La carte postale oubliée

enir d’

s sœurs qui avaient connu Angélique, Jul

n bleu profond dans lesquels Julien s’était immédiatement noyé. Le jour de leur rencontre, Angélique portait une tunique blanche qui tombait sur un jean délavé. Julien se trouva

poitrine, une envie de l’embrasser l’avait envahi. Alors qu’il venait à peine de se rencontrer, Angélique acce

ire un verre avec Julien et enfin ils p

ter au regard charmeur

tait la première fois qu’elle sortait depuis la mort de ses parents… Comme le dancing était proche de chez elle, elle s’était laissé entraîner par

pté et ce fut ainsi que Julien avait découvert la belle maison bourgeoise de pier

ans sa famille pour son anniversaire, puis ils échangèrent un dernier baiser sous le regard cour

r ses recherches, comme il avait pris quelques jours de congés en ce début juillet pour retrouver ses sœurs po

é fermé depuis longtemps, il retrouva néanmoins le bar restaurant qui le jouxtait et c’est

rche d’A

là mais tous les volets étaient clos et

prit que Pauline, la sœur aînée d’Angéli

gré les recherches du notaire de la famille pour

venue la belle Angélique Dubois, elle n’avait d’ailleurs aucune famille connue sur la commune. Il se rendit au cimetière où il trouv

leurs récentes et des ronces et du lierre commençaient à s’inst

avait déduit qu’elle était donc toujours vivante ainsi que son en

qui lui restait, la congrégation des Sœ

da donc d’en louer une pour une semaine en demi-pension ce qui lui permettrait de découvrir le lieu o

avec sœur M

la longue galerie qui longeait toutes les pièces et les salles communes des bâtiments qui entouraient un vaste jardin dont chaque allée était b

demanda s’il était bien installé et elle

jeunes femmes en 1973.La sœur lui indiqua le bureau de sœur Marie Thérèse qui avait en charge les tâches administratives depuis de nombreuses années et elle pourrait certainement l’aider s’il a

éjeuner copieux et qualitatif, Julien se

ssi matinale, elle était confinée dans des t

ace d’elle l’indisposait toujours un

ôt sa carte postale de sa poche en expliquant sa présence et

bureau et revint avec un énorme registre de 1973

ix-huit ans, accueillie à la demande de sa tutrice et sœur aînée Pauline qui ava

congrégation pour qu’elles les prennent en charge comme nourrices car la congrégation ne pouvait pas prendre en charge les bébés des filles-mères qui devaient s’engager comme nonnes pour être a

es responsabilités s’il avait su cela à l’ép

hérèse découvrit qu’Angélique s’appelait désormais sœur Angèle et