Vivre ou mourir par amour ?
ssance de mon enfant, avec une équipe médicale attentive à mes côtés. Les battements de mo
e j'avais surmontées tout au long de ma grossesse se sont intensifiées. Les médecins ont agi avec diligence pou
bébé a vu le jour, emplissant la pièce d'une joie mêlée de soulagement. Le bébé dont le cri avait rempli la salle, était là, une lueur de vie dans l'obscurité. Les larmes de joie coulaient sur nos visages alors que l'on tenait notre enfant pour la première fois dans nos bras. Nos mains se sont entrelacées, un symbole
re condition s'est détériorée rapidement. J'ai dû rester à la clinique pour être surveiller durant une semaine et refaire des allers-retours à la clinique au moins une fois par semaine lors de ma sortie. Sans Luke, je n'aurai rien réussi à faire car il m'a d'autant plus so
me. Et mes amis ont commencé à perdre espoir sur mon compte mais ils faisaie
ère mais j'ai insisté sur le fait de l'avoir près de moi car je n'ai pas pu avoir beaucoup de contact avec elle, je n'ai même pas pu l'allaité comme toute mère qui se respecte du fait que je prenne beaucoup d
aissance, j'ai finalement
laient sur nos visages, mêlées de chagrin et de gratitude pour tout le temps que nous avions partagé. J
mais sache que j'ai fait de mon mieux durant toutes ces années à prendre soin de toi. Je remercie le ciel de t'avoir mis sur mon chemin, sache que tu es rare et quelqu'un comme toi, il n'en existe pas beaucoup sur cette terre. Promets-moi que tu prendras soin de notre petite fille. Et si jamais j
e par l'émotion. "Je te le promets, Vanessa. Je veillerai sur elle avec tout mon cœur,
e fois et embrassé aussi notre fille pa