Vivre ou mourir par amour ?
elle à qui que ce soit. On a donc annoncé la venue de notre petit bébé à la famille et aux amis proches d
fausse couche. Le choc initial a été suivi d'une profonde tristesse qui a semblé envahir chaque recoin de leur existence à tous. Et partager la nouvelle avec les autres a été une lour
vait arriver après tant d'efforts et de patience. Luke, quant à lui, a ressenti une impuissance totale devant ma souffrance, désireux de me réconforter mais incapable de soulager sa propre pei
avons pu parler de nos sentiments, nous avons partagé nos larmes, nos frustrations et nos peurs, se soutenant mutuellement à chaque étape du processus de guérison. Notre amour inébranlable était
m'aider à traverser cette épreuve déchirante. Luke a continué d'être mon pilier, m'encourageant à partager mes émotions et à exprimer ma douleur et il en faisait d
rouver le courage d'en parler et de pouvoir passer le cap. Mais heureusement, nous avons appris à trouver la beauté dans les souvenirs que l'on avait créé avec notre bébé à naî
arrêter. Nous avons donc retravaillé avec nos médecins pour se préparer à une nouvelle tentative, sachant que l'incertitude deme
us avons abordé chaque étape avec une humilité et une gratitude renouvelées, sachant que la vie était précieuse et que chaque mo
t et physiquement avant de reprendre notre quête pour fonder une famille. Nous nous sommes donc concentrés sur notre propre bien-être et avons cherché à re