La carte postale oubliée
nte découve
e qu'elle avait été adoptée à la naissance de Delphine qui n'était pa
ngrégation des sœurs de la Charité du bon Pasteur dont ils étaient très proches à l
on car lors de la préparation de leur testament, les parents Dubon avaient même fait réaliser un test ADN familial à la demande du notaire pour
ncement
du Bon Pasteur sans que Marie ne puisse réclamer légalement quoique ce soit, en effet un défu
e détails à Julien car elle avait elle-même été surprise de
endante elle avait passé le concours d'entrée dans la police nationale qu'elle avait réussi, elle avait cependant gardé son identité Dubon pour faciliter
s et il lui fallait se lancer dans des investigations difficiles p
rer la piste de la congrégation des sœurs de la Ch
à l'aise Marie qui ne cessait de considérer Delphi
nt de Police judiciaire à la SRPJ d'Angers ce qui lui permettait de mener des investigations actuellement sur ses origines et de ve
ce de la visite d'une jeune femme, officier de police, à
nfié que cette jeune femme était lieutenant de police et qu'elle faisait les mêmes recherches que lui e
a ressemblance avec elle...Comme Marie ne connaissait pas encore son lien avec Angélique, elle ne pouvait donc pas faire de rapprochement avec sœur Angèle si ce n'était la ressemblance p
t certainement cherché à en savoir plus sur Angélique. Peut-être serait-e
le poussaient à rencontrer cette jeun
elle était malade. La maison d'Ancenis restait son refuge et elle y pass
la se voyait dès qu'elles étaient ensemble car un seul regard
tite comme sa mère, avec des cheveux bruns presque noirs et raides, Marie était grande, sportive, les yeux bleus et une chevel
de la protéger d'elle-même car Marie pouvait agir sur un coup de tête et c'était ainsi qu'elle s'était engagée dans la police
mbre d
lle lui avait donc conservé sa chambre dans
rie ce qu'elle accepta volontiers, désireuse et curieuse d'e
lui était revenu avec plus de précision, ses cheveux châtains bouclés, ses yeux bleus si clairs où il s'était perdu un jour de printemps en 1973, Ce f
les poses, le sourire, les attitudes de Marie et son regard bleu et si profond, tout lui rappelait Angélique, son premier amour, celle avec qui il avait vécu une h
ngélique, sa ressemblance troublante avec sa fille car pour lui toutes les informations qu'il avait rassemblées lui prouvaient dés
n'en savait rien encore, mais il lui restait maintenant une nouvelle piste à explorer Marie, cette jeune femm