NIA LA PROSTITUÉE DU PRÉSIDENT

'N

plus t

dire sur mon présent juste que j'espère quitter très vite la maison de famille le plutôt sera le mieux. Pour me financer je vendais du Attiekê et du poisson non loin de la maison. Du

nourrissait moi, ma grande mère et mon petit frère. Comme dans la coutume après la mort du fils aîné ses biens revenait a ces frères, son fils et ces e

eurs morts je me suis retrouvé a vendre du Attikê au pour pouvoir payer l'écolage de mon petit frère. Après avoir compter

urvivre. A l'abris de la pluie du vent et du froid on se tenait compagnie entre voisins je craignais rien vue que la majeure partie de mes clients étaient souvent des policiers qui venait manger ch

urs cœur Stéphane était le seul celui qui possèdait une petite voiture ci quelqu'un tombe malade la nuit c'est sa voiture qui

u quartier avait agresser Stéphane es

ous avons un chauffeur de taxi dans le quartier mais il a déménagé après avoir aider 3 personnes. Pour ne plus avoir a aidé qui que se soit il a préféré partir en douceur. Et Stephan lui aussi ne se sentait plus responsable de quiconque. Tout le monde a très vite compris que

marché. Vers 13 heures je me réveille je vais prendre une douche et je cour faire mon marcher a mon retour je vois Sonia qui était entrain de s'amouracher avec le fils du voisin je fais comme ci je ne les avais pas vu et je passe mon chemin. Sonia était ma cousine elle

ère toi mais tu est passé sans prévenir

me mêler de votre vie donc je me tiens

pa les surprend pour nous voler notre pl

voler quoi

que tu fais dans cette maison tu attends que mon père meurt

maison appartient à tout le monde do

lie de poisson frit pour mon attikê cette voulais tout renverser au sol j'ai attr

eiller mes oncles voulais me parler je regarde la montre il était 9 heures je venais tout just

ton Joseph Bonjo

njour tu a

ton vous vou

il passer ici hier

il l'a surprise avec le fils du voisin. On discute elle m'accuse de vouloir leurs volée la maison familiale je dénie et tout d'un elle es

Nia va te repos

be bien que je vous

eux nous dire

la maison j'ai déjà vu une petite mai

cette maison le jour de ton mar

les choses prennent dans la maison je préfère partir avec Cédric tante Éliane et ces filles son capable

tu parles je ne co

re n'avait rien donc Cédric et on ne discute rien avec quiconque. Ce n'est pas la première fois que ce

appartient à ton père c'est ton grand père qui lui a donné et cette cour

ît je veux aller vivre là en plus je ne vai

ai ici le soir on sera

questions maintena

mpte que le sommeil m'avait quitter. Je vais m'apprêter pour me rendre au marché

emoiselle je cherch

C'est ici je p

rche une certa

éli Mensah que puis

re Hervé Rouanh l'av

mort ils y'a 2 ans déjà entrer m

vous avez une pièce d

IL affiche aussitôt un grand sourire enfin crit l'avocat cela fait 1 ans que vos oncles me to

ste à côté et l'avocat me livre le

s l'âge de 18 ans. Cela fait bientôt un an que je fais les aller retour pour faire votre connaissance et a chaque fois vos oncle me disais que vous avez voyag

amais voyager

éclairer sur votre situation de vie ce matin. Mademoi

ci monsieu

bureau du Notaire monsieur Grégoire Truelle pour la lecture

je ne peu pas rater je peu venir

ez de venir avec vos

inquiéter p

ds du testament de mon père me laisse sans voix. Je considère tout et je retourne vite a mon stands d'atiekê avec Stéphane aussi qui préparait son petit coins de café.

cun de ces terrains. Clôturé et bien entretenu je fond en larme mo

out faire pour construire avant que tes o

vend attiekê pendant 4 ans même fo

moins par économis

e pars mettre les documents dans un coffre à la banque et je retourne à la maison finir de cuisiner mon attiekê. Donc c'était pour cela que mes oncles voulais me garder dans la maison familiale. Selon nos coutumes les biens de mon père revenait aux hommes de la famille se qui voulais dire a mon p

groupe d'homme en costume cravate bien parfumer accompagner de leur femme se dirige vers nous. L'un d'eux commande pour un total de 300 milles francs. Je finis la commande et je reçois l'arge