Au cœur du destin
iquée pour qu'elle commette ce forfait dans ce monde. Elle s'échappe après m'avoir embrassé sans me permettre de dire quoi que ce soit. J'attrape mes lèvres avec mon étonnement. La fille inconnu
entiment mais c'est des bribes et fines étincelles du feu que naît une grande flamme qui consume une forêt. Cher ami, je t'aurais prévenu et tu me donneras raison un jour si Dieu le tout puissant nous donne longue vie. Va au cours à présent mon petit. Bonne journée à toi. Moi: Merci. Bonne journée à vous aussi. Je démarre ma moto et partis tout en passant aux propos de Éric. Je ne cessais de me dire qu'il avait tort. Cette fille n'est pas amoureuse de moi. Et moi de même puisque, parce que je ne sais toujours rien. Non, je l'aime en tant qu'amie et nous venons de se connaître. C'est absurde que cela soit réel. Les sentiments du cœur prennent du temps pour naître. À peine un mois et Éric pense que cela peut s'appeler amour. Non, je n'y crois pas. Je me marmonnai ces paroles tout en conduisant. J'allai garer la moto et avant de rejoindre ma classe, je jetai un coup d'œil de l'autre côté. Un groupe de fille s'était fait. Sûrement c'étaient les commérages sur le match qui s'animaient. J'entre et je vois Christ qui m'attendait. Christ : Bonjour mon grand. Moi: bonjour. Comment tu vas? Christ : je vais bien et toi ? Moi: je vais super bien. Alors qu'est-ce qui t'a interpelé hier tout juste après le match ? Christ : j'avais un truc à faire. Moi: Quel genre de trucs ? Quand les trucs commencent il faut s'en faire des.... Christ : Oui élargis tes infirmes pensées... J'aime tellement taquiner Christ. Il est mon ami qui me comprenait le mieux. Dans les plus humbles relations, celles de l'amitié est meilleure. Il ne faut surtout pas la perdre pour des choses insignifiantes. Les filles se dispersaient et chacune prit la direction de sa salle. Hélène et Elmire nous rejoignent dans l'enthousiasme. On pouvait lire une grande et débordante joie en elles. Hélène : bonjour les garçons. Christ et moi : Bonjour les filles. Elmire : Apparemment notre victoire ne vous réjouit pas trop on dirait. Christ : Tant que la qualification n'est pas donnée, inutile de crier. Hélène : oui c'est vrai mais le plus dû est enlevé. Ce qui reste sera à notre contrôle. Moi: tant mieux et il va falloir travailler ardemment mes chères filles. Christ : Adoï a raison. Avec ce qui s'est passé avec la fille au brassard rouge, n'est pas de bon augure. Elmire : Pourquoi tout le monde ne fait que parler d'elle ? Moi :C'est parce qu'elle est une grande joueuse. Même moi, je ne suis pas en mesure de la dépasser. Hélène : Donc tu la connais ? Moi : Oui je la connais. Je l'ai affrontée une fois et je sais de quoi elle est capable. Elmire : Voilà qui s'explique maintenant. Merci quand même pour ce secret que tu m'as livré pour que je contrecarre ses déplacement. Hélène : Ne la glorifiez pas autant. Elle est comme nous ici. D'ailleurs, je vais à ma place. Hélène partit dans une grande colère. Je me demande pourquoi elle réagissait ainsi alors que nous parlions de la fille inconnue. D'ailleurs il faudrait que je lui donne un nom. Je maintiendrai son prénom qu'elle a donné à mes parents. Je me rappelle qu'elle avait dit qu'elle s'appelait Chancelle. Je l'appellerai ainsi. Bouuf si seulement si je la revoyais encore puisqu'après notre dispute, elle n'aura m'adresser la parole. Que le seigneur fasse que je la rencontre un de ces jours encore pour éclaircir cette situation. Comme le seigneur écoutait mes pensées elle fit une subite apparition dans mon établissement ici. Au fait, il était dix heures et la pause s'imposait. Je déclinai malicieusement l'invitation de mes amis pour me rendre hors de l'établissement pour une petite méditation. Je gardais dans mes mains un carnet qui me permettait de noter tout ce qui me vient à l'esprit. J'étais entrain de lire le contenu quand je rentre en collusion avec une personne. Mon carnet tomba et je m'abaisse pour le prendre tout en m'excusant : Moi : Je m'excuse, je ne t'avais pas vu dis-je en ramassant le carnet. La personne : Non ce n'est pas grave. En étant a baissé pour chercher mon carnet, je reconnus immédiatement cette voix. Je lève mes yeux et effectivement, c'était belle et bien cette fille. Tout comme moi, elle était surprise de me voir. Mais elle changea immédiatement le visage dès qu'elle sut que c'était moi. Sa physionomie devint dure et hargneuse. J'essaie de sourire mais elle, elle était possédée par cette colère que je n'arrive plus à comprendre. Dès que je me relevai totalement, je la fixai dans son regard lorsqu'elle voulait partir. Moi : Bonjour Chancelle. Ne pars pas s'il te plaît. Elle : Qui t'a dit que je m'appelle Chancelle ? Et dorénavant, tous les jours en ta présence sont tout sauf que bons. Moi : Attends Chancelle. Peux-tu laisser ton orgueil pour que nous parlions comme des hommes civilisés ? Et pour ta gouverne, de gré ou de force, je te t'appellerai Chancelle. Chancelle : Cela fait ton affaire. Maintenant laisse-moi passer. Moi : Non, pas avant de m'avoir dit ce qui se passe réellement. Chancelle : Ce qui se passe ? Ce qui se passe, c'est que tu es une épine dans ma vie. Je te demande alors de me laisser. Elle voulait partir dans sa colère. Mais je l'arrête par le bras. Elle frissonna de douleur mais je fis la soude oreille. Je voulais lui parler à l'oreille quand j'attendis une voix retentir derrière moi. La voix : Je peux savoir ce qui se passe ici ? Cette voix coupe subitement mon audace de parler amèrement à Chancelle. Je la laissai malgré moi, désappointé de n'avoir pas accompli ce que j'étais sur le point de faire à cause de cette voix. Je me sépare d'elle et elle se déplace avec force. Mais la voix, apparemment, n'était pas encore satisfaite d'imposer son autorité. Elle redemandait avec un ton sec : La voix : Je vous ai posés une question. Qu'est-ce qui se passe ici ? Chancelle : Hoo rien. Il ne se passe rien. La voix : Ce n'est pas ce que je vois apparemment. Chancelle : Tant pis alors. Si tu as fini, on rentre. La voix : Après toi. Cette personne, qui était-elle ? Pourquoi parle-t-elle ainsi avec autorité à Chancelle ? Non, mais elle se croit où même ? Je me retourne pour connaître cette personne qui pense posséder cette terre. Je me retourne et je le contemplai de la tête aux pieds. Cette personne fit de même sur moi avant qu'elle ne suive Chancelle qui sortait déjà par le grand portail. Je restai là à regarder comme une personne atteinte d'une douce démence ou d'une personne qui avait vu un fantôme. Une immense colère m'envahit. Je n'avais qu'une seule chose en tête. Battre ce type pour assouvir ma haine. Un instant après, j'allai dans la classe, tout furieux. Mes amis reconnurent immédiatement cette mauvaise humeur qui s'abattait sur moi et me demandèrent l'origine. Je leur inventai une histoire dormie débout pour finir avec eux... A la sortie des cours, je rentre toujours dans la mine. Ma mère essaya tant bien que mal à me faire sortir cette humeur de mauvais augure sans succès. Après avoir passé à table, je rentrai dans ma chambre afin de me délasser. Cet après midi, je n'ai pas cours et je sens que cette soirée sera tellement longue pour moi. Je décidai de me promener. Je pris la moto et je m'engage dans une ruelle que j'emprunte sans détour. Après une dizaine de minutes parcourues, je tombe sur une scène qui me laissa tomber des nuages de l'incrédulité. Un jeune venait de gifler avec force une fille qui s'écroula immédiatement tout en frison de douleur et gardant sa joue. Cette scène m'écume. Elle me m'écuma quand je vis le visage de la jeune fille victime de cette agression. Je gare ma moto et enlevai mon casque. Je vais relever la fille et je fis face au garçon. Moi : Vous êtes peut-être son grand frère mais la maltraiter ainsi ne vous honore pas. Je... Avant que je dise encore un autre mot, je reçu par surprise un coup de poing qui m'atteignit à la joue. Mes yeux brulaient d'une atroce douleur. Mais je réussis à reprendre mes esprits et je vis le second coup de poing qui venait. Je m'abaisse. Je cale le point par mon bras. Je dégage le bras de mon agresseur pour me faire une bonne place. J'envoyai un violent coup qui atteignit la joue de mon adversaire. Il tomba subitement avec une tâche de sang qui était à ses lèvres. Alors que mon adversaire voulait prendre sa revanche en se relevant, la jeune fille se mit entre nous. Cette jeune fille n'était d'autre que....... Avant que je ne dise encore un autre mot, je reçu par surprise un coup de poing qui m'atteignit à la joue. Mes yeux brulaient d'une atroce douleur. Mais je réussis à reprendre mes esprits et je vis le second coup de poing qui venait. Je m'abaisse. Je cale le point par mon bras. Je dégage le bras de mon agresseur pour me faire une bonne place. J'envoyai un violent coup qui atteignit la joue de mon adversaire. Il tomba subitement avec une tache de sang qui était à ses lèvres. Alors que mon adversaire voulait prendre sa revanche en se relevant, la jeune fille se mit entre nous. Cette jeune fille n'était d'autre Chancelle, la fille inconnue. Elle cria fort sur nous comme des enfants : Chancelle : Arrêtez. Arrêtez de vous battre. Mon adversaire me regarda avec des yeux hargneux. Il avait apparemment soif de se battre. Et bien, moi-même j'étais partant pour cela. Mais l'agitation de Chancelle au milieu de nous ne nous permettait pas de le faire. Le gars me dévisage et me lança : Le gars : Je ne sais pas d'où tu viens pour jouer au héro en t'immisçant dans une affaire qui ne te regarde pas. Tu as chance ce soir et tu l'as bien mérité. Mais on n'en a pas encore fini. Et toi, je n'ai pas fini a