus jeune âge et les hommes, peu importe leur titre, se l'arrachaient. Ses
calvaire allait enfin prendre fin. Il se laissa tomber de tout son poids sur elle, puis embrassa sa joue, son cou, couv
ravit, néanmoins, quand elle souhaita prendre sa mère dans ses bra
empestes la luxur
ils vivaient dans une plus grande maison, on pouvait appeler cela de la noblesse. Ils avaient quelques domestique
le de poils qu'elle avait recueillie deux ans plus tôt. Le pauvre était malade, il
ns prendre un bain, s
un évier de pierres tout en retirant la pince de ses cheveux. Des cheveux rares en ce monde, un roux immaculé, une couleur orangé que personne n'avait vu depuis des années. Aeria n'avait jamais rencontré personne d'autre avec une telle chevelure, elle était unique