ILS NAQUIRENT LIBRES ET EGAUX

sant dans l'air qu'ils respiraient. Personne ne voulait parler à personne, mais il fallait sortir, quitter cette campagne et vite filer en ville pour faire des mises au

ures, ils avaient roulé à tombeau ouvert. Quand ils se retrouvèrent dans leur voiture, loin des troi

s non ! Monsieur avait besoin de prouver qu'il savait embrasser une femme. Ou avait-il simplement besoin d'une tendre récompense pour son sacrifice ? Alors,

l à l'aise, mais ne sachant q

èrent ainsi jusqu'à Mennecy où ils habitaient. Quand ils arrivèrent chez eux, les trois autres témoins

aincre son amie de la dangerosité d'un tel jeu même si elle comprenait que ce serait peut-être sa seule issue. « À présent, il est bien trop tard », pensa-t-elle, le temps des remords était passé, il fallait trouver le moyen de tout remett

che douillette et fragile, Rose en voulait à la terre entière. François, qui ne su

l calmement. Mais celle- ci braqua un r

-tu à me vomir ? Tu es désolé, c'est ça ?... Ma

core et toujours elle qui avait tout manigancé pour que ce mariage ait lieu. François ne comprenait pas son attitude

t-il, mon

ur le lit, comme une boule, pour se retrouver à l'aut

e de le faire, il ne fallait pas l'accepter, il fallait refuser même si j'avais essayé de te convaincre. Est-ce pour m'

à son tour et l'

mment voulais-tu que je l'embrasse pour qu'il soit convaincu qu'il s'agissait réellement de mon épouse ? Ne savais-tu pas que le mari embrassait la mariée à la cérémonie ? Tu ne savais peut-être pas que les m

finement et le froid s'était corsé un peu plus. Pourtant, François n'hésita pas à sortir et s'éloigna de l'appartement pour s'imbib

Christine, de son côté, remplissait sa corbeille à

uelle ? Quelqu'un ne devait-il pas ravaler sa fi

parler à Rose. Elle sortit de sa chambre et alla dans l

ose

et Christine se rapprocha de la

ais que c'était une mauvaise idée, je n'aurais jamais dû t'écouter. Ton idée a détruit notre amitié, je regrette sincèrement que les choses aient pris cette tournure et que nous en so

mbre, se jeta dans les bras de Christine

lé avant... Je ne voulais pas te faire ça... Je n'ai aucune intention de te nuire, tu es plus qu'une amie po

our la manière dont j'ai réagi. Je sais qu'il n'y a rien, qu'il n'y a rien entre

ire se dessina sur ses lèvres nature

ne sais vraiment pas pourquoi je l'ai mal pris... Que je

ne pour aller mettre des canettes

moi... Où e

s ce cafouillage affectif et administratif. Elle aurait souhaité s'en passer, fina

on moral et proposa d'attendre François pour fê

en France sans problème... Tu n'as plus besoin d'aller noyer ton destin dans le sombre chaos d'un Congo honteusement et piètrement dirig