Les marionnettes de Lannu — Tome 2
e la forêt. Les arbres étaient nombreux, rapprochés et l'entrée du chemin faisait un peu penser à un tunnel. Il s'y dir
ement sur sa gauche lui fit comprendre qu'on l'attaquait. L
d'un pas et frappe sur la tête de toutes tes forces. Son crâne est fendu en deux, bien, attention le premier se relève et le troisième apparaît sur la gauche. Frappe d'un couronné, il fait une parade, donne-lui un coup de pied dans
n'en avait cure et lorsque les trois hommes furent allongés, morts, il se sentit comme en paix avec lui-même. Il se tourna vers l'homme en noir qui se tenait maintenant à l'entrée de
utorisation, je briserai chacun de tes m
s il n'avait aucune chance devant cet homme. Il ouvrit la main, l
lui. Il se pencha vers lui et trancha d'un coup, à l'aide d'un long c
on arme d'entraînement pour le
réussi son initiation. Il se sentit fier quelque part, mais a
, il le suivit sans contrainte, faisant fi de l'épuisement,
être posée comme une verrue sur la peau. Elle était plutôt branlante et visiblement mal entretenue. À côté d'elle, un enclos fait de branches mal taillées servait vrais
r, n'imagine pas que je vais subvenir à ton alimentation, débrouille-toi. Je viendrai ici tous les matins dès que
se, il émit un claquement de la bouche et lan
udra construire des pièges s'il ne voulait pas mourir de faim et faire une réserve de nourriture pour l'hiver. Demain, dès qu'il en aurait le temps, il partirait à la recherche de baies et de racines, mais pour l'instant, il était trop épuisé pour quoi que ce soit. Il franchit le seuil de la maison, la porte n'était pas fixée aux montants et il l'adossa sur le mur se disant qu'il avait bien le temps de s'en occuper. La maison, ou plutôt la masure, était tellement basse de plafonds qu'il dut se baisser pour y pénétrer. Le toit laissait
u noir profond de la nuit. La journée s'annonçait belle et le temps était doux. Il se leva, s'étira, la
es en courant, ce ne sera pas suffisant, l'homme en noir a dit qu'il arriv
me cheval de robe pie qui semblait particulièrement rétif. Il s'arrêt
nourrir. En attendant monte dessus, lorsque tu
er sur l'animal qui se déroba soudainement, tentant de le frapper d'une ruade puissante ponctuée d'un pet sonore. Tum vola dans les airs et retomba brutalement sur le dos, alors que le cheval se tournait v
'amadoues, qu'il a
rver avec le même air narquois que sa monture. Il souffla f
celui-ci s'empressant de le désarçonner en se cabrant soudainement. L'homme en noir éclata de rire, un rire aigre et désagréable qui le mit mal à l'aise. Quelque chose d'ét
is. Laisse-le gambader maintenant, il revi
une longue série de répétition de mouvements, l'homme noir ne descendit même pas de sa monture, s
force, se replaçant et recommençant. Le souvenir du combat de la veille lui revint avec force et il oublia les consignes pour répéter chacun des gestes effectués. Ses deux personnalités avaien
je t'apprends si tu ne ve
it en nage et la source d'eau la plus proche se trouvait près des buissons, là où il avai
n cheval, je revie
rtit au galop. Tum, lui, se parlait à lui-même, cherchant de nouveau à hié