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Au cœur du destin

Au cœur du destin

Marcel46

5.0
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Chapitres

Je rentraià la maison avec cette immense joie. Pour la première fois, je me sentais majestueusement comblé de tout. D'accord le retrour psychologique de Christ qui prenait goût à la vie, ma sortie avec Éric et cette douce communication que j'ai eue avec cette fille dont j'ignorais le nom. Une fois à la maison, je sifflais tout en marchant. Tellement cette joie s'affichait sur mon visage que Rufi, la commère de toute la maison n'avait pas manqué de répérer ce sentiment d'allégresse.

Chapitre 1 Chapitre 01

Je rentraià la maison avec cette immense joie. Pour la première fois, je me sentais majestueusement comblé de tout. D'accord le retrour psychologique de Christ qui prenait goût à la vie, ma sortie avec Éric et cette douce communication que j'ai eue avec cette fille dont j'ignorais le nom. Une fois à la maison, je sifflais tout en marchant. Tellement cette joie s'affichait sur mon visage que Rufi, la commère de toute la maison n'avait pas manqué de répérer ce sentiment d'allégresse. Rufi: Hooooo le lou garou, prédateur des guinguettes est de retour.

Et à voir son visage qui flamboie de joie comme une étoile, je parie qu'il a trouvé une villageois qu'il a amadoué. Moi: as-tu fini ? Rufi: Non, non. Moi: Alors continue. J'avais dit celà en allant m'assoir. Je pris une des pommes qui était sur la table et commençai par manger. Je pris les deux pieds et les mis sur la table, jouant au playboy. Rufi me regardait avec étonnement. Elle ne s'attendait pas que je fasse ce geste, d'après elle, je jouais trop au parfait pour ne pas poser un acte qui vexera papa ou maman. Rufi: Ça, c'est l'œuvre d'une fille. Du jamais vu, mon grand frère se comporte comme un enfant gâté. Waaaaooo tu m'as épatée. Moi: Écoute petit fille, dans cette vie, ce ne sont pas les filles qui donnent ou changent le sourire ni les faits et gestes d'un garçon. Donc tu as cogné poto en passant à ce que tu penses. Je suis comblé ce soir oui car cette sortie m'a réveillé beaucoup de choses mais qui n'ont malheureusement pas rapport avec une fille. Rufi: je ne te crois pas mon grand. Tu es loin de savoir ce qu'une fille peut changer en un garçon. Elle peut le faire rien qu'avec son sourire. Moi: Et tu en sais quoi dedans puisque tu n'es pas garçon surtout pas moi pour savoir si oui, une fille peut me faire d'effet rien qu'avec son sourire. Rufi : si tu es aussi obsessionnellement mort de frisons rien qu'en regardant une fille très belle, c'est que tu es vraiment à craindre. Car soit tu es un pédé soit tu es un impuissant. Moi: Mon truc se lève chaque matin pour ton information petit acariâtre. Et il n'est pas donné à n'importe qui, surtout pas à un impuissant, d'avoir cet privilège matinal. Rufi: Alors tu es un pédé. Adoï : Pourquoi je suis là à discuter avec une fille qui ne se sait absolument rien du monde des hommes. Tu es une gamine et les globules rouges de la puberté te font sautiller ici et là. Il te reste encore un long parcours pour comprendre ma petite. Je me lève pour aller dans ma chambre. Et pendant ce temps, Rufi ne faisait que rire sans fin. Quand je m'apprête à prendre les escaliers, elle me lança : Rufi: Je te donne une semaine pour te prouver que tu es amoureux frangin. Moi: Alors il te faut réunir toutes les analyses sur l'amour pour que tu puisses me le démontre. Rufi: Alors tu es vraiment loin de savoir ce qu'est que l'amour. Tu le démontreras par toi-même ici, dans cette maison. Adoï : tu vas périr alors. J'allai dans ma chambre et je me jette dans mon lit en prenant un cahier que je me mis à lire. Mais je ne pouvais le faire. Je pensais à quelque. Quelques choses d'aussi doux que jamais. J'essayais de mon concentrer pour la lecture mais hélas les efforts furent vains. Je me laisse choir sur le lit et pris un coussin que je mis sur mon visage. J'y étais là quand mon appareil se mit à sonner. Encore un numéro masqué. Et c'était toujours la fille sans nom. La fille : Je parie que tu viens de la douche. Moi: Tu as complètement congé poteau cette fois-ci. La fille : Oui je le sais. Tu te doucheras avant de dormir quand même. Bref je voulais t'appeler pour te dire que je suis bien rentrée. Moi: Et comment veux-tu que je t'appelle puisque tu masque ton numéro. La fille : Il faut alors chercher. Adoï je voulais juste te dire merci pour cette balade. Je me suis sentie très bien en ta compagnie. Je ne m'attendais pas à ça. Moi: Le plaisir est partagé. Mais tu ne veux vraiment pas me dire ton prénom? La fille : Non, mon nom n'a pas d'importance. L'important, c'est être là, discuter parfois avec toi. Moi: non mais.... La fille : tu as vu que ton statut entant qu'enfant d'un ministre n'a pas d'importance, c'est pour cela que tu as choisi d'aller au collège au lieu d'une école et tu as sans doute caché ta vie familiale à tes proches du collège si je ne me trompes pas Moi: Oui je le sais. Mais ma vie familiale n'est pas synonyme de ton nom. Ce sont deux choses différentes. La fille : Tu le sauras au moment opportun. Bonne nuit à toi Adoï et merci encore pour ce temps. Moi : bonne nuit à toi. La journée s'achevait avec une petite routine enrobée dans le pensées sur cette fille. Et je dormis comme une rose pleine de rosée. Le lendemain, j'enfile mon kaki et rapidement, je prends mon petit déjeuner sous les yeux contrôleurs de Rufi comme pour dénicher en moi quelques choses de différents. On finit ensemble et je décidai d'aller avec elle dans la même voiture. C'était Éric qui se chargeait des déplacements de ma petite sœur. Une fois dans la voiture, je lance une bonjour à Eric en s'assaillant à ses côtés. Éric : bonjour mon grand. Bien réveillé? Dit Éric en s'engageant sur l'asphalte. Moi: oui comme une fille sans nom. Éric : parlant d'elle, tu a fais ce que je t'ai dit? Elle a accepté ? En entendant cela, Rufi sursaute en même temps pour nous nous rejoindre en prendre appuisur nos épaules, Éric et moi. Elle me regarda avec un sourire victorieux. Heééé bien, elle va confirmer qu'elle avait raison. Alors que rien ne s'était pas entre cette fille et moi. Rufi: Alors Monsieur Éric, mon grand frère avait le projet de faire la cour à une fille c'est ça ? Éric : oui et la fille s'intéresse à lui et cela ce sent en regardant dans les yeux de cette étoile. Moi: Hééééé bien vousvous trompez tous. Rufi: j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison, j'avais raison... Moi: D'ailleurs je n'ai rien fait. Éric : là tu es un pédé ou un impuissant. Sinon comment expliquer que tu résistes au charme de cette fille ? Cette dernière remarque de Éric fit éclater Rufi de rire. Elle se tordait de rire si bien que Éric ne comprenait pas pourquoi elle rigolait. Je le savais et elle le savait aussi. Je me mis à rire en me rappelant les propos de Rufi hier. Elle n'a pas cessé de rire jusqu'à ma destination. Avant que je ne parte, elle me dit : Rufi: j'avais raison. Je fis la sourde oreille en m'allant. Vraiment cette petit sœur va me tuer un jour. Je soupire et m'engager vers ma salle dans l'espoir de voir Christ reprendre les cours. Dès que je franchis le seuil, je le vis venir vers moi. Il me tire et nous sortîmes. Quand nous fûmes loin de la classe, je lançai: Moi: c'est quoi, c'est la troisième guère mondiale? Même pas un bonjour et tu m'embarques comme si j'étais un criminel. Christ : Tu l'es pourtant toi. Pourquoi hier as-tu amené Elmire chez moi et pire encore, tu nous laisses seuls. Moi: mais je crois que vous devriez parler seul à seul. Donc ma présence ne sera pas bonne. Christ : tu vois? À cause de ça, j'ai brisé la promesse que je me suis fait et que je lui ai faîte. Hooo mon Dieu, je ne suis pas en moi. Je ne sais pas comment la regarder. Moi: mais Christ qu'est-ce qui se passe. Christ : j'ai fait l'amour avec Elmire hier. Moi: et??? Christ : et ce n'est pas qu'une seule fois mais trois fois. Moi: et ???? Christ : Elle m'a offert sa virginité comme ça. Alors que je serai pas de ce monde pour honorer ma promesse du mariage avec elle. Moi: Et??? Christ : J'ai vraiment peur qu'elle tombe enceinte. Moi: Bon dans tout ça, la seule chose qui te stresse c'est le fait qu'elle tombe enceinte. Christ : oui absolument. Moi: alors laisse-moi te dire que Elmire est une grande fille. Elle sait ce qu'elle fait. Si elle s'est offerte à toi, c'est parce qu'elle t'aime éperdument. Tout ce que je te demande, c'est d'être fidèle avec elle. Et pour la grossesse, sois sans crispation, elle ne tombera pas enceinte parce qu'elle sait cela pouvait arriver mais elle a décidé de le faire avec toi. Elmire t'aime énormément et surtout, ne joue pas avec ses sentiments sinon je risque de te tuer. Christ : regarde comment il me parle comme s'il connaissait quelques choses de l'amour. Moi: je suis un humain enfin de compte. J'ai un cœur aussi. Christ : je sous entends que tu es amoureux ? Moi: maaiiiissss noooonnnn. Je suis fort pour succomber aux délices d'amour moi. Une voix : tu es trop faible pour être fort en face des vrais sentiments. C'était Elmire qui venait de parler. Je me retourne et je la vois. Elle me prit le bras en déposant sa tête sur mon épaule. Elle avait ses yeux fixés sur Christ, qui apparemment, se sentait mal à l'aise. Je lui laisse un sourire en me rappelant de ce qu'il m'avait confié. Il avait sans doute honte. Toujours silencieux, Elmire s'avance vers lui en disant : Elmire : toi tu ne me salues pas? Christ : bonjour Elmire et .... Christ n'avait pas achevé sa phrase puisque Elmire était aller l'embrasser. Cette fille est vraiment dingue. Je ne savais pas qu'elle avait ce courage pour embrasser Christ dans ce monde. Christ était aussi étonné de cet élan rapide qu'avait pris Elmire. Il tremblait à peine. J'ai dû interrompre cette communion en toussant. Moi: Hummm huuumm. Les tourtereaux de l'amour, veillez m'excuser, je vais vous fausser compagnie. Dis-je en partant Christ: Tu vas où commeça toihein? Reviens ici. Moi: mon frère tu ne partages pas ce moment délicieux avec moi. Donc laisse-moi partir. Elmire : là, je crois que quelques bribes étincelles d'amour naît en toi. Moi: ça jamais de la vie. Une fille ne peut jamais..... Je ne puis finir ma phrase car dans l'élan de ma fuite, je me sentis décliner vers le sol. Je venais de rentrer en collision avec quelqu'un. Et cette personne n'était d'autre que Hélène. Dans mon intention de maintenir la personne qui voulait tomber, je fus le premier à saluer le sol. Hélène tomba sur moi. Laissant tout son corps sur moi. Nos lèvres n'étaient qu'à quelques centimètres l'unes des autres. Un moment qui me semblait interminables s'installa. Les rires de Elmire et Christ nous firent revenir au monde. Elmire : Ils sont amoureux, ils sont amoureux, ils sont amoureux.... Christ : voilà ce que tu mérites en me lançant tout seul ici. Hélène et moi nous nous relevâmes rapidement sous les yeux des autres élèves qui pensaient que c'était une idylle d'amour qui se passait. Je commence par m'essuyer en me regardant un peu partout. Hélène ne semblait pas être gênée par cela. Elle souriait en plus. Elle prit le torchon de mes mains et m'essuya. Hélène : merci beaucoup mon fameux héro du jour. Moi: tu ne pouvais pas te retenir ?

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Il arrive parfois d’observer au sein d’une famille des cyclones qui ravagent les cœurs des membres qui forment cette famille. Famille qui fait couler le même sang dans les veines de chaque progéniture mais qui frémit de mésentente, de colère et autre. C’est certain, on est issu d’une même famille mais une dichotomie se lit dans nos yeux et nos manières de conduite. C’est la raison pour laquelle l’on ne finit et ne devons jamais les mêmes quand bien même nous sommes de la même provenance. Un trait aussi petit soit-il, lime et crée l’être de chacun, fais de lui un autre monde et donc unique en son genre. Il faut le reconnaître lecteur, le sang fait de deux personnes une seule personne, une seule famille mais le cœur en fait des milliers. Ne soit donc pas étonné de voir des réactions perverses qui transpercent les cœurs et la gentillesse qui ravitaille la carence de la joie quand bien même la perversité et la gentillesse sont deux caractères différents posés par deux personnes qui partagent le même sang. Cela s’avère une réalité que ni toi lecteur ni moi ne pouvons nier.... Et autour d’une grande table, dans une grande maison décorée tel le paradis, une famille du même sang prenait le petit déjeuné. Il y avait deux jeunes filles, deux jeunes garçons et un adulte qui est sur le point d’atteindre le troisième âge. Et La domestique de la maison, clouée tel un esclave, regardait cette famille qu’elle offre un grand soin de ménage pour aider son mari à joindre les deux bouts afin d’assurer l’avenir de leur seul enfant. La vie, un courant qui n’offre point le même prestige à tout le monde reste toujours injuste dans ses actes. Mais c’est la loi de la jungle de l’existence sur la terre qui s’impose à tout le monde. Alors on se résigne, courbe la nuque et subit en silence son verdict. Le mutisme fut brisé par une voix à connotation acariâtre voir même dépassée : - Bon sang Adjou tu veux que je souffre du diabète ou quoi ? Tu as trop mis le sucre dans le thé.

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