ILS NAQUIRENT LIBRES ET EGAUX

un octroi de bourse qui lui permettrait de poursuivre ses études en France – à l'université Paris X, plus précisément à Nanterre. Elle préparait un doctorat en philosophie

ses opportunités était et resterait très mince ; car, la philosophie n'est nullement un métier ; il n'y avait pas de quoi se pavaner vu que, sur le marché

que pays au monde où les historiens contemporains du monde entier peuvent encore se régaler en étudiant, en live, les comportements anthropophagiques des êtres barbares pré

ur le sol congolais qu'ils n'hésitent pas à faire taire définitivement dès que ces malheureux essaient de bouger ou de crier au secours. Des espèces de créatures rarissimes – frappées de surdité incurable, de cécité accrue et complètement givrées en plus d'être singulièrement niaises – qui doivent leur férocité à leur instinct bestial. Ces horribles créatures hématophages, venues d'ailleurs, vêtues de costumes humains, disent gouv

à leur philosophie macabre et de rendre le monde infect. Ainsi, tout Congolais qui parvient à s'évader et à se retrouver hors de

n'avait aucune valeur puisque les animaux qui avaient signé ce papier n'avaient aucune conscienc

avait dû sacrifier sa raison d'être en France pour se consacrer entièrement à la lutte pour la survie. Bien que n'ayant pas le droit de travailler e

tout domaine ; étudie toute proposition. Soutien scolaire

s des journaux gratuits qu'elle ramassait çà et là

à travaillé com

ondu un jour Chri

icle 15, lorsqu'on recherche du travail,

istonnent, se forment, s'informent et se conseille

bien expressif, Mobali, c'est-à-dire « l'Homme », il n'avait jamais travaillé, lui qui connaissait les moindres ficelles et canaux du monde obscur des clandestins. Ava

ître absolument lorsqu'on prévoyait de se jeter dans la jungle française. Son nom était aussi nécessaire qu'un passeport. Il était l'adresse indispensable pour l

prêtant ses papiers à ceux qui n'en avait pas ; ils s'en servaient pour travailler tandis que lui récupérait la moitié du salaire résultant de ce travail. Ainsi, en faisant travailler plus de dix personnes avec ses papiers dans toute la France, et en Europe, il avait un rev

it bénéficier de très raisonnables allocations chômage aussi b

aller-retour et qui, pour X raison, n'utilisait pas le retour, confiait la moitié de son billet à Mobali qui se chargeait de trouver un acheteur en quelques heures, en général des étudiants qui voulaient rentrer au Congo soit pour des vacances, soit pour le décès d'un parent, soit

e régulier ; ils perçoivent un mois de leur traitement tous les semestres quand tout va bien ; c'est un peu compliqué à expliquer. Disons par exemple que, si en décembre, ils reçoivent leur paye du mois de

uelqu'un de vivant, une carte consulaire pour quelqu'un de décédé, un acte de mariage ou de filiation pour n'importe qui, les documents étant établis et signés par le c