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Mes souvenirs de lui

Chapitre 2 02

Nombre de mots : 3395    |    Mis à jour : 29/08/2023

3

elle maintenant. Mais tout compte fait ce n'est pas tout a

ra Izo

n avais grand besoin, l'année a vraiment été stressante. Et

s je fais du tourisme au

vibre. C'est un numéro incon

ll

soir

t toi ? Bo

Je ne te déran

en train de me déte

juste pour avoir

s bien et toi

, ça va

aisser, dors bien

e nuit, je t'

t moi sortons ensemble depuis à peu près un an. Je dois dire que notre relation n'est pa

re présentée. Je m'appelle Nora Yelena Izouret, j'ai 4 ans

je dirais un peu trop libre à mon gout. C'est un jeune cadre, il vit seul alors que moi je dépends encore d

elle que je suis en vacances, donc je ne suis pas là pour vous parler de moi mais me détendre. Bon a plus on se revoit,

la tête d

. Nous sommes pen

Nous avions connu une idylle pendant 2 ans. Lorsque je passais en 1ère D, lui passa en Terminale C. Le Cameroun est l'un des rares pays de nos jours ou on passe encore le probatoire, Fields avait dû le passer et le réussir pour passer en Terminale. Loin de ma famille, dans ce pays que je découvrais mais dont en réalité j'avais des origines, Fields avait été l'une de mes principales raisons de tenir bon. Il était présent, m'encourageait et me comblait d'amour. On s'aimait et je croyais vraiment en nous. Je nous voyais vieillir ensemble. Etait-ce un rêve d'adolescente ? Etait-ce juste l'amour qui m'aveuglait ? Dieu seul sait. Nous nous soutenions mutuellemen

proscrits. Pour nos parents : nous étions en classe d'examen, il était hors de question que des amourettes d'adolescents nous éloignent de l'essentiel, c'est-à-dire nos études. Il y'avait une pression terrible sur nos tê

r contre celui-ci et j'éclatai en sanglot. Maman et ma petite sœur m'entendirent pleurer et se rapprochèrent de moi pour co

oncentrer sur l'essentiel, elle était trop occupée à autre chose. Maintenant c'est :

it. Me voyant pleurer ; elle était elle-même à deux doigts de le faire. Maman grogna tout

le cœur noué. Ma mère ne parlait pas beaucoup et essayait de garder son calme par respect pour mon anniversaire. Elle me consolait presque. Mais rien n'y faisait. J'avais beau être au milieu des gens, ni mon cœur, ni mon esprit n'y étaient. Je me

er à mon examen signifiait tout simplement que je ne retournerais plus au Cameroun. Ce qui arriva. Fields et m

-là, je recevai

4

de la St Valentin, bonne fet

de la rev

iversaire

r au concert de« Bébé Dj », un jeune chanteur ivoirien en vogue à l'époque. Arrivées à Gabon Expo (le lieu du concert), nous (maman, ma sœur et moi) apprenions que celui-ci était annulé. C'était dommage pour elles et tant mieux pour moi. Je n'avais pas le moral à être en publique ce jour-là. Encore que généralement, à ce genre d'occasion

de ses amis Maman Yoyo qui n'habitait pas loin de là, un quartier appelé « Plaine Orety

t rangeait son sac pour descendre de la voiture ; ma sœur s'empressa d'aller saluer Jesse et Yann

oir salué Maman et Kimberley, ell

nielle m'a dit que tu es rentrée il y

euxième prénom, dimi

dit quoi que ce

quoi de neuf ?

larmes que je sentais au bord de mes yeux. Je puisais le pe

va, je suis là. Le vo

l'épaule,

je ne te sens pas là. Q

comme si de rien était, je repris la parol

r, Jesse et Yannick. Comme pour fuir la conversation. Tandis que Maman Yoyo, suivi de Kimberley ensuite, allèrent retrouver

sur Disney Channel « Phénomène Raven », si je m'en souviens bien. Jesse était plus âgée que moi de 4 ans et Yannick devait avoir 3 ans de mo

Kimberley vin

en faisant un geste de la main qui indiquait que je devais la suivre

ndes mes chagrins en présence des autres, je sen

i se passe là-bas ?, lui disait-je, pressant le

ur toi là-bas. Viens vite ! Tonton

transes ? Un message pour moi ? Mais q

5

revel

un homme derrière une table en bois, comme un médecin en face de ses patients. A ma gauche et en face de lui, assises sur deux chaises en plastique blanches et posant leurs têtes sur le mur qui longeait l'ouverture de la porte par ma gauche, deux femmes. C'était une salle, peinte en blanc avec une chambre annexe et une autre

it appel ? lui dis-j

oi d'abord, je vais t'e

entendre des gémissements comme si elle avait mal ou fournissait des efforts pour parler. Elle respirait très fort comme quelqu'un d'essoufflé et parlait dans une langue du Gabon, que la dame à côté d'elle traduisait en français pour que nous puissions compr

ui, elle vous le dira. Ils n'ont pas arrêté de la persécuter tout le temps. Si ell

olée. En effet, mon échec l'avait surement beaucoup affecté. J'étais l'ainée de ses enfants et elle comptait énormément sur moi, d'où son attitude. Mais là, elle était comme vidée de toute son énergie tout d'un coup mais toute aussi captiv

as été beaucoup persécutée au cour

tournant

st vrai ? d'un ton qui mon

Mais c'était devenu tellement courant que je n'en parlais pas et étais comme habituée à ces manifestations. C'était le même scénario, souvent les mêmes rêves. J'en avais fait un combat personnel et après avoir discuté avec quelques prêtres, j'avais fini par me dire que peut

lleurs cette année, il y'a un rêve qui m'est souvent revenu. J'en ai m

e répondit-e

l'on égorge et dont on verse le sang dans un seau qui contient de l'eau et des herbes. Ensuite, on me lave avec cette eau.

?! S'excl

ai vu tellement de choses. Mais bon,

oyo, elle ajouta : Tu vois les choses, Yô

courager. Tous ceux qui étaient avec nous nous écoutaient désormais. Celle qui é

tu ? Lui disais-je en lui passa

mes propres parents ! lâ

ait la probabilité que je sois là aujourd'hui, ici avec vous ? À l'origine en ce moment, on devait être à un concert. Mais Dieu a décidé autrement. J'étais abattue car j

eux après avoir dévisagé l

out ce qu'ils avaient pu faire quand j'étais petite sur mon corps, c'était pour me « blinder » car il voyait un grand malheur s'abattre sur moi bientôt. Mais t'inquiètes pas Maman car je lui ai tout simplement répondu que : « Moi Dora Nathalie, je ne suis même pas un peu inquiè

e si elle découvrait

as pas conscience, je te le dis. Rien ne m'ar

de ce moment de con

t au contrôle. Si la vérité est sorti

çais, non pas parce qu'il ne savait pas le faire, mais parce qu'il le faisait vraiment avec peine. Ensuite son accoutrement était des plus simples, ses cheveux n'étaient pas peignés et il avait toujours un cu

. Une simple visite de courtoisie s'est trouvée êt

eras jamais de m'étonner ! Pe

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