Vivre ou mourir par amour ?
ur savoir si tout le mal que l'on s'est donné pendant ces trois longs mois ont porté leur fruit. Il était impératif pour nous donc d'en avoir un et dire que nous n'aurion
ait déjà les moments partagés en famille, les premiers sourires du bébé et les rires qui rempliraient notre
. J'ai, en particulier, ressenti le poids de l'incertitude et me suis demandée si j'avais fait quelque chose de mal, si mon corps avait un problème, si c'était moi la source de touts ces malheurs que je lui infligeais. Mais Luke, quant à
a été ravivé. J'ai traversé des cycles de traitements, tout en essayant de maintenir un équilibre entre notre vie quotidienne et les rendez-vous médicaux rég
positif. Les hauts et les bas émotionnels étaient épuisants, et il était difficile de garder la foi. On a alo
trouvé une nouvelle profondeur dans leur relation. Notre amour n'était plus seulement une émotion, mais un choix quotidien de se soutenir mutuellement, quels que
eine. Ma grossesse a été une période de bonheur et d'anticipation, d'excitation même. Et chaque étape était un rappel de leur résilience en tant que couple. Que l'on a pu y arriver avec nos propres efforts et que ces efforts même que l'on a fait à deux a donner ce bea