Au cœur du destin
, ma sortie avec Éric et cette douce communication que j'ai eue avec cette fille dont j'ignorais le nom. Une fois à la maison, je sifflais tout en marchant. Tellement cette joie s'affic
dire ton prénom? La fille : Non, mon nom n'a pas d'importance. L'important, c'est être là, discuter parfois avec toi. Moi: non mais.... La fille : tu as vu que ton statut entant qu'enfant d'un ministre n'a pas d'importance, c'est pour cela que tu as choisi d'aller au collège au lieu d'une école et tu as sans doute caché ta vie familiale à tes proches du collège si je ne me trompes pas Moi: Oui je le sais. Mais ma vie familiale n'est pas synonyme de ton nom. Ce sont deux choses différentes. La fille : Tu le sauras au moment opportun. Bonne nuit à toi Adoï et merci encore pour ce temps. Moi : bonne nuit à toi. La journée s'achevait avec une petite routine enrobée dans le pensées sur cette fille. Et je dormis comme une rose pleine de rosée. Le lendemain, j'enfile mon kaki et rapidement, je prends mon petit déjeuner sous les yeux contrôleurs de Rufi comme pour dénicher en moi quelques choses de différents. On finit ensemble et je décidai d'aller avec elle dans la même voiture. C'était Éric qui se chargeait des déplacements de ma petite sœur. Une fois dans la voiture, je lance une bonjour à Eric en s'assaillant à ses côtés. Éric : bonjour mon grand. Bien réveillé? Dit Éric en s'engageant sur l'asphalte. Moi: oui comme une fille sans nom. Éric : parlant d'elle, tu a fais ce que je t'ai dit? Elle a accepté ? En entendant cela, Rufi sursaute en même temps pour nous nous rejoindre en prendre appuisur nos épaules, Éric et moi. Elle me regarda avec un sourire victorieux. Heééé bien, elle va confirmer qu'elle avait raison. Alors que rien ne s'était pas entre cette fille et moi. Rufi: Alors Monsieur Éric, mon grand frère avait le projet de faire la cour à une fille c'est ça ? Éric : oui et la fille s'intéresse à lui et cela ce sent en regardant dans les yeux de cette étoile. Moi: Hééééé bien vousvous trompez tous. Rufi: j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison... Moi: D'ailleurs je n'ai rien fait. Éric : là tu es un pédé ou un impuissant. Sinon comment expliquer que tu résistes au charme de cette fille ? Cette dernière remarque de Éric fit éclater Rufi de rire. Elle se tordait de rire si bien que Éric ne comprenait pas pourquoi elle rigolait. Je le savais et elle le savait aussi. Je me mis à rire en me rappelant les propos de Rufi hier. Elle n'a pas cessé de rire jusqu'à ma destination. Avant que je ne parte, elle me dit : Rufi: j'avais raison. Je fis la sourde oreille en m'allant. Vraiment cette petit sœur va me tuer un jour. Je soupire et m'engager vers ma salle dans l'espoir de voir Christ reprendre les cours. Dès que je franchis le seuil, je le vis venir vers moi. Il me tire et nous sortîmes. Quand nous fûmes loin de la classe, je lançai: Moi: c'est quoi, c'est la troisième guère mondiale? Même pas un bonjour et tu m'embarques comme si j'étais un criminel. Christ : Tu l'es pourtant toi. Pourquoi hier as-tu amené Elmire chez moi et pire encore, tu nous laisses seuls. Moi: mais je crois que vous devriez parler seul à seul. Donc ma présence ne sera pas bonne. Christ : tu vois? À cause de ça, j'ai brisé la promesse que je me suis fait et que je lui ai faîte. Hooo mon Dieu, je ne suis pas en moi. Je ne sais pas comment la regarder. Moi: mais Christ qu'est-ce qui se passe. Christ : j'ai fait l'amour avec Elmire hier. Moi: et??? Christ