Mes souvenirs de lui
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, j'espere que ca
ment, 1 partage..
ouciance re
ais on essayait. Julien et moi n'avions plus aucun rapport, même au travail, je l'évitai et si on venait à travailler ensemble, je restai
ada, sur les conseils d'une amie et sœur Mary. Sur les lieux, je ne pus entrer car l'ambassade était fermée, alors je discutai avec l'agent de sécurité que je trouvai à la guérite et lui demanda les horaires d'ouverture. Il me demanda les raisons de ma visite et je lui expliquai que je cherchais des informations sur l'obtention des bourses. C'est alors qu'il m'apprit que l'ambassade était fermée depuis des mois et que l'ambassade ne pouvait à cet effet, octroyer des bourses à ce moment. Je le remerciai, et entrepris de m'en aller lorsque de nouveau ce monsieur de SGS ( l'agent de sécurité) m'interpella. Je revins vers lui et il me demanda si je pouvais
vais jamais vous appeler à des heures qui ne vous c
je m'en allai. Il m'appela un quart d'heure
me demanda mes résulats. Après lui avoir annoncer ma réussite, il me félicita, puis dans la discussion il me demanda quels étaient mes projets pour la suite de mes études. Je lui fis comprendre que je voulais continuer soit au Ghana soit en Afrique du Sud. En Afrique du Sud, j'y avais déjà des contacts, mais la rumeur de l'insécurité y rég
omme si c'était hier. Les choses sont allées tellement vite. Maman prit contact avec le petit frère, il s'appelait Mathéo, celui-ci nous aida dans les formalités de pré-inscription et nous donna toutes
ai à aller à l'université, je ne pourrai plus être le bébé de mes parents. Je devais commencer à penser à me prendre en main et ne plus voir un petit-ami juste prêt pour une partie de jambe en l'air mais aussi prêt à prendre ses responsabilités vis-à-vis de moi en cas de grossesse ou pas. Je sortais de l'adolescence et avait besoin de base solide pour entamer ma vie de jeune femme-étu
fête chez elle au Charbonnages. Ce même week-end il y avait une after-parti de quelques collègues en boite à une ancienne boite de Libreville à la montée du quartier Louis appelée le « Wharol ». Je commençai donc ma soirée ce samedi-là en me faisant
et accompagnait mes mouvements d'un même rythme. Je dois dire qu'il était bon danseur. Je le surpris me matant les courbures et cela eu l'effet d'activer l'envie qui commençait à m'habiter. Puis je sentis mon téléphone vibrer, lorsque je regardai c'était Henry qui avait tenté de me joindre. Je sorti en courant de la boite pour le rappeler, il me dit qu'il se faisait tard, et que c'était la 6e fois qu'il m'appelait. Il m'annonça qu'il s'a
lui. Il promit de ne pas me brusquer et tout en m'
iblement plus responsable. Il n'était pas le plus beau, mais il n'en demeure pas moins qu'il était grand de taille et avait un certain charme. J'avais
cuper. Il me parlait de certaines projections qu'il pouvait faire avec moi. Comme venir me rendre visite à l'étranger. Puis, pendant que nous discutions, il s'approcha de moi. Me prit d
t, moi je réfléchissais. Me demandant s'il valait la peine que j'abandonne Henry. J'aimais Henry, mais il ne me garantissait rien, du moins j'en avais l'impression. J'avais besoin
'est que l'homme qui m'arrachait les gémissements que j'émettais à cet instant, me chevauche et m'envahisse passionnément. Dans un élan de désir, j'entrepris de prendre son membre entre mes mains et de le caresser. Je pouvais le sentir se raidir et prendre du volume dans mes mains. Hans, rapprocha ensuite son visage du mien et m'embrassa de nouveau, mais cette fois, avec fougue. Je le sentais de plus en plus brulant, et son corps contre le mien, je pouvais sentir les battements de son cœur qui ne cessaient d'accélérer leur cadence. J'avais toujour
er personne, sinon moi-même. Je me rhabillais aus
s pas. Je suis là. C'est une nouvelle étape
surance. Henry avec qui tout semblait être juste sexuel. C'était lui, que mon cœur désirait. Je savais que je venais de me mettre encore une fois dans de beau drap, mais le savoir ne changerait rien au fait
vrir la porte, il descendit pour la saluer. Puis il s'assura que j'étais rentrée dans la concession avant de repartir a
ts et semblait matûre et respectueux mais que j'appréciais sans aimer, et de l'autre il y' avait Henry mon bel étalon, jeune, plein de vie, mais un peu trop à mon gout, qui ne parlait jamais d'avenir, de pr
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mbre à la
t Henry. Mon cœur se mit à battre. Je n'avais pas osé l'appeler à mon retour
onnerie, je me r
enry, dis-j
n'était pas claire car je v
s pas. Je commençais à m'inquiéter. Hier en rentrant tu devais me fai
mais dès que je suis rentrée je me suis assoupie. Je suis rentrée environ 30 à 40 min après que l'on se soit parlé en boite, puis
lais car je commençais à vraiment m'inquiéter. Bon, sur ce, je te
cis. Bisou. A plus. Lui di
, fourré ? La honte ! Honte sur moi ! Il était 12h 10. J'étais plongée à nouveau dans mes pensées, lo
njour chéri
lence de
? bien
, lui dis-j
de penser à toi et
u le permets je veux vraiment qu
onne journée. Lui dis-
l'idée de suivre Hans par intérêt. Car oui, Hans était le type d'homme que je voulais, mais il n'était pas celu
pour me rappeler que la journée avait avanc
ménage comme il se devait et cont
ambiance n'était pas au beau fixe au boul
nd end là. C'est Henry qui m'appelait, moi j'étais trop mal pour oser. Quant à Hans
Henry. Je décrochais et restait silencieu
? Et je t'ai fait quoi
lui dis-je
Pendant que je t'attendais ....Doraaaaaaaaaa...Pourquoi ? Encore une fois tu me
, je ne finis pas ma p
être entier tremblait de douleur. Je sentais comme une épine dans la poitrine au niveau du cœur. J'étais inconsolable. Je pleurais une dizaine de minutes à chaudes larmes, tout en essayant d'étouffer mes cris car j'étais dans l'enceinte du bâtiment de Moov. Je ne voulais pas qu'on m'entende, je ne voulais pas que tout ceci se sache. J'avais trop honte, j'a
i le courage d'arrêter de pleurer et de sortir
'essayais de masquer mes peines. Mais dès que j'avais des moments intimes, les larmes m'envahissaient de nouveau. Dieu seul sait le nombre de chapelets que je dus réciter pendant cette période, mon cœur, mon être réclamait l'indulgence de moi
à Henry, je gardai mes distances vis-à-vis
art pour le Ghana, Nadège, ma collègue
ir ? et qu'est-ce que j'apprends ? Ça c'est quel désordr
u mal à accepter mes bavures moi-même, alors de là à ce que ce soit une personne externe à ce manège
. Hans, henry encore ça pouvait passer, mais Julien
te dire. Je ne sais pas ce qui m'
et si Maman Danielle, venai
s et gémissements r
je t'ai demandé, q
s avoir à faire à l'un d'entre eux. C'est bon je me suis assez humilié. J'ai eu ma dose. Snif s
tu déconnes. Ça c'est quelle histoire ? Mais tu joues à quoi ? en tout cas, tu te débrouilles mais c'est
.. lui di
armi eux, celui qui te semble sérieux
de sérieux c'est Hans, mais m
ue tu veux aller loin avec lui, et tu sents qu'il pourra subvenir à certains de tes besoins. Car, la vie là ma petite. La vie là, c'est Dieu seul. Non mais, et puis quoi encore ? donc si tu tombes enceinte là tu veux dire que personne ne va s'occuper de toi ? Ehhhhh, écoutes moi bie
sur Hans qui revenait de sa pause
ir, je sortis me refugié de nouveau dans les toilettes pour