Comment j'ai tout perdu
t son temps, à rester un peu au lit et se détendre. Dehors, la station bouillonnait entre les départs et les arrivées. De la fenêtre, je regardais la queue aux remontées et me
s s'étalaient sur les trottoirs, les gens se faufilaient entre les chaises, contournaient les présentoirs et empiétaient allègrement sur la rue, exigeant que les voitures fassent preuve d'indulgence. Nous profitâmes de ce joyeux désordre pour nous attarder devant les vitrines en imitant le gros de la foule. Nous pensions ramener quelques souvenirs à nos épouses respectives. Nous aperçûmes pour la première fois la terra
l en pointant du
le texte en question soit visible.
t l'autre jour. Regardez ! Il a eu
lama José, c'est fou
our se rendre à son nouveau travail, et c'est dans un virage qu'il
, suggéra Bertrand qui n'était p
t alcoolique, ce n'est pas du j
saoul ? d
la police non
Bertrand, ça lui arrive au moment où to
parler. Il était radieux, son épouse était avec lui. Une femm
e destin, d
si l'on pouvait croire à une dure fatalité dans c
n'y avait pas d'arbres au bord de
s jamais été d'accord
raser tous les platanes de la terre parce qu'on roule en voiture. S'il y a accide
ait mieux valu qu'il fonce dans l
répondre. C'était inutile, jamais je
es arbres qui résoudra le problème », et je m
pliqua Éric, que tu serais mêm
lus-je, pendant que le
lecture. Nous restâmes silencieux en buvant notre café, chacun méditant sur ce fait divers. Ce drame nous provoquait un cer